Ces flics font un travail de nuit dans ce film, ils ont choisis ce créneau d'après son titre en français, des horaires nocturnes pareils, un service terminé pour rentrer chez eux dormir.
Ce sont les nouveaux centurions modernes, des policiers regardent tout autour, font des rondes de patrouille véhiculé, en binôme ou trinôme, s'il le faut en pédestre puis course poursuite, au moindre signalement d'insécurité, le devoir du métier est de prêter assistance protectrice, au service secours du citoyen des faits sur la voie publique américaine, le feu de l'action pour ces représentants des forces de l'ordre.
Armé, c'est pour tuer, très très dangereux, c'est stipulé dans le contrat avant de s'engager dans ce corps de métier à risque, l'uniforme est pour représenter une institution de la sécurité d'état, donc ne rigolez pas, genre "je suis un flic, infraction, présentez-moi les papiers".
C'est la criminalité en face, du petit délinquant au grand mac, voilà la description de la réalisation, un chef-d'œuvre d'une mise en scène talentueuse, on y voit que c'est un modèle pour les séries télévisées, la police aux États-Unis revient souvent, aux patrouilles qui liera à Southland nous fait pensé, pleine de bonnes idées neuves qui tiennent du respect.
Au regard du scénario, c'était pas leurs vocations, le choix économique n'arrange l'individu et pourtant, ils finiront par aimer ce boulot, difficile en soit, entraînés aux situations, vie privée et professionnelle, il y a un fossé creusé pour les distinguer.
On voit pas la vraie couleur des choses, ouvrons les yeux, ce sera magistral, quelle clarté dès l'instant, en clôturant par des larmes de crocodile en voyant ces drames populaires, End of watch, retenons Stacey Keach, du comique à la tragédie, tout comme George C. Scott, des rôles vibrants.