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Votre avis sur Les Enquêtes du Département V : Profanation ?
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Ce qui m'a plu c'est le rythme donné à l'intrigue, parfois très lente et statique au debut elle devient plus prenante et développe un réelle angoisse dans cette sobriété noire et glauque. La lumière est très bien utilisée, le tons et la mise en forme me font penser au cinéma anglais, on est dans le nord, l'humide, le glacé… L'acteur principal porte à lui seul une grande partie de la psychologie du film, on a l'impression que ce qui ce passe autour de lui est ce qui se passe dans son être profond. J'ai bien aimé.
Un polar/thriller danois captivant. Les personnages bien campés par un casting réussi avancent dans une enquête de cold case glauque à souhait. Le scénar basé sur une suite de flashbacks est habile et vous tient en haleine jusqu'au final. Pour couronner le tout la photo est excellente et rajoute à la froideur de l'ensemble. Une vraie réussite. Il faut absolument que je voie "Miséricorde" le 1er volet!
defleppard
Un second volet de qualité, un poil en dessous du 1er au niveau de l'intensité finale. 3 étoiles et demie. Vivement le 3eme opus.
2eme volet des enquêtes du département V spécialisé dans les crimes non résolus.
Après le 1er volet réussi , ce film nous porte vers une autre enquête qui va bousculer encore une fois nos 2 flics que tout oppose mais carrément complémentaires .
La psychologie des criminels est travaillée et a l'aide de flash-back on arrive a suivre l'évolution des profils des personnages.
Le côté angoissant et haletant de l'enquête est bien présent . Bon thriller !!
Après le 1er volet réussi , ce film nous porte vers une autre enquête qui va bousculer encore une fois nos 2 flics que tout oppose mais carrément complémentaires .
La psychologie des criminels est travaillée et a l'aide de flash-back on arrive a suivre l'évolution des profils des personnages.
Le côté angoissant et haletant de l'enquête est bien présent . Bon thriller !!
Excellent thriller, comme le premier "Miséricorde". Sombre, glauque, même parfois dérangeant mais intrigue qui maintient l'intérêt du spectateur de la première à la dernière image. Réalisation parfaite, pas de policière ou enquêtrice "bimbo" au brushing impeccable qui court sur des talons de 8 centimètres, pas de courses poursuites, pas de "pan-pan" toutes les 5 minutes, pas d'incohérences, à l'opposé des productions américaines sur tous les plans. Les Scandinaves savent vraiment réaliser des films (ou séries aussi) qui méritent d'être vus, pour les amateurs du genre. A voir
Dans la lignée du premier, une autre enquête tout aussi passionnante à suivre.
De retour et de la même veine, pas meilleur ni plus mauvais. Du bon, du solide avec un espace pour le compère, humanisant un peu plus cette froideur, toujours latente, à tous les étages.
Des images plus dures que dans le premier, toujours en restant dans le regardable, sans détour, souvent brut et habilement maitrisé.
Un thriller soigné, précis. A suivre également avec le 1er (qu'il faut impérativement regarder avant). 4/5 !!!
Des images plus dures que dans le premier, toujours en restant dans le regardable, sans détour, souvent brut et habilement maitrisé.
Un thriller soigné, précis. A suivre également avec le 1er (qu'il faut impérativement regarder avant). 4/5 !!!
Du polar organique
Carl et Assad sont de retour sur un bon vieux dossier classé depuis les années 90. L’intensité de l’enquête est aussi puissante que la dernière.
C’est du thriller qui prend à l’estomac et qui serre la gorge. Les deux inspecteurs se complètent en étant totalement différents.
Carl le solitaire est désabusé et obstiné. Assad se sent comme responsable de cette âme en peine, une étrange amitié les lie.
On attend déjà un troisième dossier, c’est encore plus addictif qu’une série.
Cette fois c’est du lourd, avec des fantômes qui reviennent de loin, des crimes crapuleux pour le corps et l’esprit. Kimmie été témoin du crime des jumeaux, la jeune femme a été violée et son frère tué sauvagement. Depuis 15 ans elle se planque pour sauver sa peau. C’est par amour qu’elle a suivi le tueur et son complice et, durant 15 ans, elle va garder un mélange détonant d’amour et de haine.
La ténacité de Carl doublée de la patience d’Assad vont permettre à l’affaire d’être enfin résolue. Nikolaj Lie Kaas (Carl) et Fares Fares (Assad) sont leurs personnages avec conviction et talent. Ils sont maintenant soutenus par une jeune secrétaire Rose Knudsen (Johanne Louise Schmidt) qui colle au duo à merveille.
Mikkel Norgaard est déjà un maître du polar et va devenir incontournable.
Carl et Assad sont de retour sur un bon vieux dossier classé depuis les années 90. L’intensité de l’enquête est aussi puissante que la dernière.
C’est du thriller qui prend à l’estomac et qui serre la gorge. Les deux inspecteurs se complètent en étant totalement différents.
Carl le solitaire est désabusé et obstiné. Assad se sent comme responsable de cette âme en peine, une étrange amitié les lie.
On attend déjà un troisième dossier, c’est encore plus addictif qu’une série.
Cette fois c’est du lourd, avec des fantômes qui reviennent de loin, des crimes crapuleux pour le corps et l’esprit. Kimmie été témoin du crime des jumeaux, la jeune femme a été violée et son frère tué sauvagement. Depuis 15 ans elle se planque pour sauver sa peau. C’est par amour qu’elle a suivi le tueur et son complice et, durant 15 ans, elle va garder un mélange détonant d’amour et de haine.
La ténacité de Carl doublée de la patience d’Assad vont permettre à l’affaire d’être enfin résolue. Nikolaj Lie Kaas (Carl) et Fares Fares (Assad) sont leurs personnages avec conviction et talent. Ils sont maintenant soutenus par une jeune secrétaire Rose Knudsen (Johanne Louise Schmidt) qui colle au duo à merveille.
Mikkel Norgaard est déjà un maître du polar et va devenir incontournable.
un très grand moment, une actrice a la hauteur, un scénario bien ficelé, pressé de voir le prochain épisode...
Un thriller danois qui constitue, après "Miséricorde", le deuxième volet de la saga des Enquêtes du Département V. Un film froid, glauque et captivant, qui, à la manière du premier opus, reconstitue son histoire par étapes, à l’aide de flashbacks. Cependant, "Profanation" propose moins de suspense et de tension que son prédécesseur ; plus violent et malsain, il s’axe davantage sur la psychologie des personnages, sondant les tréfonds et la noirceur de l’âme humaine. Un polar nordique sombre et fascinant !
Vinz1
Aussi bon que le précédent : l'enquête nous happe véritablement et l'ambiance glauque ne nous lâche pas du début à la fin. Mais bon, d'aucuns pourraient arguer et ce, à juste titre, que finalement ce n'est qu'un énième rejeton de "Millénium" et que l'on se lasse un peu vite du duo de flics, stéréotypés à mort : le bourru et le sympa, ça use à la longue !
C'est glauque, voire sordide, et long, très long. Pas un "thriller", car aucun suspense, pas un "polar", car enquête sans relief. Plutôt une sorte d'étude de moeurs, genre "les riches, c'est méchant - et même quand ils sont encore jeunes" (affaire se situant à la base dans un établissement secondaire huppé). "Profanation".... Bof !.... Et l'acteur principal (Nicolaj Lie Kaas) a le même visage fermé de boxeur taciturne, du début à la fin - ce qui lasse rapidement...
FaRem
"Profanation" est dans la lignée de "Misericorde", un thriller sombre et violent qui est parfaitement mené du début à la fin. L'intrigue, bien que prévisible et sans véritable surprise, est toujours autant efficace et captivante surtout qu'elle est portée par d'excellents acteurs. Par rapport au 1er, je le place au même niveau, les deux ont des qualités et des défauts différents, mais ce sont deux bons films.
Toujours aussi efficace. Super bien tourné, les acteurs sont encore au rendez - vous. Cette fois - ci, plusieurs personnages font partie de l'intrigue criminelle. Cela ne permet aucune lassitude tout au long du film.
Un peu à la manière de Millenium, Les Enquêtes du Département V démontre tout le savoir-faire des productions nordiques pour les thrillers, en instaurant une intrigue froide et réaliste, calibrée par une palette de dialogues vivants, et à l'ambiance pesante. Et pour ce faire, Mikkel Norgaard, chef d'orchestre terre-à-terre, dispose d'un bon mode opérateur puisqu'il plonge rapidement le spectateur dans l'huile bouillante, en usant d'une violence omniprésente et d'un réalisme à tout faire. En sus, la photographie est sombre, les paysages glaçants et les interprétations fascinantes, ce qui donne à Profanation l'identité qu'il lui fallait. Et, sans sourciller, sans à-coup, on se dirige alors vers une réussite incontestable, dont les méandres de l'inconscient martèleront encore longtemps nos esprits confus.
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