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    Demolition
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    Bastien M.
    Bastien M.

    31 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 août 2016
    On se fait emmener tout du long, les personnages ont tous un rôles qui les identifie bien, mais le scenario reste en mouvement en continue.
    Calme et ennivrant à la fois.
    Damien H.
    Damien H.

    13 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 août 2016
    Un personnage cynique à souhait et très peu émotif, qui se retrouve toujours un peu paumé. des dialogues savoureux et des reflexions à la fois profondes et absurdes, un gros coup de coeur.
    bsalvert
    bsalvert

    404 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2016
    On peut aisément passer à coté de ce film dont la première partie est longue, très longue et la deuxième ne nous transcende pas.
    PLV : restez concentrés, vous n'y reviendrez pas
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    62 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2016
    Trois ans après avoir été auréolé de son succès pour "Dallas Buyers Club", qui figurait dans la course aux oscars, Jean Marc-Vallée récidive avec une une oeuvre singulière tant on ne sait pas où le cinéaste veut en venir dans la première demi heure, mais foutrement réussie et originale. L'intrigue met en scène un banquier d’affaires au rythme de vie chronométré, qui perd tragiquement sa femme dans un accident de voiture. Celui-ci fait alors face au deuil d’une manière pour le moins inattendue... Scénarisé par Bryan Sipe, l'histoire est une belle leçon de vie qui met en avant des personnages bouleversants pour lesquels le spectateur va développer une empathie immédiate. Époustouflant, Jake Gyllenhaal est totalement habité en jeune loup de la finance ayant perdu sa femme, il jongle avec les émotions et les humeurs et apporte de la subtilité et de la, profondeur à son jeu, ce qui va donner naissance à de belles séquences notamment celle où il danse avec son casque sur les oreilles dans les rues. Sa rencontre avec Naomi Watts, plutôt à l'aise dans son rôle, va lui donner l'occasion de casser son amère routine et de faire ce que bon lui semble, au gré de ses humeurs et de ses envies. Du côté technique, la réalisation ne souffre aucun défaut majeur et jouit d'une belle photographie et d'une mise en scène enlevée (quelques belles scènes caméra à l'épaule). La bande originale pop et l'utilisation de la voix-off apporte une touche de fraîcheur au film, qui propose une réflexion sur l'absence de sentiments et sur l'aspect libérateur de la séparation. Ainsi, "Démolition" est une belle tragédie humaine et intimiste sur la reconstruction d'une âme à travers sa démolition.
    Lucas C
    Lucas C

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2017
    Un film plein d'émotion, touchant et à la fois drôles. Davis interprété par Jake Gyllenhaal joue sont rôle vraiment très à coeur puis que dire de la musique LA BOHÈME par Charles Aznavour mis dans sont contexte, elle est sublime !
    Silence ça tourne
    Silence ça tourne

    21 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2017
    Jean-Marc Vallée est de retour avec un nouveau film, un nouveau drame Démolition après avoir réalisé l'année dernière Wild et un an avant celui-ci le très bon Dallas Buyers Club. Habitué de diriger de grand acteurs et de leurs offrir d'excellent rôle comme pour Reese Witherspoon, Matthew McConaughey ou encore Jared Leto, c'est au tour de l'immense Jake Gyllenhaal d'être la tête d'affiche d'un de ses film. Démoliton traite des sentiments ressentis et l'absence de ceci ainsi qu'une réflexion au deuil. Un film qui s'annonçait très lourd mais on sort au final après son visionnage avec un sentiment plutôt agréable. C'est un film optimiste qui nous rappelle qu'il faut prendre le temps de vivre et d'aimer.
    La scène d'intro est impressionnante et nous permet d'être de suite captiver par le récit. La façon dont les choses se déroulent ainsi que la façon dont le film est raconté sont tout simplement parfaite. La mise en scène au découpage très prononcés parfois même proche d'un découpage à la Terrence Malik ne nous perd jamais mais bien au contraire nous entraîne encore un peu plus dans la psychologie de ce personnage très complexe. Toutes les relations entre le personnage principal Davis, avec son Beau père, la mystérieuse Karen ou encore avec le fils de celle-ci sont intéressantes et travaillé à la perfection. Le thème du film est respecté du début à la fin. Il est mené admirablement bien tant que part le scénario de Bryan Sipe que part la réalisation de Jean-Marc Vallée. Le parcours psychologique du personnage principal est d'une grande finesse et magnifiquement construit. En plus de ceci, l'immense et unique Jake Gyllenhaal est tout simplement extra, mais ce n'est pas une surprise. Il bouffe l'écran et continue dans la lignée de ses récentes performances : Enemy, Night Call, La Rage au Ventre... Il est accompagné par la sublime Naomi Watts, L'excellent Chris Cooper, et la jeune révélation Judah Lewis, impressionant pour sa première fois derrière l'écran.
    Bref, malgré de petite baisse de rythme par moment au milieu du long métrage, le film et son propos sont mené d'une main de maître par son réalisateur Jean-Marc Vallée. Davis, ce personnage à la psychologie complexe est parfaitement construit et en plus de cela joué parfaitement par l'immense Jake Gyllenhaal comme à son habitude.
    Unc-Scrooge
    Unc-Scrooge

    51 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2016
    Jake Gyllenhaal est définitivement un acteur à part, à mi chemin entre le grand Hollywood et le film d’auteur, enchainant ses petits films ou il va s’accaparer l’écran, l’histoire et les pensées du spectateur. Dernier exemple en date, Demolition est un film au script on ne peut plus ténu (un homme dont le paquet de M&M’s n’est pas tombé du distributeur), dont le réalisateur, connu pour l’oscarisé Dallas Buyer Club, livre ici une œuvre bien plus secondaire. Au final, Demoliton est un ensemble propre, bercé par une douce Bande Originale, servie par un brillant duo d’acteurs, mais qui aurait profité d’une vraie histoire. Car le film nage entre le post it scénaristique et le déjà vu, multipliant les moments de mélancolies pour sauver son spectateur. Heureusement que le tandem Gylenhaal / Watts a fait le boulot et que le moment de regression opère à plein...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 juillet 2016
    Un film assez étonnant. On ne comprend pas forcément tout de suite où le réalisateur Jean-Marc Vallée (à qui l'on doit l'excellent Dallas Buyers Club) veut nous emmener, mais on y va quand même. On se laisse porter par un Jake Gyllenhaal au meilleur de sa forme spoiler: en veuf qui ne parvient pas à pleurer la mort de sa femme, et qui se ment en disant qu'il ne l'aimait pas
    . S'en suit, comme le nom du film l'indique, une "démolition", voire même une déconstruction de ce personnage, où les métaphores et autres allégories se succèdent (démolir la maison, démonter tout ce qui lui tombe sous la main, s'abstraire de son image propre et policée, de son monde bien réglée).
    Au final, une approche du deuil, pas larmoyante ou nostalgique comme tant d'autres films, et qui aborde cet évènement sous l'angle de ceux qui restent et des sentiments que la perte de l'être cher provoque en eux, comprendre pour pouvoir avancer.
    Cela reste quand même un film un peu "exigeant", au moins pour tenter d'en percevoir tout le sens.
    Jérémy J
    Jérémy J

    30 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2016
    Un film très beau et très étrange à la fois. jake gyllenhaal une nouvelle fois fais une démonstration de sont talents d'acteur. Parfois tout de même un peu trop déjanté. De la bonne musique. Et des séquence magistrale.
    Alain D.
    Alain D.

    583 abonnés 3 278 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juillet 2016
    Très déçu par ce drame réalisé par Jean-Marc Vallée. Je ne comprends pas les notes du public qui m'ont poussé à voir ce film qui malgré une bonne BO est plutôt ennuyeux. Pendant 50 minutes, il ne se passe pratiquement rien ; le rythme de cette histoire est très lent et le scénario, pourtant original, est finalement si décevant qu'il spoiler: démolit l'ambiance
    . Pourtant, le jeu des acteurs est bon : Naomi Watts et Jake Gyllenhaal, dans la peau de Davis, sont très crédibles dans leurs rôles respectifs.
    Le pitch : Après la perte de sa femme dans un accident automobile, Davis Mitchell remet toute sa vie en question ; il devient sincère et commence ses opérations de "démolition".
    Jérémie
    Jérémie

    142 abonnés 748 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2018
    La longue descente aux enfers de sentiments enfouis. Subtilement mis en scène, des dialogues profonds, des phrases chocs toujours plus intense, on tombe dans la dépression de la perte d’un être cher.
    Message d’espoir ou de folie, on s’accorde tous a dire que le comportement est plus que réaliste. On s’y croirait, on se met à sa place, se demandant comment nous réagirions.
    Un drame authentique, simple, mais qui brille par sa justesse et une intrigue parfaitement amenée.
    ned123
    ned123

    155 abonnés 1 682 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juillet 2016
    J'ai vu un film... d'une très grande maîtrise, avec une histoire particulièrement originale sur le deuil, la perte et la reconstruction quji passe par la démolition... Jean-Marc Vallée est un des réalisateurs les plus doués de sa génération... Il donne à ses œuvres un caractère original et décalé. Les personnages sont vraiment extraordinaires avec un jeu Jake Gyllenhall totalement désaxés qui oscille entre normalité et perte de contrôle. Le portrait de ce courtier en Bourse qui perd plus que l'essentiel lui fait retrouver son âme humaine et le rend plus réceptif au monde qui l'environne. Cette distance au monde est, pour ce personnage, l'occasion de revenir dans sa vie. La bande-son fait réellement partie du film et donne un aspect "respiration" dans une certaine forme d'oppression de la chute de l'étranger à sa vie. Noami Watts est, elle aussi, totalement troublante et touchante dans ce rôle de "responsable qualité" impliquée. Vraiment un très très beau film sur le fait de se reconstruire après les drames de la vie... Beau
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 août 2016
    Tout d'abord Jean-Marc Vallée est un réalisateur que je ne connais pas vraiment malgré sa filmographie assez bonne je dois dire. Démolition est pour moi, un long métrage vraiment réussi avec une bonne morale et une certaine éthique de l'être humain. J'ai adoré ce film pour la simple et bonne raison que le réalisateur embarque le spectateur, sur une étendue de points, que ce soit le genre humain, l'amour, la solitude, les métaphores en tout genres, ce film nous transporte et il nous fait des frissons dans le dos. Dans le rôle du héros, Jake Gyllenhaal joue superbement bien et pour une fois son talent est enfin révélé au grand jour; en plus de ça avec les plans séquences de Jean-Marc Vallée, nous suivons en quelques sortes la psychologie de Davis tout au long du film et j'ai trouvé ça assez remarquable. Pour conclure ce film est une merveille, et l'histoire de Davis nous fait voyager dans nos émotions et c'est ça qui fait la force du film.
    Stephenballade
    Stephenballade

    395 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2016
    "Demolition" porte un sujet difficile à traiter, surtout lorsqu’il faut laisser les choses se décanter, ce que les scénaristes et le réalisateur ont réussi à faire. Les choses mettent tant de temps à se décanter qu’on tend vers une impatience allant en grandissant, plus ou moins à l’image de Davis Mitchell alias Jake Gyllenhaal : on tourne en rond, on tapote des mains, on pose le doigt sur le bouton de la télécommande soit pour éteindre soit pour changer de chaîne avant de changer d’avis, et on désespère même de voir où le film va en venir. On ne peut guère reprocher cette lenteur que provoque souvent le processus du deuil, le deuil n'étant souvent possible que lorsque la boucle est bouclée, notamment quand il intervient de façon brutale et inattendue. Cette lenteurest ce qui fait l’entière crédibilité de "Demolition". Le message de ce long métrage est clair et d’une infinie clarté : le deuil se fait de plusieurs façons selon les personnes. La plupart pleurent toutes les larmes de leur corps, tandis que d’autres se réfugient dans le travail et activités diverses, alors que d’autres encore entrent dans une sorte de léthargie destructrice dont ils n’ont pas forcément conscience. Pire, cette minorité-là souffre de ne pas souffrir comme la plus commune des personnes, et ces gens-là s’en veulent énormément jusqu’à parfois s’en culpabiliser, toujours sans en avoir vraiment conscience. La profondeur du sujet est immense, mais le récit manque paradoxalement de cette profondeur, et ce de façon cruelle. Tout du moins, c’est l’impression que laisse ce film quand on le voit pour la première fois, malgré une belle chute amenée par des coups de théâtre intervenant sur les 15/20 dernières minutes. "Demolition" fait partie de ces films un peu pénibles à suivre car on ne voit pas bien où il va en venir, entrant ainsi dans la catégorie des œuvres comme "Sept vies", "Oldboy", ou dans une moindre mesure "Et après". Mais en aucun cas, "Demolition" n’arrive à leur niveau, bien que son charme agit sur un terme plus long. Je m’explique : tout de suite après l’avoir vu, je qualifiai ce film de tout juste moyen, certes doté d’une jolie fin, mais c’est tout. Sans plus. La nuit passée dessus, je me suis levé au matin avec le film en tête, et ma vision est devenue un peu différente, me faisant rajouter un bon point à ce que je voulais mettre au départ. Cependant je persiste à penser que le récit manque cruellement de profondeur, laquelle aurait permis au spectateur d’éprouver une profonde empathie envers le personnage principal. Nous avons seulement de la sympathie envers lui, ce qui est insuffisant au vu de la teneur du propos. Malgré mon avis partagé, je ne vois pas comment le réalisateur, les scénaristes et les comédiens auraient pu faire mieux. Ne voyant aucun défaut, je dois me résoudre à dire qu’ils sont parfaits, avec notamment un Jake Gyllenhaal lunaire en tête d’affiche. Ce dernier affiche même un talent supplémentaire dans la danse. Chris Cooper lui donne parfaitement la réplique, et est le plus convaincant des seconds rôles, malgré la prestation honorable de Naomi Watts, et plus particulièrement de Judah Lewis. Bien évidemment, le tout est porté par une bien jolie musique de Susan Jacobs, qui s’est permis le luxe de propulser Charles Aznavour sur le devant de la scène avec sa chanson "La bohème", parfois superbement réorchestrée en version piano. Pour conclure, "Demolition" est un film qui n’est pas extraordinaire en soi, mais il a le mérite... de marquer les esprits.
    Incertitudes
    Incertitudes

    203 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2016
    Un film déprimant mais assez révélateur sur notre mode de vie actuel en vogue depuis les années 90/2000. En effet, tout le monde se bat pour faire les meilleures écoles. Avoir le meilleur travail possible. Avoir une jolie femme. Gagner beaucoup d'argent pour pouvoir s'acheter une belle voiture. Une belle maison. Jean-Marc Vallée remet en cause ce schéma peut-être tentant sur le papier mais finalement assez creux en prenant un banquier devenu subitement veuf souhaitant donner un nouveau sens à sa vie. D'accord, la métaphore de la démolition de la maison n'est pas des plus subtiles. Surtout qu'elle revient avec beaucoup d'insistance. Oui, mais ce serait passé à côté de la cruauté du personnage ne semblant nullement affecté par le décès de sa femme à ses côtés dans un accident de voiture et nullement coupable de s'en être tiré à si bon compte. Ce serait passer à côté de sa folie douce qui va lui donner envie de repartir de zéro. De s'attacher à une mère célibataire droguée et de son fils homosexuel. Tour à tour grave, drôle, touchant, donnant à réfléchir sur notre propre vie et sur comment l'améliorer, plutôt que de la démolir, Demolition m'a plutôt donné envie d'aimer la vie, d'aimer les gens, d'aimer les rencontres et de saisir les occasions quand elles se présentent. Et même si ça ne se concrétisait pas, c'est bien d'y avoir au moins pensé le temps d'un film grâce au cinéma.
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