Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Critikat.com
par Morgan Pokée
Son Histoire de Judas permet surtout au cinéaste de livrer aujourd’hui son œuvre la plus accomplie en faisant enfin se percuter la parole et l’action, jusqu’à les confondre dans un ultime mouvement à la puissance tellurique discrète mais saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Paris Match
par Alain Spira
Sobre, ce film fort comme l'injustice a même l'élégance désespérée d'éviter les clichés jusqu'aux maux de la fin…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Eric Libiot
C'est l'histoire d'un film qui regarde Jack bouger pour ne pas mourir ( c'est une métaphore), qui jamais ne s'arrête, jamais ne reprend son souffle. (...) C'est un film qui souffle de la chaleur humaine sur une époque glaciale. Touchant et impressionant.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
On croyait avoir tout vu, tout vécu, tout ressenti ! Au cinéma s’entend. Sur l’enfance nue, les familles monoparentales, les parents irresponsables, le sacrifice des innocents. (...) Et puis miracle, v’là que déboule sans prévenir ce film allemand qui renouvelle le genre avec force.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Loin de tout pathos, un drame social dans la manière des frères Dardenne.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Quel formidable petit homme que cet enfant qui affronte avec fatalisme et courage tous les obstacles que l'irresponsabilité de sa mère dresse sur son chemin de vie. (...). Poignant.
Le Parisien
par Hubert Lizé
D'un sujet qui aurait pu être plombant, le réalisateur parvient à faire émerger l'espoir sans stigmatiser aucun des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Bernard Achour
Avec son épilogue en forme d’estocade morale et émotionnelle, il ne se contente pas de déjouer les attentes : il offre à son héros une sortie dont les implications le rendent inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
La mise en scène de Berger fait des mouvements de son héros le vecteur principal des émotions du film. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Sidy Sakho
Le film épouse ses réflexes (...). Comme chez les Dardenne, rien ne compte plus que l'action, la résistance d'un corps aux obstacles du monde réel.
Télérama
par Pierre Murat
Le cinéaste saisit la nuit dans un Berlin désert, le bruit sourd et lancinant des rues, le temps qui passe, interminable, et le sourire radieux sur le visage de Jack lorsque s'éclaire, enfin, la fenêtre d'un immeuble sinistre. Tout, jusqu'au bout, reste sensible et féroce.—
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film pourrait n’être qu’un pâle décalque, mais le riche enchaînement de situations et la belle photographie de Jen Harant lui confèrent le souffle d’une épopée enfantine, qui dessinerait comme le revers du modèle économique allemand.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Juliette Chartier
Le deuxième long métrage d'Edward Berger échappe à la pesanteur du drame social en suivant les péripéties d'un héros irradiant de vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Manon Chollot
"Le jeune héros, tendre et mutique, est un Tom Sawyer des temps modernes qui, en plus de porter sa famille, porte entièrement le film sur ses épaules."
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
L'interprétation est louable et la mise en scène a l'attrait de ne se servir que trois fois seulement d'une musique accompagnatrice. (...) Or, dans la veine du réalisme social, le cinéma allemand a livré des films plus mûrs et plus âpres, notamment Le Bois Lacté (Milchwald, 2003) de Christoph Hochhäusler, sur des enfants oubliés et abandonnés.
Critikat.com
par Gildas Mathieu
Appliqué dans ses bonnes intentions, Jack reste quant à lui très sage d’un bout à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par La Rédaction
Un film au rythme habile, malheureusement miné par le pathos.
Critikat.com
Son Histoire de Judas permet surtout au cinéaste de livrer aujourd’hui son œuvre la plus accomplie en faisant enfin se percuter la parole et l’action, jusqu’à les confondre dans un ultime mouvement à la puissance tellurique discrète mais saisissante.
Paris Match
Sobre, ce film fort comme l'injustice a même l'élégance désespérée d'éviter les clichés jusqu'aux maux de la fin…
L'Express
C'est l'histoire d'un film qui regarde Jack bouger pour ne pas mourir ( c'est une métaphore), qui jamais ne s'arrête, jamais ne reprend son souffle. (...) C'est un film qui souffle de la chaleur humaine sur une époque glaciale. Touchant et impressionant.
La Voix du Nord
On croyait avoir tout vu, tout vécu, tout ressenti ! Au cinéma s’entend. Sur l’enfance nue, les familles monoparentales, les parents irresponsables, le sacrifice des innocents. (...) Et puis miracle, v’là que déboule sans prévenir ce film allemand qui renouvelle le genre avec force.
Le Dauphiné Libéré
Loin de tout pathos, un drame social dans la manière des frères Dardenne.
Le Journal du Dimanche
Quel formidable petit homme que cet enfant qui affronte avec fatalisme et courage tous les obstacles que l'irresponsabilité de sa mère dresse sur son chemin de vie. (...). Poignant.
Le Parisien
D'un sujet qui aurait pu être plombant, le réalisateur parvient à faire émerger l'espoir sans stigmatiser aucun des personnages.
Première
Avec son épilogue en forme d’estocade morale et émotionnelle, il ne se contente pas de déjouer les attentes : il offre à son héros une sortie dont les implications le rendent inoubliable.
Studio Ciné Live
La mise en scène de Berger fait des mouvements de son héros le vecteur principal des émotions du film. Une réussite.
Transfuge
Le film épouse ses réflexes (...). Comme chez les Dardenne, rien ne compte plus que l'action, la résistance d'un corps aux obstacles du monde réel.
Télérama
Le cinéaste saisit la nuit dans un Berlin désert, le bruit sourd et lancinant des rues, le temps qui passe, interminable, et le sourire radieux sur le visage de Jack lorsque s'éclaire, enfin, la fenêtre d'un immeuble sinistre. Tout, jusqu'au bout, reste sensible et féroce.—
Le Monde
Le film pourrait n’être qu’un pâle décalque, mais le riche enchaînement de situations et la belle photographie de Jen Harant lui confèrent le souffle d’une épopée enfantine, qui dessinerait comme le revers du modèle économique allemand.
Les Fiches du Cinéma
Le deuxième long métrage d'Edward Berger échappe à la pesanteur du drame social en suivant les péripéties d'un héros irradiant de vie.
Les Inrockuptibles
"Le jeune héros, tendre et mutique, est un Tom Sawyer des temps modernes qui, en plus de porter sa famille, porte entièrement le film sur ses épaules."
Positif
L'interprétation est louable et la mise en scène a l'attrait de ne se servir que trois fois seulement d'une musique accompagnatrice. (...) Or, dans la veine du réalisme social, le cinéma allemand a livré des films plus mûrs et plus âpres, notamment Le Bois Lacté (Milchwald, 2003) de Christoph Hochhäusler, sur des enfants oubliés et abandonnés.
Critikat.com
Appliqué dans ses bonnes intentions, Jack reste quant à lui très sage d’un bout à l’autre.
La Croix
Un film au rythme habile, malheureusement miné par le pathos.