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Tout un petit théâtre cruel et cocasse des passions et des ridicules semble se refléter dans le regard glauque et doux de ces chevaux islandais, à la fois délicats et trapus. Le réalisateur Benedikt Erlingsson (dont c'est le premier long métrage) observe ses personnages, bi- et quadrupèdes, avec la même distance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Vivant, drolatique, absurde, lyrique, désespéré, Des chevaux et des hommes est un OFNI (objet filmique non identifié) comme on en voit un tous les dix ans.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronique insolite d'un pays hors du temps, ce film fort original n'en demeure pas moins assez froid et manque de personnages - humains ou animaux - plus fouillés.
L'ensemble peut paraître programmatique et un peu anecdotique (on commence à connaître les rouages de ces chroniques polyphoniques) mais il exerce sur le spectateur une fascination durable.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
D’aspect, "Des chevaux et des hommes" ressemble à une publicité pour les vastes étendues islandaises balayées par les vents.(...) un éloge assez ambigu de l’homme islandais, de son entêtement à sauvegarder les traditions sauvages du Grand Nord.(...) Bizarre.
Si le sempiternel humour Stimorol, marotte du cinéma nordique, est transcendé par l’âpreté des situations et une vraie sensualité dans le filmage, "Des chevaux et des hommes" échoue à être davantage qu’une succession de vignettes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La Voix du Nord
Unique et universel.
Le Dauphiné Libéré
Un film étrange, venu d’ailleurs, tourné dans des paysages époustouflants, où passe la force de la nature et des hommes.
Le Monde
C'est beau, dépaysant, violent parfois, drôle souvent.
Ouest France
Une suite de saynètes sans lien, sauf celui de l'humour noir. Dans un décor naturel et grandiose.
Télérama
Tout un petit théâtre cruel et cocasse des passions et des ridicules semble se refléter dans le regard glauque et doux de ces chevaux islandais, à la fois délicats et trapus. Le réalisateur Benedikt Erlingsson (dont c'est le premier long métrage) observe ses personnages, bi- et quadrupèdes, avec la même distance.
aVoir-aLire.com
Vivant, drolatique, absurde, lyrique, désespéré, Des chevaux et des hommes est un OFNI (objet filmique non identifié) comme on en voit un tous les dix ans.
CinemaTeaser
Un film étrange et barré sur une petite communauté islandaise, ses travers, ses passions et ses chevaux.
Critikat.com
Un kaléidoscope coloré par le plaisir de la bifurcation et du portrait entre aimable caricature et fiction plus sérieuse.
Le Journal du Dimanche
Malgré un rythme lent, ce film au ton déroutant se révèle atypique, intelligent et souvent drôle.
Les Fiches du Cinéma
Chronique insolite d'un pays hors du temps, ce film fort original n'en demeure pas moins assez froid et manque de personnages - humains ou animaux - plus fouillés.
Positif
Un projet original qui tente de cerner les comportements des hommes à travers celui des chevaux (...)
Première
Nourri à l'humour noir et au grand air, le récit avance à une allure régulière. Presque trop: son petit trot, plaisant, reste un peu mécanique.
TF1 News
L'ensemble peut paraître programmatique et un peu anecdotique (on commence à connaître les rouages de ces chroniques polyphoniques) mais il exerce sur le spectateur une fascination durable.
Les Inrockuptibles
D’aspect, "Des chevaux et des hommes" ressemble à une publicité pour les vastes étendues islandaises balayées par les vents.(...) un éloge assez ambigu de l’homme islandais, de son entêtement à sauvegarder les traditions sauvages du Grand Nord.(...) Bizarre.
Studio Ciné Live
Son film verse dans le pittoresque lourd au lieu de la noirceur poétique aérienne visée.
TéléCinéObs
Si le sempiternel humour Stimorol, marotte du cinéma nordique, est transcendé par l’âpreté des situations et une vraie sensualité dans le filmage, "Des chevaux et des hommes" échoue à être davantage qu’une succession de vignettes.
Libération
Des Chevaux et des hommes s'ébroue dans les travers les plus éculés de la fable animalière, à force de gagas à bout de souffle (...)