Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Monde
par Franck Nouchi
Simplement, sans fioritures ni caricatures, elle (Marianne Tardieu, la réalisatrice) a su trouver le ton juste pour évoquer la vie en grande banlieue. À la fois social et noir, son film déborde d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Il y a dans ce premier long métrage (...) une volonté louable de dépeindre la jeunesse de banlieue sans tomber dans les clichés. Chronique intelligente sur les obstacles à l'ascension sociale (...).
Positif
par Fabien Baumann
"Qui vive" s'inscrit au générique sans trait d'union, non pas substantif inquiet, mais entame d'une phrase à prolonger. Très belle idée.
Télérama
par Cécile Mury
La réalisatrice réussit, surtout, un beau portrait d'homme, avec ses contradictions, sa douceur, sa fatigue et son mal-être.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Qui vive a une idée certes juste de ce qu’il ne faut pas faire, mais demeure loin des visions troubles produites dans les banlieues cette année, de Bird People à Mercuriales.
Critikat.com
par Sophia Collet
Si le film ne dévie pas d’une esthétique naturaliste, prépondérante dans le cinéma français, sa tentative de lyrisme en pointe justement toute la limite d’image fonctionnelle à l’égard d’un récit et d’une conformation au « réel » toujours aussi hégémoniques sur toute création.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un premier film un peu emprunté, qui hésite entre chronique sociale, histoire d’amour et polar.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
La mise en scène ne s’encombre sans doute pas assez de ses personnages secondaires, pourtant défendus par des acteurs impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Julien Gester
Faute de jamais trancher tout à fait au gré de sa baguenauderie entre les divers genres, "Qui vive" ne trouve à offrir qu’une chose à laquelle il ne semble pas tout à fait hasardeux de river les regards (...) : une figure d’individu aux ultracontemporaines indécisions, placé sous la caresse d’une certaine lumière, à l’inflexible principe de douceur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Si le film n'évite pas quelques écueils, surlignant le trait par moment, "Qui Vive" surprend par son final inattendu, qui fait le pari de ne pas condamner moralement le héros.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gaël Golhen
Thriller social et drame existentiel, ce film sur la banlieue est ancré dans une violence asphyxiante, pourtant traversée d'une douceur inouïe.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
La Croix
par Marie Soyeux
La mise en scène et le développement de l’intrigue présentent les faiblesses d’un premier long-métrage encore inabouti. (...) Le film gagnerait à être canalisé et densifié pour faire sentir dans toute son ampleur la solitude du vigile.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
La cinéaste tire un film lui-même partagé, mêlant la chronique sociologique et le récit policier (…) mais s’avère aussi un peu sage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Les maladresses de ton du film et les contingences propres à ce type de petites productions en diminuent l'intérêt dans une deuxième partie bancale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
Simplement, sans fioritures ni caricatures, elle (Marianne Tardieu, la réalisatrice) a su trouver le ton juste pour évoquer la vie en grande banlieue. À la fois social et noir, son film déborde d'humanité.
Le Parisien
Il y a dans ce premier long métrage (...) une volonté louable de dépeindre la jeunesse de banlieue sans tomber dans les clichés. Chronique intelligente sur les obstacles à l'ascension sociale (...).
Positif
"Qui vive" s'inscrit au générique sans trait d'union, non pas substantif inquiet, mais entame d'une phrase à prolonger. Très belle idée.
Télérama
La réalisatrice réussit, surtout, un beau portrait d'homme, avec ses contradictions, sa douceur, sa fatigue et son mal-être.
Cahiers du Cinéma
Qui vive a une idée certes juste de ce qu’il ne faut pas faire, mais demeure loin des visions troubles produites dans les banlieues cette année, de Bird People à Mercuriales.
Critikat.com
Si le film ne dévie pas d’une esthétique naturaliste, prépondérante dans le cinéma français, sa tentative de lyrisme en pointe justement toute la limite d’image fonctionnelle à l’égard d’un récit et d’une conformation au « réel » toujours aussi hégémoniques sur toute création.
Le Dauphiné Libéré
Un premier film un peu emprunté, qui hésite entre chronique sociale, histoire d’amour et polar.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène ne s’encombre sans doute pas assez de ses personnages secondaires, pourtant défendus par des acteurs impeccables.
Libération
Faute de jamais trancher tout à fait au gré de sa baguenauderie entre les divers genres, "Qui vive" ne trouve à offrir qu’une chose à laquelle il ne semble pas tout à fait hasardeux de river les regards (...) : une figure d’individu aux ultracontemporaines indécisions, placé sous la caresse d’une certaine lumière, à l’inflexible principe de douceur.
Paris Match
Si le film n'évite pas quelques écueils, surlignant le trait par moment, "Qui Vive" surprend par son final inattendu, qui fait le pari de ne pas condamner moralement le héros.
Première
Thriller social et drame existentiel, ce film sur la banlieue est ancré dans une violence asphyxiante, pourtant traversée d'une douceur inouïe.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La Croix
La mise en scène et le développement de l’intrigue présentent les faiblesses d’un premier long-métrage encore inabouti. (...) Le film gagnerait à être canalisé et densifié pour faire sentir dans toute son ampleur la solitude du vigile.
Les Inrockuptibles
La cinéaste tire un film lui-même partagé, mêlant la chronique sociologique et le récit policier (…) mais s’avère aussi un peu sage.
aVoir-aLire.com
Les maladresses de ton du film et les contingences propres à ce type de petites productions en diminuent l'intérêt dans une deuxième partie bancale.