Mon compte
    Demolition
    Note moyenne
    3,8
    4198 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Demolition ?

    304 critiques spectateurs

    5
    30 critiques
    4
    131 critiques
    3
    83 critiques
    2
    40 critiques
    1
    11 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    T-Tiff
    T-Tiff

    92 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2016
    "Démolition" est le nouveau film de Jean-Marc Vallée racontant l'histoire d'un homme qui ne trouve plus de sens à sa vie après la mort de sa femme, ne ressentant plus aucune émotion. Commence alors la démolition, détruire pour reconstruire, pour comprendre comment ça marche et pour faire sortir cette rage, cette colère. La métaphore est filée tout au long du film, mais jamais avec trop de lourdeur. Le film bénéficie surtout de l'excellente interprétation de Jake Gyllenhaal qui est devenu progressivement un acteur incontournable du cinéma indépendant. Le film est profondément cynique, mais trouve une porte de sortie émotive pour se donner une véritable fin. L'histoire d'amour très banal du personnage semblait toutefois indispensable pour que le film ne soit pas totalement creux. Les personnages secondaires sont également intéressants. "Démolition" est un film astucieux, avec une mise en scène très travaillée, il qui vaut le détour.
    Unc-Scrooge
    Unc-Scrooge

    51 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2016
    Jake Gyllenhaal est définitivement un acteur à part, à mi chemin entre le grand Hollywood et le film d’auteur, enchainant ses petits films ou il va s’accaparer l’écran, l’histoire et les pensées du spectateur. Dernier exemple en date, Demolition est un film au script on ne peut plus ténu (un homme dont le paquet de M&M’s n’est pas tombé du distributeur), dont le réalisateur, connu pour l’oscarisé Dallas Buyer Club, livre ici une œuvre bien plus secondaire. Au final, Demoliton est un ensemble propre, bercé par une douce Bande Originale, servie par un brillant duo d’acteurs, mais qui aurait profité d’une vraie histoire. Car le film nage entre le post it scénaristique et le déjà vu, multipliant les moments de mélancolies pour sauver son spectateur. Heureusement que le tandem Gylenhaal / Watts a fait le boulot et que le moment de regression opère à plein...
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    688 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Démolition parvient à éveiller de nombreux sentiments salvateurs. Avec l'aide de Jake Gyllenhaal une fois de plus impeccable dans son rôle, Jean-Marc Vallé distille une histoire de rédemption touchante et prenante par l'aspect psychologique de son personnage. Un film positif et touchant porté par sa mise en scène en apesanteur.

    https://m.facebook.com/AubinBouilleJoinville/
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    62 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2016
    Trois ans après avoir été auréolé de son succès pour "Dallas Buyers Club", qui figurait dans la course aux oscars, Jean Marc-Vallée récidive avec une une oeuvre singulière tant on ne sait pas où le cinéaste veut en venir dans la première demi heure, mais foutrement réussie et originale. L'intrigue met en scène un banquier d’affaires au rythme de vie chronométré, qui perd tragiquement sa femme dans un accident de voiture. Celui-ci fait alors face au deuil d’une manière pour le moins inattendue... Scénarisé par Bryan Sipe, l'histoire est une belle leçon de vie qui met en avant des personnages bouleversants pour lesquels le spectateur va développer une empathie immédiate. Époustouflant, Jake Gyllenhaal est totalement habité en jeune loup de la finance ayant perdu sa femme, il jongle avec les émotions et les humeurs et apporte de la subtilité et de la, profondeur à son jeu, ce qui va donner naissance à de belles séquences notamment celle où il danse avec son casque sur les oreilles dans les rues. Sa rencontre avec Naomi Watts, plutôt à l'aise dans son rôle, va lui donner l'occasion de casser son amère routine et de faire ce que bon lui semble, au gré de ses humeurs et de ses envies. Du côté technique, la réalisation ne souffre aucun défaut majeur et jouit d'une belle photographie et d'une mise en scène enlevée (quelques belles scènes caméra à l'épaule). La bande originale pop et l'utilisation de la voix-off apporte une touche de fraîcheur au film, qui propose une réflexion sur l'absence de sentiments et sur l'aspect libérateur de la séparation. Ainsi, "Démolition" est une belle tragédie humaine et intimiste sur la reconstruction d'une âme à travers sa démolition.
    HawkMan
    HawkMan

    177 abonnés 1 183 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2017
    L'histoire raconte la dérive d'un homme qui perd sa femme lors d'un accident de la route... mais cette dérive n'est pas celle que l'on pense, puisque cet homme ne ressent rien pour la disparition de sa femme. Il se pose à la place de nombreuses questions sur l'utilité de produits banals et est perturbé par le fait qu'un distributeur n'a put lui apporter ce qu'il voulait... Étrange idée que de raconter cette histoire. Et la composition des acteurs est également loufoque. Jake Gyllenhaal et Naomi Watts sont complètement barrés. Même si beaucoup d'humour est présent, on ne peut pas parler d'un immense film mais on passe toutefois un bon moment car celui-ci se révèle bien intrigant.
    Bref : si vous voulez faire table rase de votre vie passée, il faut tout démolir !!
    Silence ça tourne
    Silence ça tourne

    21 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2017
    Jean-Marc Vallée est de retour avec un nouveau film, un nouveau drame Démolition après avoir réalisé l'année dernière Wild et un an avant celui-ci le très bon Dallas Buyers Club. Habitué de diriger de grand acteurs et de leurs offrir d'excellent rôle comme pour Reese Witherspoon, Matthew McConaughey ou encore Jared Leto, c'est au tour de l'immense Jake Gyllenhaal d'être la tête d'affiche d'un de ses film. Démoliton traite des sentiments ressentis et l'absence de ceci ainsi qu'une réflexion au deuil. Un film qui s'annonçait très lourd mais on sort au final après son visionnage avec un sentiment plutôt agréable. C'est un film optimiste qui nous rappelle qu'il faut prendre le temps de vivre et d'aimer.
    La scène d'intro est impressionnante et nous permet d'être de suite captiver par le récit. La façon dont les choses se déroulent ainsi que la façon dont le film est raconté sont tout simplement parfaite. La mise en scène au découpage très prononcés parfois même proche d'un découpage à la Terrence Malik ne nous perd jamais mais bien au contraire nous entraîne encore un peu plus dans la psychologie de ce personnage très complexe. Toutes les relations entre le personnage principal Davis, avec son Beau père, la mystérieuse Karen ou encore avec le fils de celle-ci sont intéressantes et travaillé à la perfection. Le thème du film est respecté du début à la fin. Il est mené admirablement bien tant que part le scénario de Bryan Sipe que part la réalisation de Jean-Marc Vallée. Le parcours psychologique du personnage principal est d'une grande finesse et magnifiquement construit. En plus de ceci, l'immense et unique Jake Gyllenhaal est tout simplement extra, mais ce n'est pas une surprise. Il bouffe l'écran et continue dans la lignée de ses récentes performances : Enemy, Night Call, La Rage au Ventre... Il est accompagné par la sublime Naomi Watts, L'excellent Chris Cooper, et la jeune révélation Judah Lewis, impressionant pour sa première fois derrière l'écran.
    Bref, malgré de petite baisse de rythme par moment au milieu du long métrage, le film et son propos sont mené d'une main de maître par son réalisateur Jean-Marc Vallée. Davis, ce personnage à la psychologie complexe est parfaitement construit et en plus de cela joué parfaitement par l'immense Jake Gyllenhaal comme à son habitude.
    axelle J.
    axelle J.

    117 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2016
    Je n'ai pas du tout aimé ce film.
    On s'ennuie ferme et ce n'est pas émouvant du tout tant le personnage du film est désagréable.
    J'aurais bien aimé apprécier cette histoire mais ce n'est pas possible.
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2016
    Jean-Marc Vallée, le réalisateur du génial "Dallas Buyers Club" ou du très beau "Wild" nous emmène à nouveau dans un univers un peu barré avec ce "Demolition", mais on en retire cette fois un sentiment partagé. Les envolées lyriques du héros de l'histoire - superbe interprétation bipolaire de Jake Gyllenhaal - sont masquées par quelques tunnels où le scénario se vautre dans la métaphore lourdingue de la démolition. Certaines scènes originales et bien trouvées - on pense à la belle rencontre avec la responsable des réclamations et son fils - sont suivies de situations tellement attendues et convenues que l'intérêt a tendance à s'émousser. On termine même sur une sorte de happy end déconcertant en total contresens avec le reste du film.
    Dan S.
    Dan S.

    17 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2016
    Originale dans son appréhension d'un décès, ce film est teinté d'humour parfois étonnant. Les personnages sont réellement bien travaillés et joués. Rien ne nous transporte vers un film d'exception mais sa poésie vaut à elle seule le coup de le visionner.
    Flaw 70
    Flaw 70

    259 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 avril 2016
    Jean-Marc Vallée connait une ascension fulgurante de sa carrière depuis l'excellent Dallas Buyers Club, qui voyait sa réussite par sa sincérité et la force de ses acteurs. Ayant accès à des castings plus prestigieux et une renommé qui le place dans la catégorie des réalisateurs indépendants sur lesquels on peut compter à Hollywood, il enchaîna très vite assez ses deux derniers films, Wild et Demolition. Wild était une déception en vu de ce que le metteur en scène avait fait précédemment. Le film s'embourbant dans un style artificiel et vain qui n'était sauvé que par ses acteurs impeccables. On est donc légèrement perdu face au style de Vallée, qui donne l'impression d'avoir pris tellement d'ampleur qu'il à perdu ses objectifs premiers, l'émotion et la sincérité. On est donc sur la retenue face à son dernier film qui est symptomatique de son évolution, entre intellectualisation plus rigoureuse mais sensibilité mise au placard.
    Le scénario à pourtant l'originalité de prendre le traitement du deuil d'une manière assez peu exploité. Même si on final c'est très prévisible et que l'on en arrive au même conclusion, le parcours se montre indéniablement plus frais et convaincant. Évitant le pathos qui aurait pu être de rigueur pour offrir un récit aéré et qui ne néglige pas la légèreté et l'humour malgré son sujet grave. Mais le fait est que le film se retrouve le cul entre deux chaises, celle du feel good movie et celle du drame indépendant américain, culminant les défauts des deux genres. Il sera donc parfois bien trop cul-cul notamment dans sa conclusion mais aussi parfois bien trop cynique dans sa manière de mélanger les drames humains. Le personnage de la mère et de son fils qui viennent en "aide" au personnage principal vont forcé et déconnecter du reste, comme si il y avait un film dans le film et que celui-ci racontait totalement autre chose. Cet aspect et pas des plus maîtrisé et est typique des drames du genre, on rajoute une couche de drama pour alourdir l'ensemble et créer une pseudo romance pour accrocher le spectateur et faire un destin croisé de deux âmes errantes. Surtout que ce n'est pas subtil dans sa manière de signifier que ses personnages ne sont pas comme les autres et à un regard un peu hautain sur le monde qui l'entoure, desservant son propos et étant bien trop moralisateur dans son intellectualisation. Alignant les symboles et les métaphores de manière lourde et bien trop appuyées, le film trahit son manque de sincérité au profit de la cohérence filmique avec l'oeuvre de son réalisateur. Il continue à se fasciner pour les personnages qui se déconstruisent pour mieux se reconstruire et trouver le sens de leur vie. Mais il porte un regard de plus en plus détaché sur eux, et même si il se renouvelle dans son point de vue, il devient moins subtil. La déconstruction étant ici très littéral et passant par la destruction.
    Le casting est excellent. Totalement habité par son personnage, Jake Gyllenhaal offre une prestation phénoménale. Comme à son habitude il est brillant et tient très largement le film sur ses épaules, à tel point que sans lui l'ensemble n'aura pas eu la même saveur et aurait paru bien fade. Il arrive toujours à impressionner en naviguant dans des registres très différents sans se laisser aller à la facilité montrant qu'il est bel et bien le meilleur acteur de sa génération. Il est soutenu par Naomi Watts, qui est toujours aussi juste et qui excelle suffisamment pour ne pas se faire bouffer par la présence imposante de Gyllenhaal. Tandis que l'on est admiratif devant le talent du jeune Judah Lewis, très bon dans un rôle loin d'être facile et Chris Cooper est lui aussi impeccable malgré un rôle un peu plus caricatural.
    La réalisation brille surtout par son montage, qui accentue bien les phases de deuil de son personnage. Multipliant les flashs et apparaissant comme un vrai puzzle mental, il dynamise le rythme globalement et happe vraiment le spectateur surtout qu'il est soutenu par une sélection musicale bien pensée et entraînante. Le travail sur la photographie et en retrait mais si il y a des jeux assez intéressant sur les reflets et la mise au point sauf que c'est bien trop appuyé pour faire pleinement son effets. La mise en scène de Jean-Marc Vallée dispose de très bonnes idées dans la manière de souligner le décalage du personnage jouant sur les ralentis, des effets d'inversions dans les travellings, et etc. Il utilise un langage cinématographique assez dense pour exprimer toute ses idées en faisant quelque chose d'assez habile mais qui finit par tourner en rond et se perdre. Notamment dans sa façon de ne pas être capable d'assumer le point de vue de son personnage jusqu'au bout, rompant son procédé à mis parcours pour multiplier les points de vue et rendant le film plus classique. Il est pas subtil dans le traitement de son personnage, qui est bien rasé et soigné quand il va bien et débraillé et avec la barbe quand il est au plus mal, ce qui est une manière très grossière de signifier son état émotionnel. Il est aussi putassier quand il cède à la facilité d'une séquence à "suspense" lors de la fin pour ajouter maladroitement du drame, se montrant très cynique dans son approche.
    En conclusion Demolition est un film sympathique dans la mesure où il possède un casting formidable, Jake Gyllenhaal parfait, qui insuffle une profondeur à l'ensemble. Comme souvent Vallée est sauvé par son casting mais ici le film sera plus digeste que son Wild, notamment grâce à une approche original et plaisante du deuil, qui évite le pathos larmoyant et qui possède des idées de mise en scène vraiment audacieuses et travaillées. Le problème c'est que Jean-Marc Vallée n'arrive pas à tenir la distance et fini par se perdre dans le classique au sein d'une seconde partie plus morne et qui tourne en rond. On reste donc sur notre faim mais pas totalement déçu de ce petit film attachant malgré son final cul-cul et un cynisme qui vient peu à peu envahir l'écran. Ce qui souligne le défaut le plus impardonnable du film; son manque de sincérité qui empêche toute émotion.
    moonboots
    moonboots

    58 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juillet 2016
    Un brillant trader perd sa femme dans un accident de voiture, nous suivons son errance dans les jours et les semaines qui suivent, hélas un sujet grave ne fait pas forcément un bon film
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 mai 2016
    Nul ! Film inintéressant
    Histoire sans réellement de fin, on attend toujours qu'il ce passe quelques chose d'intéressant mais rien .
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 avril 2016
    Démolition ou comment se reconstruire….encore

    Pour son nouveau film, le réalisateur québécois Jean-Marc Vallée se penche une nouvelle fois (comme ce fut le cas pour Wild) sur un sujet vu et revu au cinéma : le deuil et la reconstruction. Écrit par Bryan Sipe (qui s’inspire ici de son parcours artistique chaotique), Démolition suit ici le parcours d’un jeune loup de la finance qui voit sa vie basculée après le décès accidentel de sa femme. Sa thérapie se fera à coup de lettres envoyées à une entreprise de distributeurs et dans la destruction de tout bien matériel en sa possession. Son objectif est de faire table rase du passé pour mieux revivre. S’en suivra une rencontre avec Karen (Naomi Watts) et son fils Chris (Judah Lewis), révélation de ce film.

    Mélangeant à la fois l’humour et le drame, Démolition ne parvient pas à convaincre totalement, la faute à un sujet trop vu ces derniers temps et à sa construction trop atypique et mégalomane. Le scénario manque par ailleurs de finesse, l’idée de démolir pour se reconstruire ressemble au final à du travail de gros œuvre bourré de stéréotypes. La force de ce film, ce sont les acteurs, tous impeccables. On ne peut que saluer une nouvelle fois la prestation remarquable de Jake Gyllenhaal, juste et qui n’en fait pas des tonnes (contrairement au scénario). L’acteur de Southpaw et Prisoners est arrivé à un stade où il peut jouer n’importe quel rôle, il sera toujours aussi bon. On est aussi subjugué par la révélation de ce film le jeune Judah Lewis qui incarne ici le fils destroy de Naomi Watts qui est une véritable boule d’énergie et très inventif dans son jeu. On se demande encore pourquoi il n’a pas été retenu pour interpréter Spiderman.

    En somme, on va voir Démolition principalement pour ses acteurs, remarquables. Si le film n’est pas mauvais en soi, il manque cruellement de surprises et son scénario est d’une lourdeur martelée de stéréotypes.

    Démolition (CAN – USA, 1h41

    Un film de Jean-Marc Vallée

    Avec Jake Gyllenhaal, Naomi Watts, Chris Cooper et Judah Lewis.

    En salles le 06 avril
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 avril 2016
    Tendre et émouvant. Gyllenhaal est parfait comme toujours. Sans prétention, sans excès, juste un bon moment de cinéma qui ouvre sans prise de tête sur quelques réflexions existentialistes dont nous nous éloignons malheureusement trop souvent.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 avril 2016
    ennuyeux à mourir malgré une excellente performance de l'acteur principal, je ne comprends vraiment pas comment ce type d'histoire et la quasi absence de réel fil conducteur peuvent être plébiscités par un certain public...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top