Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 25 avril 2017
Il devrait y avoir des lois pour punir les auteurs de tels films...je ne le conseillerai pas à mon pire ennemi ! Je pensai pourtant avoir touché le fond avec les nouvelles aventures d'Aladin avec Kev Adams. Les producteurs de ces navets n'ont décidément aucune limite.
LES GAMINS. Vas y mets ta moustache! Merci Philippe Katerine, j'adore,de participer à ce 58 minutes pour rire. J'ai bien ri qui l'eu cru !!! Une journée en enfer pour nos légumes, nos meilleurs légumes. Faites de moi n'importe quoi, pendez moi la tête en bas, comme la dernière fois. Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants.
La question est : aurais-je été aussi fan du 1er si je l'avais découvert à 20 ans et non à 10 ? Quoi qu'il en soit je l'aime toujours autant et je suis peu emballé par ce deuxième opus que j'attend depuis un certain temps pourtant ; On croirais presque à une parodie des films d'Eric et Ramzy par eux même , malgré tout il y a de bons passages et quelques idées délirantes , à tenter une fois quoi , à condition d'aimer un minimum E&R quand même , sinon ça va être dur .
Après la "Tour Montparnasse infernale", le duo comique formé par Éric et Ramzy nous livre quinze ans plus tard un second film qui n'est pas une suite, et cette fois dans un aéroport. L'humour complètement absurde du film, qui fonctionnait dans le premier, tombe complètement à plat ici. Les deux cabotinent n'importe comment, et les situations et dialogues versent dans le n'importe quoi. Cet humour très particulier ne peut pas plaire à tout le monde, du moins pas au plus grand nombre. À noter là présence d'un Philippe Katherine parfait dans son rôle. Et une large place pour l'action sur la fin.
Il y a des moments où l'on se dit que l'on a touché le fond, et puis l'on repense à La Tour 2 Contrôle Infernale, et on va beaucoup mieux. En effet, comment ne pas y voir un des plus gros ratages du cinéma, enfin de mon humble avis qui n'engage évidemment pas ceux qui ont aimé, mais ils doivent être assez rares. Les gags sont immondes de débilité (le terme n'est pas dur : la scène des tapis roulant qui transportent les bagages où Ramzy se coince, l'ordinateur qui n'est qu'une horrible copie des Anonymous, les jeux de mots plus que vaseux qui entraînent des morts dans le gang de la tour...). Tout est fait pour votre ennui, et la fin n'est pas là pour nous aider. Les deux laveurs de carreaux sont plus sympas que leurs anciennes versions... Le pire étant que j'ai ri pour la main en caoutchouc, mais plutôt de fatigue d'avoir tenu jusque-là, le film rend idiot si l'on se force à le regarder, il vaut mieux arrêter tout de suite si le début avec les noms stupides ne vous plaisent pas, car après cela ne fait qu'empirer... Un humour catastrophique.
Il y a de quoi être circonspect devant le vide abyssal de ce film très mal fichu avec deux comédiens totalement en roue libre et qui peinent à se renouveler... Là où certains critiques voient du burlesque, on verra plutôt des débilités. Ca a pu faire rire mais cette surenchère dans l'idiotie fait que le film n'a aucun rythme en plus de n'avoir ni queue ni tête. Certes on rit parfois, mais c'est plus nerveux qu'autre chose.
Le premier 00 étoile de l'année 2017. Aucun scénario, c'est nul au mon dieu ! Encore en solo Eric ou Ramzy s'en sortent pas trop mal par moments, mais là, c'est le duo de trop. A zapper. ----Janvier 2017-----
Quinze ans après La tour Montparnasse infernale, Eric et Ramzy reviennent dans un préquel qui annonce directement la couleur avec son texte introductif complètement décalé qui renvoie dans le passé avec de nombreuses approximations contradictoires comme le fait qu’il s’agirait d’une histoire vraie d’après ce qu’a dit un ex-ami de longue date selon d’authentiques ragots. Nommé La tour de contrôle infernale, il prend place vingt ans dans le passé alors que les dénommés Ernest Krakenkrick et Bachir Bouzouk voient leurs neurones fortement diminuerspoiler: lors d’un test dans une centrifugeuse alors qu’ils sont pilotes de l’armée française. Ils finissent alors bagagistes à Orly et échappent à un gaz soporifique lancé par un ridicule gang avec des masques moustachus, alors qu’ils faisaient les imbéciles dans les conduits des bagages (clin d’œil facile au premier film).
Le casting fait revenir Serge Riaboukine en tant que sous-fifre ridicule disant sur la fin être le frère jumeau de son alter ego de 2001, et Marina Foïs comme conseillère du ministre de l’Intérieur qui supporte des blagues misogynes du fait qu’elle est enceinte, ainsi que quelques apparitions de Maurice Barthélemy. Les gags sont du même type mais ont cette fois-ci bien du mal à passer, entre les personnages qui pissent de sang après une balle, les bêtes fautes de français du méchant sans charisme et les mains de Ramzy qui deviennent toutes flasques en attendant de se remettre de leurs blessures. L’idée de faire un scénario incohérent annoncé d’entrée de jeu est louable, mais il ne se passe décidément pas grand-chose et on perçoit plus de recyclage vain qu’autre chose. Le film se regarde, mais ne fait pas partie des retours réussis.
Ne vous fiez pas aux notes négatives; ce film, qui a connu un relatif échec au cinéma pourrait bien cartonner à la télé et en dvd.
1000 blagues à l'heure;
alors je peux comprendre que le film en ait agacé certains par le côté "trop". Trop de blagues, trop d'humour.
Mais franchement, si on passe outre ça, c'est un petit bijoux. Katerine est énormissime dans le rôle du méchant.
Eric et Ramzy sont à leur top.
Les acteurs secondaires sont super bons.
Gérard Oestermann apporte de la fraîcheur et de l'ironie.
Ce film est injustement noté, injustement critiqué, injustement boudé.
Je pense vraiment que les quelques outrances du film ont plombé son accueil auprès du public (quant à l'accueil auprès des critiques, on a l'habitude: les comédies sont systématiquement bashées). Mais ça n'enlève rien, à mon avis, à la qualité humoristique, qui est proche du chef-d'oeuvre tant les blagues défilent à grande vitesse. Les comédies américaines sont larguées à côté.
C'est un film beaucoup, beaucoup, beaucoup, plus subtile qu'il n'y paraît. Un modèle du genre. Et tout scénariste/réalisateur qui joue dans la comédie devrait s'en inspirer. C'est une mine d'or tant les blagues sont de registres divers.
Je pense que les 15 premières minutes ont pu plomber le film et peuvent expliquer les mauvaises critiques. Mauvaise prononciation de l'acteur qui joue le commandant; trop rapide, trop de texte, trop récité (mais après il devient excellent) le texte inutile qui apparaît à l'écran.
Dommage, dommage, car il s'en est fallu de peu pour que le film cartonne. Et c'est encore un mystère pour moi, car malgré ces quelques "défauts" (mais pour moi ça ne m'a pas gâté le plaisir), c'est une bombe d'imagination et d'ironie, 1000 x plus subtile qu'il n'y paraît.
Tout n'est pas dans la bande-annonce, comme j'ai pu le lire par ici. Il y a encore juste 15 fois plus de blagues, de mots d'esprits, d'ironie dans le film.
Je pense que le film est touché par le syndrome du "trop": comme quand on vous donne des choux à la crème, mais qu'on rajoute encore de la confiture, et du sucre, et des bonbons.
Mais encore une fois, ça n'enlève rien à la qualité du film (j'essaie juste de comprendre pourquoi ce film n'a pas cartonné comme il aurait dû le faire). Et ça ne m'empêche pas de mettre 5 étoiles, car le niveau d'humour présenté dans ce film est à des kilomètres devant la plupart des autres comédies françaises actuelles.
Et putain, un pur moment de plaisir et de fous rires.
Et non, l'humour n'est pas débile; c'est au contraire un film faits par des pros de l'humour, ultra bien pensé.
Ce premier opus solo d'Éric Judor à la réalisation alterne le pas trop mal et le très très très mauvais. Chacune des apparitions du duo de comiques en neuneus surjoués est un véritable calvaire pour le spectateur, mais le film est un tantinet sauvé par de bons seconds rôles: Philippe Katerine en tête, irréprochable, mais aussi Serge Riaboukine ou Grégoire Oestermann. En somme, si l'on parvient à passer outre la lourdeur "infernale" voire douloureuse d'Eric et Ramzy, on se surprend à sourire grâce aux autres intervenants qui évitent au film le naufrage le plus total. Le Judor a fait, depuis, bien des progrès derrière la caméra !
Autant la tour montparnasse infernale m'avait beaucoup fait rire (j'avais 15 ans à l'époque) autant cette fausse suite est un navet complet ! Trop c'est trop et ça en devient navrant... A zapper !
Que c’est nul ! On est proche du néant. Cela faisait au moins 8 ans que je n’avais pas vu un film aussi indigent. Les gags s’étirent et/ou tombent à plat. La faute sans doute à une écriture pas assez travaillée, à une réalisation plate et à des décors conçus à l’économie. Le film est une pseudo-parodie de « 58 minutes pour vivre » (Die Hard 2, 1990). Les auteurs ont voulu nous refaire « Y a-t-il un pilote dans l’avion » 36 ans plus tard mais mieux vaut, pour le chef d’œuvre des ZAZ, éviter toute comparaison avec ce « four ». Dire que de tels films trouvent un financement en 2016 en France ! Seul bon point du film qui émerge dans ce marasme ambiant : Philippe Katerine en méchant de premier plan.
J'avais bien aimé le premier qui était assez réussi et qui se laissait regarder facilement mais là il faut être honnête cette suite n'est absolument pas drôle, on s'ennuie tous le long du film et les gags sont grotesques. Eric et Ramzy sur-joue pour essayer d'être drôle mais en vain. Ce qui confirme ce que je pense ne pas faire de suite à un film x année après pour essayer de revenir sur le devant de la scène (les trois frères, les visiteurs 2 et 3...)
Quand on aime un film d'amour au point d'en connaitre les répliques par coeur, on devrait normalement se réjouir de la sortie d'une suite en salle.
Cependant les comédies font exceptions dans mon cœur, car je trouve plus difficile d'innové ou de ne pas dénaturé le premier volet, dans ce genre.
Et à mon grand désarroi la tour 2 contrôle infernale ne dérogera pas à la règle ...
Ma première erreur fût donc que malgré mes réticences je me suis mis devant mon écran pour le regarder. (Il faut toujours s'écouter.
Et aujourd'hui ça me brise le cœur d'écrire une mauvaise chronique sur le préquel d'un film que j'avais défendu corps et âmes.
Car oui la tour Montparnasse infernale, m'a fait énormément rigoler et j'estime que si vous ne rigolez pas devant vous n'avez pas d'humour (Et si vous prenez cette phrase au premier degré aussi.
Alors quelle désillusion de ne pas avoir ris ne serait ce qu'une seule fois, il y a un cruel manque de spontanéité et de renouveau.
Alors certes c'est toujours agréable d'avoir des références aux précédents films mais ici c’était peut être même un peu trop.
Eric et Ramzy sont deux comédiens que j'admirent et qui me font mourir de rire. D'habitude j'adhère assez facilement avec leur humour "débile" et un peu enfantin et pourtant là je n'ai pas réussi. Pourquoi ce sont ils entêtés à s'enfermer de ce rôle sans fournir à leurs personnages un capital sympathie minimum ?! Dommage ...
J'ai eut plaisir par ailleurs à retrouver Marina Foïs, moins succulente que dans le premier opus, elle nous offre quelque chose de plutôt correct cependant.
Vous l'aurez compris c'est franchement avec regret que je ne vous conseil pas ce film, moi qui aime beaucoup l'humour d'Eric et Ramzy et qui suis une grande fan du premier volet, je n'ai pas accroché une seconde avec celui ci.
Cependant je le retenterai un autre jour , peut être que je ne m'étais pas mise dans de bonnes conditions pour en apprécier toute la finesse (la fille qui persévère quand même !!). On en reparle prochainement.
Si vous aimez les comédies résuvergentes. Lorsque j'ai vu la bande-annonce de cette suite tardive de "La tour Monparnasse infernale" j'avoue l'avoir non seulement trouvé très mauvaise, mais je me suis dit de surcroît que la chose sentait bon la tentative de "retour à la bankébeulité" d'un duo légèrement tombé dans la désuétude depuis plusieurs années. Je décide malgré tout de prendre sur moi et de voir le film tout de même (j'adore descendre les mauvais films dans de mauvaises critiques) et là, surprise: je passe non seulement 1h30 à être gentiment surpris, mais en plus je passe 1h30 à bien me fendre la margoulette! Je passe illico sur le gros défaut du métrage, Eric Judor, à la réalisation, a manifestement gardé pour son montage final des impros qui s'étirent souvent en longueur et qui finissent parfois par tomber à plat (dans le genre, les 10 premières minutes sont assez laborieuses) mais une fois que le scénar' est mis en place, il faut admettre que "La tour 2 contrôle infernale" fourmille littéralement de bonnes idées. Tout d'abord en terme de réalisation pure, Judor s'est manifestement beaucoup imprégné du style Quentin Dupieux, avec qui il a tourné plusieurs films. On retrouve donc ici les qualités imparables du cinéma Dupieux: un goût marqué pour les plan-séquences, une occupation du champ joliment décalée, et un montage (relativement irréprochable) qui sait aussi bien prendre son temps que poser de petites accélérations grisantes. Deuxième (très) bonne idée de l'entreprise: confier le rôle du méchant à Philippe Katerine, icône notable de l'humour à froid, il s'en donne ici à coeur-joie dans le registre (pourtant casse-gueule) de la déconne nonchalante, et sa prestation est carrément hilarante. On peut également vanter la qualité des seconds-rôles, en tête desquels Serge Riaboukine, Marina Foîs ou encore cet acteur dont j'ignore honteusement le nom et qui interprète le ministre de l'intérieur. Personnellement j'ai également apprécié l'absence de tout cynisme dans le traitement des personnages, aussi bêtes ou mauvais soit-ils, il y a toujours des éléments pour les rendre attachants, et le côté enfantin qui se dégage au final de tout ça permet même, ici et là, quelques saillies poétiques bienvenues. En bref, de par ses partis pris et son style particulier, "La tour 2 contrôle infernale" ne plaira pas à tous les amateurs paresseux d'humour gras et parodique, mais d'un point de vue cinématographique, le film est beaucoup plus original et bien mieux réalisé que son prédécesseur!