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defleppard
389 abonnés
3 386 critiques
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2,5
Publiée le 29 mai 2021
Au fil des années Disney adapte tout son catalogue en version film. Cruella en fait partie. Bonne adaptation.. trop longue, photographie au top.. l'ensemble est loin d'être exceptionnel. 2 étoiles et demie.
La genèse de Cruella de Vil savamment écrite et brillamment interprétée tant par Emma Stone qui incarne Estella et son alter-ego "Cruella" que par Emma Thompson dans le rôle de la baronne.
Toutes deux sont au sommet de leur art, et efficacement soutenues par les seconds rôles.
Grosse surprise! Je m’attendais à un film trop «gentil » pour les enfants comme à l’habitude de faire Disney…mais pas du tout! Le film est assez sombre, on pourrait même dire “ le joker” de Disney, on retrouve la jeunesse triste de Cruella et son présent bourré de retournement de situation improbable. Le casting est très bon.Emma Stone que dire ? Incroyable ! Très grande performance de l’actrice qui arrive à faire la double personnalité de Cruella à la perfection. Je vous conseille vivement ce film.
Un film divertissant à suivre avec Emma Stone excellent dans son rôle de jeune Cruella. Pour une fois que Disney reprenne l’un de leurs personnages avec une histoire inédite et pas une copie du film originale.
Je n'ai rien à critiquer : ce film est un véritable chef d'oeuvre. Cruella est ce qui peut se faire de mieux en terme de films sur les background des grands méchants du genre cinématographique comme il nous a été montré avec Maléfique ou Vénom, par exemple, bien que ce film soit nettement supérieur à ces prédécesseurs du même genre.
À l'image du Joker de Todd Philipps, Cruella se verra subir une déconstruction de son personnage machiavélique du classique Disney pour lui implanter une personnalité réaliste et qui démontre le pourquoi la femme que nous suivons durant ces 2h14 de film est devenue la mythique antagoniste des 101 Dalmatiens.
Le scénario est étonnamment bien ficelé, rien n'est laissé au hasard et les quiproquos servis au début du film prennent des rebondissements inattendus auxquels le spectateur ne s'attends absolument pas. spoiler: Lorsque Cruella découvre que la Baronne a tué sa mère, le dénouement nous laisse penser à une histoire de vengeance, ce qui constitue déjà un énorme plot-twist avant que l'on en apprenne un nouveau : la grande antagoniste étant la véritable mère de cette dernier, et tant d'exemples qui nous montrent que le film renchérit twist sur twist et arrive à trouver une trame narrative qui se renouvelle au fil du temps.
spoiler: Cruella est avant tout connu pour être une professionnelle de la mode et ce sera très bien décrit au sein du film à travers les différentes robes des différentes saisons, en adéquation avec le thème des années 70. Que ce soit pour les designs des robes de Cruella et sa némésis ou le choix des décors extérieurs qui nous plongent bel et bien dans l'atmosphère londonienne de l'époque. La scène où les robes de la baronne n'étaient en réalité que des cocons à papillons montrent l'ingéniosité des scénaristes et du personnel décor qui ont mit le paquet.
Ce sont toutes ces choses qui rendent Cruella à la fois fantastique à regarder tout en donnant cet aspect tragique des anti-héros à l'image de ce qui se fait de mieux dans le monde du cinéma.
Il faut dire que Emma Stone entre parfaitement dans le rôle de la jeune Cruella des années 70. Belle et charismatique, on ne pouvait pas trouver mieux pour son rôle qui égale avec brio celui de Emma Thompson dans son personnage de Baronne impitoyable qui n'hésite pas évincer le moindre obstacle sur son chemin.
Avec ce film, Disney nous montre qu'ils sont capables d'apprendre de leurs erreurs (en citant la saga Maléfique, joué par Angélina Jolie) et exhibe sa capacité à nous desservir des lives-actions d'une qualité similaire à celle du Joker.
Superbe interprétation dEmma Stone. Casting incroyable et surtout les tenus , la musique et le rythme du film est envoûtant ! On ne s'ennuie. Film distrayant
Un début très long à se mettre en place. Une grosse dose de "le diable s'habille en Prada" avec une pointe de "Harley Quinn", ce qui donne Cruella. Cela reste un Disney "so british" qui nous aiguille sur la naissance de Cruella, que j'ai eu dû mal à reconnaitre par rapport aux anciens Disney, je n'ai pas retrouvé la même personnalité. On remarquera des clins d'oeil musicaux sur certaines publicités. Film à regarder en famille, mais pour ma part, je m'attendais à autre chose, car, l'ensemble est basé sur la mode.
Passant par "One Way Or Another" de Blondie ou encore par le mythique"Should I Stay Or Should I Go" des Clash, « Cruella » s’affirme dans l’esprit des années 70. Ce préquel de l’extraordinaire « 101 dalmatiens » qui n’a rien à envier des autres lives-actions retrace le parcours de la charismatique Cruella et de son ascension vers la folie. On retrouve alors une esthétique punk-rock de part avec les costumes de l’oscarisée Jenny Beavan et d’autre part avec des décors d’un Londres historique animés par des interprètes de qualité (Emma Stone , Emma Thompson ). En bref, cet univers sombre qui contrebalance avec humour et légèreté est une très bonne surprise qui permet de renouveler le registre des studios Disney. Une nouveauté que nous sommes pas prêts d’oublier.
Ce nouveau prequel de la firme aux grandes oreilles porte son dévolu sur la vilaine excentrique des "101 Dalmatiens", la dénommée Cruella d'Enfer. Ici, il n'est pas encore question de chasse aux chiots mais plutôt d'un retour aux sources sur la malfaisance de ce personnage iconique. Un peu comme "Maléfique" a pu le faire, mais avec le fantastique en moins et le rock en plus ! Craig Gillespie, réalisateur du biopic déluré "Moi, Tonya", dresse à nouveau le portrait d'une anti-héroïne, avec un sens de l'humour subtil et décalé et une esthétique punk et transgressive. Le scénario, allant à l'encontre de toutes attentes, stimule notre curiosité et notre empathie en racontant l'histoire d'une orpheline pas comme les autres qui, par ses coups de crayon et ses créations avant-gardistes, va gravir les échelons de la réussite dans le monde épineux de la mode. On assiste à une véritable éclosion, à une (r)évolution qui fait émerger la soif d'indépendance et le désir de vengeance chez un personnage au départ réservé et victime. Emma Stone, succédant brillamment à Glenn Close, y apporte beaucoup de nuances et s'éclate à explorer les excès et les failles de cette méchante à la coiffure emblématique. La quête de fourrure est ici obsolète et laisse place à des ambitions bien plus complexes. Sa folie naissante est très convaincante et nous fait oublier les quelques incohérences et autres facilités manichéennes du récit. Sa confrontation avec la Baronne, campée par la superbe Emma Thompson, est tout simplement délectable de cruauté. Cette dernière minaude à la perfection et son arrogance à couper au couteau n'est pas sans rappeler la tyrannique directrice de rédaction du "Diable s'habille en Prada". D'ailleurs, les costumes et autres happening couturiers sont exceptionnels et font indéniablement partis des points forts du métrage ! On retrouve également le binôme de malchanceux Horace et Jasper, Anita Darling ou encore quelques dalmatiens, en référence au classique Disney. Mais, s'il y a bien une chose qui m'a gêné, c'est la playlist punk-rock qui occulte tous les passages sans dialogues. Même si elle nous emporte dans sa dynamique électrique, elle fait parfois office de remplissage et c'est au bout d'un moment lourd et redondant. Cela étant dit, "Cruella" est une bonne surprise, bien loin du désastre que j'ai pu imaginer lorsque j'avais découvert la bande-annonce (une sorte de "Joker" bis à la sauce Disney...). Réjouissant, non sans émotions, ce prequel étonnera les fans et séduira les plus sceptiques...
A l'image d'E.Thompson, une production Disney décevante. Des aspects du scénario prévisibles, une mise en scène à la fois tapageuse et figée, une interprétation maniérée. De plus les images de synthèse ne sont pas toujours réussies. Quelques moments comiques et une bande son d'enfer sauvent à peine le tout.
Le film est plutôt original la bande originale est vraiment top. La plupart des acteurs et représente un bon casting. Emma Thomson est charismatique. Le point noir de ce film, dommage Emma Stone selon moi elle n'est pas du tout dà la hauteur pour le rôle en comparaison de Glen Close. Cependant le scénario est rythmé et j'ai passé un moment agréable moment, devant ce diable s'habille en Prada version Disney. Attention épilepsie photosensible Ca flashe à un moment j'ai du fermer les yeux.
Agréable à voir, on sens le professionnalisme de Disney, début très intéressant, trop de surjeux du personnage de Cruella mais qui doit être dans le tempérament du personnage de base, donc j'imagine que c'est normal, à voir
Dans ce film, on voit la "patte" des films de super-héros (le film "Joker" en tête)... Et on y apprends plein de trucs sur la "biographie" de Cruella... Et l'origine de son aversion pour les dalmatiens (et de sa fortune). Bref, tout s'imbrique de manière très intelligente, dans ce film qui n'est pas pour les enfants, mais pour des d'ex-enfants qui ont vu le dessin animé des 101 dalmatiens dans leur enfance... Sans ça, on perd à mon avis 80% de la saveur de ce film... Le tout s'enchaine à merveille dans un tourbillon d'action rondement mené par Disney... Du grand spectacle et un très bon film selon moi. Une mention spéciale pour le choix du casting, notamment des versions de cruella plus jeunes...