Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
TF1 News
par Romain Le Vern
Réalisateur insaisissable et sous-estimé, Rolf de Heer revient signe une fable morale comme il les aime (...) reposant sur le stupéfiant acteur aborigène David Gulpilil, vu et adoré chez Nicolas Roeg, Peter Weir, Wim Wenders.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
20 Minutes
par Caroline Vié
Espérons que ce film généreux aura remis ce formidable acteur [David Gulpilil] sur le chemin des plateaux.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
De Heer filme ce lent désastre comme une oeuvre de résistance passive, jouant de l’étrange compromis de désespoir et de malice qui anime constamment le corps meurtri de son acteur.
Critikat.com
par Benoît Smith
La relation sensible entre filmeur et filmé suscite l’intérêt et l’empathie pour le cheminement de ce dernier vers une hypothétique réponse sur son appartenance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Gala
par Jean-Christian Hay
C’est avec beaucoup de poésie, de finesse mais aussi d’humour que Rolf de Heer pose sa caméra sur ses personnages. (...) Une liberté qu’on retrouve comme thème central de ce "Charlie’s country" touchant, sensible et profondément humain.
La critique complète est disponible sur le site Gala
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce film tout en sobriété, qui témoigne avec force, mais sans effets, de ce qu’endurent encore les peuples autochtones, se fait toujours plus poignant à mesure qu’il avance. Il laisse une trace profonde et silencieuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ses personnages (...) l'auteur les couve avec un art du cinéma oscillant entre fantaisie et tragédie.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Commencée de façon souriante, une histoire forte, et qui déchante vite, sur l’innocence irrémédiablement perdue.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le film d’abord comique prend alors un tour plus dramatique et poétique. Ses péripéties parachèvent un tableau sans concession de l’Australie actuelle, où les descendants aborigènes sont souvent acculés à dériver dans l’indifférence.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un portrait touchant.
Positif
par Michel Cieutat
Très beau, touchant, mais aussi amusant plaidoyer en faveur des aborigènes du nord de l'Australie (...). La mise en scène est sobre, présentant de longs plans cadrés avec précision et un montage à la musicalité pénétrante. Une réussite de plus pour ce cinéaste trop rare, trop discret, mais si humain.
Première
par Laurent Djian
De tous les plans (...), de toute son âme, (le réalisateur) fait de "Charlie's country" un poème, un manifeste et un étonnant objet de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le film sacrifie souvent la subtilité sur l'autel de la colère. Mais tant mieux.
Culturopoing.com
par William Lurson
Un film d'abord léger et plaisant, qui vire vite au plaidoyer édifiant sur la condition des aborigènes en Australie. Une belle prestation de l'acteur "indigène" David Gulpilil mais l'ensemble est abîmé par un synopsis trop manichéen.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
On pourra trouver son scénario un rien paresseux, mais "Le pays de Charlie" permet d'ouvrir grand les yeux sur l'Australie d'aujourd'hui et sur l'impasse dans laquelle se retrouvent nombre d'aborigènes aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Thomas Sotinel
La lucidité de la mise en scène et de l'interprétation n'empêche pas l'optimisme et l'entousiasme. Cette puissance vitale, qui est d'abord celle de l'acteur-scénariste, définit "Charlie's Country", invitation irrésistible à s'imaginer d'autres manières de vivre sa vie d'humain que la nôtre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Cette touchante fable ethnique est illuminée par son interprète principal, David Gulpilil. Sa présence à l'écran aide à pardonner le ton parfois manichéen du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clément Ghys
Le Néerlandais Rolf De Heer filme longuement son acteur principal, David Gulpilil, le laisse improviser, s’enivrer et s’autodétruire à force d’alcool, avec une fascination quasi chrétienne pour ce martyr de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
L'idée que suggère habilement et cruellement le cinéaste, c'est que Charlie n'est que toléré sur la terre de ses ancêtres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Sans être lourdement accusateur ni manichéen, Rolf de Heer donne à son film une touche humaniste qui ne verse jamais dans le sentimentalisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
TF1 News
Réalisateur insaisissable et sous-estimé, Rolf de Heer revient signe une fable morale comme il les aime (...) reposant sur le stupéfiant acteur aborigène David Gulpilil, vu et adoré chez Nicolas Roeg, Peter Weir, Wim Wenders.
20 Minutes
Espérons que ce film généreux aura remis ce formidable acteur [David Gulpilil] sur le chemin des plateaux.
Cahiers du Cinéma
De Heer filme ce lent désastre comme une oeuvre de résistance passive, jouant de l’étrange compromis de désespoir et de malice qui anime constamment le corps meurtri de son acteur.
Critikat.com
La relation sensible entre filmeur et filmé suscite l’intérêt et l’empathie pour le cheminement de ce dernier vers une hypothétique réponse sur son appartenance.
Gala
C’est avec beaucoup de poésie, de finesse mais aussi d’humour que Rolf de Heer pose sa caméra sur ses personnages. (...) Une liberté qu’on retrouve comme thème central de ce "Charlie’s country" touchant, sensible et profondément humain.
La Croix
Ce film tout en sobriété, qui témoigne avec force, mais sans effets, de ce qu’endurent encore les peuples autochtones, se fait toujours plus poignant à mesure qu’il avance. Il laisse une trace profonde et silencieuse.
La Voix du Nord
Ses personnages (...) l'auteur les couve avec un art du cinéma oscillant entre fantaisie et tragédie.
Le Dauphiné Libéré
Commencée de façon souriante, une histoire forte, et qui déchante vite, sur l’innocence irrémédiablement perdue.
Le Journal du Dimanche
Le film d’abord comique prend alors un tour plus dramatique et poétique. Ses péripéties parachèvent un tableau sans concession de l’Australie actuelle, où les descendants aborigènes sont souvent acculés à dériver dans l’indifférence.
Ouest France
Un portrait touchant.
Positif
Très beau, touchant, mais aussi amusant plaidoyer en faveur des aborigènes du nord de l'Australie (...). La mise en scène est sobre, présentant de longs plans cadrés avec précision et un montage à la musicalité pénétrante. Une réussite de plus pour ce cinéaste trop rare, trop discret, mais si humain.
Première
De tous les plans (...), de toute son âme, (le réalisateur) fait de "Charlie's country" un poème, un manifeste et un étonnant objet de cinéma.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
CinemaTeaser
Le film sacrifie souvent la subtilité sur l'autel de la colère. Mais tant mieux.
Culturopoing.com
Un film d'abord léger et plaisant, qui vire vite au plaidoyer édifiant sur la condition des aborigènes en Australie. Une belle prestation de l'acteur "indigène" David Gulpilil mais l'ensemble est abîmé par un synopsis trop manichéen.
Franceinfo Culture
On pourra trouver son scénario un rien paresseux, mais "Le pays de Charlie" permet d'ouvrir grand les yeux sur l'Australie d'aujourd'hui et sur l'impasse dans laquelle se retrouvent nombre d'aborigènes aujourd'hui.
Le Monde
La lucidité de la mise en scène et de l'interprétation n'empêche pas l'optimisme et l'entousiasme. Cette puissance vitale, qui est d'abord celle de l'acteur-scénariste, définit "Charlie's Country", invitation irrésistible à s'imaginer d'autres manières de vivre sa vie d'humain que la nôtre.
Les Fiches du Cinéma
Cette touchante fable ethnique est illuminée par son interprète principal, David Gulpilil. Sa présence à l'écran aide à pardonner le ton parfois manichéen du scénario.
Libération
Le Néerlandais Rolf De Heer filme longuement son acteur principal, David Gulpilil, le laisse improviser, s’enivrer et s’autodétruire à force d’alcool, avec une fascination quasi chrétienne pour ce martyr de cinéma.
Télérama
L'idée que suggère habilement et cruellement le cinéaste, c'est que Charlie n'est que toléré sur la terre de ses ancêtres.
aVoir-aLire.com
Sans être lourdement accusateur ni manichéen, Rolf de Heer donne à son film une touche humaniste qui ne verse jamais dans le sentimentalisme.