Mon compte
    Demolition
    Note moyenne
    3,8
    4197 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Demolition ?

    304 critiques spectateurs

    5
    30 critiques
    4
    131 critiques
    3
    83 critiques
    2
    40 critiques
    1
    11 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    182 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2016
    Encore une fois, Jake nous prouve son immense talent. Chacun de ses films est sensas ! (La rage au ventre, nightcall,...) L'histoire est originale, captivante, magnifiquement interpretée par Jack et Noami. Parfois triste, parfois drole, parfois surprenant, le film nous pose les bonnes questions sur l'amour, le couple, le deuil,... Un film à ne pas rater!!
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2016
    Jean-Marc Vallée, le réalisateur du génial "Dallas Buyers Club" ou du très beau "Wild" nous emmène à nouveau dans un univers un peu barré avec ce "Demolition", mais on en retire cette fois un sentiment partagé. Les envolées lyriques du héros de l'histoire - superbe interprétation bipolaire de Jake Gyllenhaal - sont masquées par quelques tunnels où le scénario se vautre dans la métaphore lourdingue de la démolition. Certaines scènes originales et bien trouvées - on pense à la belle rencontre avec la responsable des réclamations et son fils - sont suivies de situations tellement attendues et convenues que l'intérêt a tendance à s'émousser. On termine même sur une sorte de happy end déconcertant en total contresens avec le reste du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 avril 2016
    Après "Dallas Buyers Club", Jean-Marc Vallée nous présente un nouveau film plus haletant encore : "Demolition". Avec une bande originale de fou comprenant entre autres le fameux "Mr Big" de Free, "Crazy on You" de Heart, et autres titres de Eric Burdon, Aznavour et et même le tout dernier extrait de l'album de Lou Doillon.

    Une drôle d'impression au regard du film, j'avais la sensation de revoir ma vie après ma séparation, un grand sentiment de vide, une colère inexprimable, et puis la vie, tout doucement, qui reprend son cours et l'équilibre qui revient, en même temps que le calme. Un peu comme une reprise de la vie après un trauma. J'ai rarement été aussi ému par un seul film, il faut dire que j'en avais encore rarement vu qui exprimait aussi bien ce qu'à pu devenir ma propre vie entre 2014 et 2015, il y a des scènes entières que j'aurai pu filmer moi-même, donnant un rare sentiment autobiographique à l'ensemble de l'oeuvre. La souffrance parfois est trop grande pour arriver à s'exprimer par les voies usuelles. Le refus, le déni, ce sentiment étrange d'avoir raté une marche de sa propre vie ... J'invite vraiment ceux qui m'aiment, même un tout petit peu, à aller voir ce film, ca va surement vous aider à me comprendre !

    Et pour ceux qui le souhaitent, louez aussi Dallas Buyers Club, rien à voir avec ma vie celui-là mais une magnifique leçon d'humanité, de tolérance et de don de soi, toujours de Jean-Marc Vallée.
    benoitG80
    benoitG80

    3 408 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 avril 2016
    "Démolition" après être démoli par une certaine presse mérite pourtant bien plus qu'une certaine réhabilitation...
    C'est là un film bien pertinent et éminemment remuant que nous propose Jean-Marc Vallée, après un "Wild" plutôt moyen, mais surtout un excellent "Dallas Buyer Club" !
    Bien sûr d'emblée la métaphore tant critiquée est fort présente, quoique sans être une première puisque l'artiste Jean Raynaud a fait de même en détruisant sa maison, considérée par lui comme son œuvre ultime !
    Mais au delà de cette première impression qu'il faut essayer de dépasser, on reste très profondément touché par ce cas clinique, par cette étude passionnante de la psychologie humaine.
    Car c'est bien tout le manque d'affect à la mort de sa femme, et cet étrange comportement qui va interpeller ce banquier Davis Mitchell et aussi le spectateur lui-même qui va suivre la transformation de cet homme totalement éberlué !
    Si ce changement parait dans un premier temps étrange et forcé, on rentre petit à petit dans le fonctionnement du héros jusqu'à mettre le puzzle intérieur de Davis en place et même à sa place !
    Tout semble évident, tout parait tout à coup clair et limpide, tant cette démolition d'une vie plus que factice et donc vide de sens, est nécessaire pour revenir à l'essentiel.
    Même si là aussi, ce type de réaction après un traumatisme psychologique a déjà pu déjà être observé en psychiatrie, en échappant ainsi au schéma classique ou au bon code attendu de notre société dans un travail de deuil, il n'en reste pas moins que l'attitude déroutante de Davis captive littéralement.
    Cette focalisation du détail, cette névrose obsessionnelle qui pousse à tout détruire pour mieux comprendre et ordonner les choses, est franchement époustouflante dans sa démonstration.
    Jean-Marc Vallée a su pour cette entreprise, diriger Jake Gyllenhaal de main de maître...
    Ce dernier est parfait dans ce rôle de veuf hagard, planeur, déboussolé, perdu au milieu de nulle part et prêt à tout pour mieux redémarrer, d'autant plus que Naomi Watts en oreille attentive, permet de renforcer cet aspect déterminant.
    Il est certain que cette histoire pourra sembler exagérée et peut-être même provoquer un certain malaise, et pourtant l'idée forte qui s'en dégage a de quoi nous interroger, nous retourner en aboutissant à une réflexion où tout semble s'expliquer.
    La vie et ses travers, peuvent arriver à nous formater à tel point d'oublier qui l'on est, et pour qui et pour quoi l'on existe...
    Démolir cette façade carton pâte pour retrouver ses bases et ses sentiments est alors quelquefois le seul chemin possible et indispensable à une renaissance...
    Un très beau film porté par un Jake Gyllenhaal brillant et même lumineux.
    Leon Summers
    Leon Summers

    17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2016
    Avant de commencer, je tiens à spécifier que je suis vraiment fan de Jake Gyllenhaal, je trouve que c'est important de le préciser car sa influe sur mon opinion.
    Je trouve étonnant que la presse ai un avis si négatif à son égard.
    Le jeu d'acteur est excellent, et la ou l'on pourrait crier au cliché, les émotions et situations sont surprenantes. Ce film mélange drame et comédie non pas pour décoller de la situation mais surtout pour jouer sur l'innocence même, cela le rend appréciable et triste. Les situations intéressantes s’enchaîne et se succèdent en captivant par leurs originalités.
    Je n'ai vraiment pas vu le temps passé.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 avril 2016
    ennuyeux à mourir malgré une excellente performance de l'acteur principal, je ne comprends vraiment pas comment ce type d'histoire et la quasi absence de réel fil conducteur peuvent être plébiscités par un certain public...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 mai 2016
    Un film psychologique vrai et profond . Une trame singulière à la fois par sa simplicité et sa force. L'interprétation des personnages est remarquable. A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Compte tenu de la présence de Jake Gyllenhaal et de Jean-Marc Vallée, je m'attendais à mieux.. On peut dire qu'ils ne livrent ici que le service minimum, un film en demi-teinte et sans véritable passion. Bien sûr, ça se laisse voir sans déplaisir mais il ne faut pas s'attendre à assister au film de l'année!
    Requiemovies
    Requiemovies

    205 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2016
    Les films de Jean-Marc Vallée se ressemblent un peu tous, « Café de Flore », « Dallas Buyers Club », « Wild » et le petit dernier « Demolition » semblent avoir pour arme principale le jeu. A chaque fois, une direction d’acteur conjuguée à une solide interprétation, bien aidée il est vrai pas de très bons comédiens, font que ses films restent intéressants.
    On retrouve hélas dans « Demoliton » les mêmes défauts que dans les précédents, cette difficulté à porter la dramaturgie dans une linéarité cinématographique. On sent clairement la fibre émotionnelle qu’il tente d’atteindre mais de manière assez maladroite. Si Jake Gyllenhaal s’en sort une fois de plus haut la main, le comédien est toujours et encore virtuose du jeu, mais l’ensemble laisse un vide certain malgré les propositions du réalisateur. La bonne idée du burn-out (« valeure actuelle », post-moderne, de notre société) comme point de départ d’une critique sociale, de sa modernité, et de sa matérialité. Or, le film ne semble pas vraiment savoir sur quel pied valser pour vraiment être attachant, touché. Quelques séquences fulgurantes font penser à un roman américain à la Douglas Coupland, mais le reste est figé dans quelques stéréotypes de la critique moderne de la société, la faute probable à un trop plein, on parle de tolérance, des genres, d’amour, de factuel, de deuil... C’était probablement trop de sujets pour un film que se veut indé et tend à viser la simplicité. Heureusement Jake Gyllenhaal porte encore et toujours un film au-delà de la simple stature de film moyen. Merci qui ?!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 avril 2016
    Tendre et émouvant. Gyllenhaal est parfait comme toujours. Sans prétention, sans excès, juste un bon moment de cinéma qui ouvre sans prise de tête sur quelques réflexions existentialistes dont nous nous éloignons malheureusement trop souvent.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Les deux précèdent films de Jean-Marc Vallée Dallas Buyers Club et Wild sont des films dramatiques assez léger et qui sont porté par d'incroyables performances d’acteurs, et c'est encore le cas ici.
    On suit Jake Gyllenhaal qui vient de perdre sa femme et qui n'éprouve rien, il va alors tout démolir pour sortir de quotidien de banquier ultra formaté afin de mieux comprendre comment fonctionne les choses et enfin prendre en compte des petits détails du quotidien.
    Porté par Jake Gyllenhaal toujours impeccable dans un rôle au bord de la folie, Naomi Watts très juste, Chris Cooper très touchant et Judah Lewis qui est une vraie révélation, le film est agréable à suivre et la mise en scène avec des effets de montages propre à Jean-Marc Vallée offre des scènes d'une beauté et d'une fulgurance et émotionnel profondément touchante.
    Comme pour les précédents films de Jean-Marc Vallée Démolition est ponctué d’excellentes musiques. Malheureusement le film tarde trop à faire évoluer le perso de Jake Gyllenhaal ce qui créer une longueur et une certaine lassitude du spectateur.
    Même si démolition est en deçà de Wild et Dallas Buyers Club, on en sort avec plein d'espoir l'humanité et l'envi d'être quelqu'un de bien pour les autres.
    Olivier D
    Olivier D

    31 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2016
    Assez déroutant comme oeuvre. Le 1er gros point fort pour moi, c'est les acteur. J'adore ces deux acteurs. Ce qui est pour moi très important. L'histoire est originale et plutôt inattendu. Et pour moi sa marche, on se retrouve avec un personnage complètement barré à la recherche d'émotions qui rencontre une autre personne tout aussi excentrique. Je peux comprendre que sa ne plaise pas, il y a également quelques passages que jai moins appréciés. Mais pour moi l'ensemble est bon et sa marche.
    islander29
    islander29

    855 abonnés 2 352 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2016
    Disons le d'entrée, voilà un petit bijou.....Un numéro d'acteur, mais pas que de Jake Gyllenhall, ceux des beaux seconds rôles , Naomie Watts entre autre et un très prometteur jeune garçon (éphèbe ?) Judah Lewis.......c'est un film sucré salé, où un personnage se libère d'un deuil par de petits pétage de plomb......
    Il rencontre d'autres personnages qui l'accompagnent dans ce qu'il y a lieu de considérer comme un combat intérieur , mais dont ils tirent profit d'une certaine manière......C'est superbement filmé, avec parfois des séquences insolites, (la course de garçons filmée à l'envers au ralenti vaut son pesant d'or), accompagnées d'une bande son à la fois provocante et subtile..... On est je dirais presque toujours étonné par les dialogues et les mécanismes du scénario, par l'émotion et la sensibilité de ce personnage si lunaire, voire mélancolique mais rêveur et attachant......C'est le genre de film qui vous attache en sortant, qui provoque un sentiment paisible de bonheur.....Je conseille....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 avril 2016
    Super film, du début à la fin. Fort en émotions sur la fin, avec une histoire assez intriguante et des scènes bien drôles. À voir, il ne décevra pas.
    tixou0
    tixou0

    694 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2016
    Très bonne surprise que ce nouveau film américain du Québécois Jean-Marc Vallée - surtout après un "Wild" léché et cucul la praline (2013), et, plus encore, ce si surfait "Dallas Buyers Club" (2013), surfant l'un et l'autre sur l'avantageux registre de l'"aventure humaine", à grands coups du plus éhonté des formatages. "Demolition" est très inventif dans son traitement de la dépression d'après deuil. Le trentenaire doré sur tranche "Davis Mitchell" (Jake Gyllenhaal) applique avec panache une auto-thérapie aussi originale que radicale, justifiant (au sens propre) le titre du film, pour mieux renaître (paradoxalement) à l'affectivité. Il est vrai que ledit psychodrame se cale par ailleurs sur la rencontre improbable spoiler: (via un service "clients" de distributeur de friandises !)
    de "Karen Moreno" (Naomi Watts - impeccable) et de son fils ado, "Chris" (Judah Lewis - très prometteur). La mise en scène, le montage : parfaits. Et un époustouflant JG. Qui fait passer comme une lettre à la poste (private joke, en la circonstance...) le plus délirant, le plus potentiellement outré, avec une facilité et un naturel emballants. Les cercles "sachants" de la "culture" bobo n'ont pas aimé ("mélo" , "chronique aigrelette", ou "lourdingue", et autres blablas...) - une raison de plus de courir se laisser séduire par un excellent moment de cinéma !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top