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23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un drame bouleversant...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Marianne
par Danièle Heymann
On est frappé de la simplicité, de la pureté du récit de Wim Wenders, pour marquer la fuite des années, de simples cartons : quatre ans plus tard... Et impressionné de sa maîtrise de la 3D.
Le Monde
par Franck Nouchi
S'inspirant de peintres comme Edward Hopper, Wim Wenders opère un magnifique retour à la lumière et au plan.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Jean Antoine Gili
"Every Thing Will Be Fine" prouve que, quarante ans après ses débuts, Wenders reste un merveilleux conteur et un styliste raffiné. Le film séduit par sa fluidité et sa beauté classique mais aussi par un emploi, intime et inédit, de la technologie 3D.
Première
par Isabelle Danel
Inabouti mais fourmillant d’idées, le film déconcerte par l’apparente simplicité d’un récit qui sonde des âmes douloureuses.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Epris de compositions naturalistes, Wim Wenders embrasse les nouvelles techniques technologiques et de cette étreinte naît l'un des exemples les plus flagrants du nouveau cinéma stéréoscopique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Par moments le cinéaste sait générer un excellent climat de suspense (à blanc). Mais son discours contrit sur les artistes utilisant la souffrance comme matériau de leur création est un peu too much.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
La réussite eût été complète si quelques plans avaient fait l'objet d'un traitement moins démonstratif et si, surtout, James Franco avait offert un visage plus expressif. A ces réserves près, "Everything will be fine" reste un beau film, fort et touchant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré un rythme lent et un dénouement idéaliste, on est touché par ce mélodrame intimiste, traversé de moments de grâce.
Metro
par Mehdi Omaïs
Un drame glacial et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
James Franco et Charlotte Gainsbourg dans un mélodrame de Wim Wenders. Il cultive l'un de ses thèmes de prédilection, la culpabilité et le pardon, dans un mélodrame qui parfois cherche sa voix.
Paris Match
par Alain Spira
L'interprétation sans faille et la photographie somptueuse (...) contrebalancent un scénario digne de la collection Harlequin et une 3D inutile. Le charisme des acteurs, Franco en tête, et la beauté des images font que cette œuvre vous immerge dans un climat envoûtant. Mais cela reste un film d'ambiance.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
L'égale empathie que témoigne Wenders pour l'écrivain, la mère et l'enfant, sa manière de faire progressivement connaissance avec chacun est plutôt prenante. Dommage qu'il délaisse parfois son sujet et se disperse dans des motifs annexes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Tandis que le filmé cherche un regard pour recueillir l’émotion qu’elle recèle, la caméra se contente de vouloir "faire cinéma" à sa surface, ne créant qu’une coquille d’animation désincarnée par-dessus une matière délaissée qui n’a plus guère que la chaleur des comédiens pour exister.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Les dialogues susurrés, la belle et très hermanienne musique d’Alexandre Desplat, aux cordes mélancoliques, n’éveillent guère l’attention d’un récit peu relevé qui aurait demandé à être plus resserré.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film paraît dilué, trop long, manquant d'intensité.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Il flirte avec l’horreur, se contentant de la suggestion pour mieux retomber dans le noble marasme de l’artiste dont il a fait son alter ego.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Après les réussites de "Pina" et du "Sel de la Terre", on pensait Wim Wenders enfin de retour. Il semblerait qu'il faille encore un peu patienter.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Yves Grosjean
Le dernier long métrage de Wim Wenders laisse de marbre malgré l'interaction entre ses comédiens. Charlotte Gainsbourg est formidable, comme toujours.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On sort de là comme si on avait écouté pendant deux heures en boucle la scie consolatrice de REM Everybody Hurts. Eh oui, tout le monde souffre, le spectateur en premier.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Anesthésié par sa certitude d’être un maître, le cinéaste laboure avec une apathie quasi expérimentale un interminable champs de platitudes : sur les affres de la création, la vie qui passe, les gros pulls en maille et les blessures qui ne cicatrisent pas.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Cette histoire d'écrivain responsable d'un accident mortel en route pour la rédemption est d'une vacuité abyssale, le scénario tombant dans une psychologisation laborieuse. Charlotte Gainsbourg et James Franco s'ennuient. Ils ne sont pas les seuls.
Libération
par François-Xavier Gomez
Un drame enneigé, essoufflé et à côté de la plaque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Un drame bouleversant...
Marianne
On est frappé de la simplicité, de la pureté du récit de Wim Wenders, pour marquer la fuite des années, de simples cartons : quatre ans plus tard... Et impressionné de sa maîtrise de la 3D.
Le Monde
S'inspirant de peintres comme Edward Hopper, Wim Wenders opère un magnifique retour à la lumière et au plan.
Positif
"Every Thing Will Be Fine" prouve que, quarante ans après ses débuts, Wenders reste un merveilleux conteur et un styliste raffiné. Le film séduit par sa fluidité et sa beauté classique mais aussi par un emploi, intime et inédit, de la technologie 3D.
Première
Inabouti mais fourmillant d’idées, le film déconcerte par l’apparente simplicité d’un récit qui sonde des âmes douloureuses.
aVoir-aLire.com
Epris de compositions naturalistes, Wim Wenders embrasse les nouvelles techniques technologiques et de cette étreinte naît l'un des exemples les plus flagrants du nouveau cinéma stéréoscopique.
L'Humanité
Par moments le cinéaste sait générer un excellent climat de suspense (à blanc). Mais son discours contrit sur les artistes utilisant la souffrance comme matériau de leur création est un peu too much.
La Croix
La réussite eût été complète si quelques plans avaient fait l'objet d'un traitement moins démonstratif et si, surtout, James Franco avait offert un visage plus expressif. A ces réserves près, "Everything will be fine" reste un beau film, fort et touchant.
Le Journal du Dimanche
Malgré un rythme lent et un dénouement idéaliste, on est touché par ce mélodrame intimiste, traversé de moments de grâce.
Metro
Un drame glacial et fascinant.
Ouest France
James Franco et Charlotte Gainsbourg dans un mélodrame de Wim Wenders. Il cultive l'un de ses thèmes de prédilection, la culpabilité et le pardon, dans un mélodrame qui parfois cherche sa voix.
Paris Match
L'interprétation sans faille et la photographie somptueuse (...) contrebalancent un scénario digne de la collection Harlequin et une 3D inutile. Le charisme des acteurs, Franco en tête, et la beauté des images font que cette œuvre vous immerge dans un climat envoûtant. Mais cela reste un film d'ambiance.
Télérama
L'égale empathie que témoigne Wenders pour l'écrivain, la mère et l'enfant, sa manière de faire progressivement connaissance avec chacun est plutôt prenante. Dommage qu'il délaisse parfois son sujet et se disperse dans des motifs annexes.
Critikat.com
Tandis que le filmé cherche un regard pour recueillir l’émotion qu’elle recèle, la caméra se contente de vouloir "faire cinéma" à sa surface, ne créant qu’une coquille d’animation désincarnée par-dessus une matière délaissée qui n’a plus guère que la chaleur des comédiens pour exister.
Franceinfo Culture
Les dialogues susurrés, la belle et très hermanienne musique d’Alexandre Desplat, aux cordes mélancoliques, n’éveillent guère l’attention d’un récit peu relevé qui aurait demandé à être plus resserré.
L'Obs
Le film paraît dilué, trop long, manquant d'intensité.
Les Inrockuptibles
Il flirte avec l’horreur, se contentant de la suggestion pour mieux retomber dans le noble marasme de l’artiste dont il a fait son alter ego.
Studio Ciné Live
Après les réussites de "Pina" et du "Sel de la Terre", on pensait Wim Wenders enfin de retour. Il semblerait qu'il faille encore un peu patienter.
TF1 News
Le dernier long métrage de Wim Wenders laisse de marbre malgré l'interaction entre ses comédiens. Charlotte Gainsbourg est formidable, comme toujours.
Cahiers du Cinéma
On sort de là comme si on avait écouté pendant deux heures en boucle la scie consolatrice de REM Everybody Hurts. Eh oui, tout le monde souffre, le spectateur en premier.
Chronic'art.com
Anesthésié par sa certitude d’être un maître, le cinéaste laboure avec une apathie quasi expérimentale un interminable champs de platitudes : sur les affres de la création, la vie qui passe, les gros pulls en maille et les blessures qui ne cicatrisent pas.
L'Express
Cette histoire d'écrivain responsable d'un accident mortel en route pour la rédemption est d'une vacuité abyssale, le scénario tombant dans une psychologisation laborieuse. Charlotte Gainsbourg et James Franco s'ennuient. Ils ne sont pas les seuls.
Libération
Un drame enneigé, essoufflé et à côté de la plaque.