Une comédie encore et aussi gentille que dramatique allégé, une fois de plus dans ce cinéma, qui ne propose rien de neuf à l’horizon actuel, ça se consomme tiède comme le thé et froid le café, de la marque Samba Cissé du Sénégal, vous êtes marrant Monsieur Omar Sy-si.....
Comme dans Intouchables, toujours la vibe au pays du bisounours et des sans-papiers, allez hop délai expiré carte de séjour invalide !... Il est où le centre de rétention administrative ? C’est juste sur la gauche en sortant, tout droit et ce sera à côté, pas loin de l’avion affrété express géré par le ministère amer, la danse brésilienne sociale.
Telle est cette réalisation lambda où l’on ne voit pas la lambada de Tahar Rahim lave-vitre building, ça donne une sensation de vertige, conseil à regarder au loin pour le vaincre cette peur commune, où sont ces candidats postulants ?
Nous avons des bosseurs d’arrache-pied illégaux au black, aide second cuisinier vaisselle, agent de sécurité manutentionnaire, d’intérim au privé, intrigue de passage à tabac affaire évaporée pour cause de non-déclaration à l’URSAFF, des petites histoires d’amour de passage transit intra-européen, en tant que clientèle au salon de coiffure massage par-ci par-là.
Du mariage dans l’air enlacé tendrement à la folie sur les toits des appartements de Paris, dans les camions routines de migrants, rage de cocuage trahison amicale, du burn-out démissionne si t’ai pas contente de ton métier d’assistante collective municipale, qui se croit supérieure dans l’échelon social.
Avant de penser à péter un cable et d’en faire toute une scène bénévolement, d’abord le discours de fiction en entrée de jeu, le coup de foudre du premier regard séduction sex appeal se travaille, rire et émotion, l’imagination de la vie dans ce scénario manque de pot chance, voilà voilà comment ça se présente.....!