Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ouest France
par Caroline Dejean
On vous le recommande chaudement, si vous aimez une belle histoire avec beaucoup de poésie.
Transfuge
par Maud Antigna
(...) un deuxième film prometteur avec un parti pris du noir et blanc aussi assumé qu'assuré.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
Une entreprise courageuse et singulière qui nous aura donc emportés par son ton franc et poétique rendant un bel hommage à une jeunesse en quête d’elle-même.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Marianne Fernandez
"Quand je ne dors pas" est un beau petit film. On peut même voir dans son anecdote et son propos la métaphore du cinéma qu’il défend : contre les évidences, qui se veut une alternative aux productions conçues en série, sans âme. Un film humain avant tout, qui fait consciemment le choix d’une certaine naïveté, d’une certaine tendresse, pour le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Tourné en noir et blanc dans les rues de Paris, le film manifeste un désir spontané de cinéma que ne gêne pas sa production légère. Mais sa poésie frelatée et sans consistance en recroqueville l'imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
L'errance nocturne d'un jeune Parisien. Un premier film à l'énergie toute poétique.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Ce premier film inégal suit le parcours nocturne d'un jeune en quête d'argent pour payer son billet vers la mer. Weber offre de belles trouvailles de mise en scène et la révélation d'un acteur : Aurélien Gabrieli.
Télérama
par Pierre Murrat
Un premier film sympa, gorgé de références.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Une énième étude de cas d'adulescent romantique en milieu urbain. L'ensemble, hélas, n'est guère qu'anecdotique.
Première
par Damien Leblanc
Cette errance nocturne d'un jeune de 20 ans qui veut se payer un billet de train fait parfois songer au "Boy Meets Girl" de Leos Carax, mais déçoit par ses dialogues triviaux et sans fantaisie forcée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
On vous le recommande chaudement, si vous aimez une belle histoire avec beaucoup de poésie.
Transfuge
(...) un deuxième film prometteur avec un parti pris du noir et blanc aussi assumé qu'assuré.
aVoir-aLire.com
Une entreprise courageuse et singulière qui nous aura donc emportés par son ton franc et poétique rendant un bel hommage à une jeunesse en quête d’elle-même.
Critikat.com
"Quand je ne dors pas" est un beau petit film. On peut même voir dans son anecdote et son propos la métaphore du cinéma qu’il défend : contre les évidences, qui se veut une alternative aux productions conçues en série, sans âme. Un film humain avant tout, qui fait consciemment le choix d’une certaine naïveté, d’une certaine tendresse, pour le meilleur.
Le Monde
Tourné en noir et blanc dans les rues de Paris, le film manifeste un désir spontané de cinéma que ne gêne pas sa production légère. Mais sa poésie frelatée et sans consistance en recroqueville l'imaginaire.
Les Inrockuptibles
L'errance nocturne d'un jeune Parisien. Un premier film à l'énergie toute poétique.
Studio Ciné Live
Ce premier film inégal suit le parcours nocturne d'un jeune en quête d'argent pour payer son billet vers la mer. Weber offre de belles trouvailles de mise en scène et la révélation d'un acteur : Aurélien Gabrieli.
Télérama
Un premier film sympa, gorgé de références.
Les Fiches du Cinéma
Une énième étude de cas d'adulescent romantique en milieu urbain. L'ensemble, hélas, n'est guère qu'anecdotique.
Première
Cette errance nocturne d'un jeune de 20 ans qui veut se payer un billet de train fait parfois songer au "Boy Meets Girl" de Leos Carax, mais déçoit par ses dialogues triviaux et sans fantaisie forcée.