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Votre avis sur L’Affaire SK1 ?
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Paris. Depuis le mythique Quai des Orfèvres, un jeune inspecteur, excellent Raphaël Personnaz, s’acharne à démasquer le premier serial killer que la France ait connu. L’enquête ultra documentée s’avère passionnante mais déstabilisante, l’ensemble de la distribution contribue à la réussite formelle de cette traque sobre et minutieuse qui dura presque dix ans. Un film dur mais nécessaire qui montre dans quelle mesure les récents progrès de la science aident à la résolution de crimes non élucidés. Brillant mais démoralisant.
Nous avons donc affaire à un film français qui raconterait l'histoire de la traque de Guy Georges (aka SK1 pour "Serial Killer #1", aka "Le tueur de l'est parisien" aka "il a commis tellement d'atrocités sur une durée tellement longue qu'on a mis des plombes à rattacher ses exactions entre elles") et qui apporterait un regard différent sur l'affaire par rapport à l'épisode de FAITES ENTRER L'ACCUSÉ...
Et pourtant, force est de constater que le résultat est bon. Certes, on n'est pas sur du Olivier Marchal en terme de noirceur (de l'image, de la police, du monde, de la vie... Lâche ce couteau : c'est pas dans ce sens pour s'ouvrir les veines !) et, au niveau du scénario, on est en droit de se demander quel peut être l'intérêt de planquer devant l'institut Saint Vincent de Paul où Guy Georges avait l'habitude de venir retirer son RMI et son courrier... De nuit (ou bien ça n'est pas un goof et ils étaient vraiment stupides... Ou fatigués peut-être).
Mais le sujet se suffisait à lui même et le réalisateur a préféré l'aborder de façon quasiment documentaire, comme une reconstitution méticuleuse mais humanisée des faits (...)
Retrouvez la chronique complète ici :
Et pourtant, force est de constater que le résultat est bon. Certes, on n'est pas sur du Olivier Marchal en terme de noirceur (de l'image, de la police, du monde, de la vie... Lâche ce couteau : c'est pas dans ce sens pour s'ouvrir les veines !) et, au niveau du scénario, on est en droit de se demander quel peut être l'intérêt de planquer devant l'institut Saint Vincent de Paul où Guy Georges avait l'habitude de venir retirer son RMI et son courrier... De nuit (ou bien ça n'est pas un goof et ils étaient vraiment stupides... Ou fatigués peut-être).
Mais le sujet se suffisait à lui même et le réalisateur a préféré l'aborder de façon quasiment documentaire, comme une reconstitution méticuleuse mais humanisée des faits (...)
Retrouvez la chronique complète ici :
Très bon polar. Un jeu d'acteurs très crédible qui nous permet de saisir l'émotion et la gravité du contexte.
Sobre et efficace, ce polar jouit d'un réalisme quasi documentaire et d'une reconstitution historique de qualité, au détriment toutefois d'un petit supplément d'âme. Trop académique, le film manque un peu de personnalité même s'il reste bien construit et passionnant.
Un bon polar basé sur une histoire vraie, superbement interprété. Entre 3 grosses et 4 petites étoiles. ----Février 2016----
Très bonne surprise. Efficace et passionnant. Le film ne se prend pas au sérieux et les acteurs sont tous parfaits. Mention à celui qui joue Guy Georges.
Polar Brillant qui suit la traque et en parallèle le Procès de Guy Georges et qui détaille avec intelligence, force et un suspens haletant le parcours de ces policiers contre l'un des tristement plus célèbres Tueurs en Séries de ces dernières années. Une réalisation au départ déroutante mais subtile et un jeu d'acteurs impliqué achève de faire de ce Film Reconstitution et Témoignage une réussite à l'atmosphère étouffante, éprouvante avec un dénouement poignant.
36 Quai Des Orfèvres. Une pure et passionnante affaire qui suit les traces du serial killer, le monstre, le sordide Guy Georges. Frederic Tellier s'est très bien documenté et son travail minutieux est réaliste. Eprouvant, nourri de haine et assoiffé de vengeance, on suit avec passion les difficultés de l'enquête.
Excellent thriller d'une précision chirurgicale ... presque un documentaire. On ne s'ennuie pas un instant et la fin arrive à nous surprendre.
Toujours mon problème avec Personnaz.
3 films visionnés avec cet acteur et toujours pas de réconciliation.
Ceci dit, le film est fort, belle reconstitution, des scènes parfois violentes et dures à supporter mais le film vaut par sa réalisation. L'acteur jouant le rôle de Guy Georges est très convaincant.
Nathalie Baye toujours impeccable.
3 films visionnés avec cet acteur et toujours pas de réconciliation.
Ceci dit, le film est fort, belle reconstitution, des scènes parfois violentes et dures à supporter mais le film vaut par sa réalisation. L'acteur jouant le rôle de Guy Georges est très convaincant.
Nathalie Baye toujours impeccable.
De moins en moins de films français attirent mon attention, majoritairement écrasés par les films anglophones, et dont l'histoire n'est pas accrocheuse.
Mais "L'affaire SK1" fait partie de ces films français qui traitent des faits réels, qui ont marqué une génération (ici les années 90), et qui a un rythme qui nous tient en haleine tellement on souhaite connaître la vérité.
On suit alors l'équipe 36 du quai des Orfèvres à Paris, enquêter sur ces multiples crimes très sanglants et tous liés.
La prestation de Raphaël Personnaz est impressionnante, il a réussi à composer un Charlie Magne obnubilé et perdu dans son enquête. Adama Niane excelle lui aussi dans son rôle, émouvant et vrai pourtant avec un physique dur et effrayant, caractérisé par son rôle de meurtrier.
On passe un bon moment, à attendre impatiemment la vérité sur cette affaire du "Serial Killer n°1".
Mais "L'affaire SK1" fait partie de ces films français qui traitent des faits réels, qui ont marqué une génération (ici les années 90), et qui a un rythme qui nous tient en haleine tellement on souhaite connaître la vérité.
On suit alors l'équipe 36 du quai des Orfèvres à Paris, enquêter sur ces multiples crimes très sanglants et tous liés.
La prestation de Raphaël Personnaz est impressionnante, il a réussi à composer un Charlie Magne obnubilé et perdu dans son enquête. Adama Niane excelle lui aussi dans son rôle, émouvant et vrai pourtant avec un physique dur et effrayant, caractérisé par son rôle de meurtrier.
On passe un bon moment, à attendre impatiemment la vérité sur cette affaire du "Serial Killer n°1".
à voir absolument !
entre l histoire et l interpretation.... parfait.
ce film mérité plus que deux nomination au Cesar !
regardez le, important pour l histoire française et également pour une superbe réalisation.
entre l histoire et l interpretation.... parfait.
ce film mérité plus que deux nomination au Cesar !
regardez le, important pour l histoire française et également pour une superbe réalisation.
L'affaire SK1 relate la difficile enquête qui a mené à la capture de Guy Georges, tueur en série ayant sévi dans les années 90. Si techniquement, il n'y a rien à redire sur le film qui décortique avec minutie les événements qui ont mené à l'identification du "tueur de l'Est Parisien", c'est peut être justement cette précision qui l'empêche de véritablement nous séduire complètement. Car tel un documentaire, le film enchaîne les faits sans véritablement arriver à donner corps à ses personnages malgré de bons acteurs. On reste très attentif à l'ensemble mais on regrettera à posteriori de n'être finalement bousculé que par les images des corps meurtris. Seule deux scènes auront véritablement retenu mon attention par la tension dramatique qu'elles dégageaient, deux véritables coups de massue justement placés dans le film et qui contraste avec la seule découverte des cadavres une fois le méfait accompli. Un très bon documentaire mais au final un film plutôt moyen.
Un film relatant la traque du tueur en série guy georges qui a sévit dans l'est parisien dans les années 90 et la ténacité du 36 Quai des Orfèvres et notamment d'un jeune inspecteur de police.
Un film dur et réaliste.
Raphael Personnaz dans son meilleur rôle jusqu'à présent.
Un film dur et réaliste.
Raphael Personnaz dans son meilleur rôle jusqu'à présent.
Du très très bon. Franchement je connaissais Guy Georges de nom mais pas son histoire ni sa traque et ce film qui se révèle être un quasi documentaire. Raphaël Personnaz est bluffant et extrêmement convaincant tout comme adama niane. Ce qui est fort c'est qu'il n'est pas décrit comme un monstre tout le long du film on aurait presque pitié pour lui et pourtant lors de son procès on voit clairement un psychopathe pur et dur. Les flashbacks sont réussis les décors de l'époque aussi bref un vrai grand polar documentaire
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