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    Fidelio, l’odyssée d’Alice
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    72 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    14 107 abonnés 12 489 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2018
    L'odeur du fioul, la chaleur dans les machines, l'immensitè de la mer [...] Et si on prenait le temps d'un film avec ce vieux cargo de la marine marchande (le Fidelio) en compagnie de cette femme libre qu'est Alice ? Hommage à la femme libèrèe qui se cherche d'abord mais qui se libère ensuite! Une femme mècanicienne en mer qui n'a pas besoin de se battre pour exister parce qu'elle vit dèjà sa libertè! Certes, c'est un mètier qui n'est pas commun aux femmes mais il existe et ça Lucie Borleteau nous le fait savoir! Ariane Labed (actrice mouvante et èmouvante) a bènèficiè des conseils d'une vraie mècanicienne de cargo et a partagè l'intimitè des marins! De là l'authenticitè du film (un portrait de femme avec groupe comme le souligne la rèalisatrice) où chaque situation qui en dècoule s'avère plausible à l'ècran! Pour son premier long-mètrage, Borleteau s'en tire donc avec les honneurs en brossant le dècor de la marine marchande d'aujourd'hui entre Marseille et Tunis, avec de superbes images! Son film est avant tout un appel au voyage, à la libertè...d'une femme! Et quelle femme! Quant à Melvil Poupaud, il crèe presque la surprise avec un rôle complexe car on aime son personnage et on le dèteste à la fois...
    FaRem
    FaRem

    8 887 abonnés 9 666 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mai 2015
    Le sujet est intéressant avec une femme qui doit remplacer un homme en plus dans un cadre original qui est le milieu marin. Je ne m'attendais pas à un film sur l'égalité homme-femme dans un milieu presque exclusivement masculin, mais je pensais que le traitement serait plus égal et pas uniquement porté sur les amourettes sans intérêt. Alice est une femme libre, elle fait ce qu'elle veut si elle a envie de s'envoyer le cargo entier, c'est son problème, mais pas sur, que ça soit idéal de montrer une telle image. Bref, je m'attendais à beaucoup mieux, l'histoire manque d'enjeux ce qui dessert vraiment le film de plus le traitement n'est pas à la hauteur et le film est vite ennuyeux malgré la bonne prestation d'Ariane Labed.
    traversay1
    traversay1

    3 688 abonnés 4 892 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2015
    Etrange monde que celui des cargos avec ses rituels païens (le passage de l'Equateur, les bizutages), le mélange des cultures et des nationalités, les fêtes excessives et les accidents techniques qui font monter le stress d'un cran. Fidelio, L'odyssée d'Alice raconte tout ceci avec un accent documentaire impressionnant qui a tendance à dépasser l'aspect purement fictionnel du film. Alice, seule femme dans cet univers très masculin, est pourtant l'objet d'un portrait très
    sensible de la part de sa réalisatrice, Lucie Borleteau. Belle fille en mer, solide, indépendante, libre avant tout et cependant coeur d'artichaut à l'instar des marins qu'elle côtoie. Fidelio est le genre de film qui ne veut rien démontrer, se contentant de montrer, sans juger. Il faut se laisser flotter comme son héroïne, au gré des courants. Un scénario un brin plus écrit aurait permis d'être plus proche de cette Alice dont les comportements parfois contradictoires prennent au dépourvu.
    ffred
    ffred

    1 746 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 décembre 2014
    Moi qui n'aime pas la mer et qui suis même souvent malade devant un film de bateau, voilà un premier long métrage qui m'a pourtant enchanté. Pour son coup d'essai, Lucie Borleteau fait preuve ici d'une parfaite maitrise sur tous les plans. Elle voulait faire un documentaire, elle en a fait une fiction, mais qui sonne tellement juste et réaliste que l'on pourrait s'y méprendre. Sur le Fidelio (le nom du bateau), c'est tout un monde qui est récréé. On y parle plusieurs langues, et il y a tout ce qui fait la vie : l’amour, la mort, l'amitié, les conflits, les retrouvailles, les ruptures... Au centre de cet univers, il y a Alice, seule femme à bord, formidable Ariane Labed (vue dans le méconnu et beau Une place sur la terre). Elle est simple, fraiche, forte, fragile, sensuelle et belle. Elle porte littéralement le film sur ses épaules. Un très beau portrait de femme pour une très belle prestation récompensée par un prix d'interprétation à Locarno. A ses côtés, le toujours convaincant Mevil Poupaud et la révélation de Oslo, 31 Août le magnétique et mystérieux Anders Danielsen Lie. Telle l’héroïne, on se laisse embarquer sans problème pour une magnifique traversée, aussi puissante que passionnante. Un premier film sensible et singulier qui se révèle être la belle et l'excellente surprise française de cette fin d'année.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 406 abonnés 4 254 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2016
    Fidelio est une histoire d’amour imbriquée dans un documentaire. En effet, la réalisatrice s’est beaucoup intéressée aux métiers du transport maritime. Son personnage principal est une jeune femme mécanicienne qui doit faire sa place dans ces métiers d’hommes. Pourtant, cette dernière est une femme libérée qui vit ses romances comme le vivrait un homme. Fidelio, l’odyssée d’Alice est donc un film féministe. Mais Lucie Borleteau enchaîne les liaisons et les histoires secondaires. Résultat, on se retrouve face à une multitude de situations qui ne trouvent pas d’aboutissements. C’est un film qui laisse pantois. D’une part car la vie à bord y est un véritable témoignage de la vérité et que les plans à bords sont complexes. D’autres part car la fiction démarrait bien mais ne se voit pas de fin.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    islander29
    islander29

    885 abonnés 2 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 décembre 2014
    j'ai aimé ce film, qui joue sur plusieurs tableaux.....Le premier est le registre amoureux, le plus abordé, et force est de constater que l'amour est une chose compliquée surtout quand on est une femme seule entourée de marins sur un cargo.....Le deuxième est la vie à bord, on assiste à différentes manœuvres ou accidents à bord, où cette femme technicienne est pleine de ressources, c'est assez pointu .....La troisième est une peinture élégante de la mer, avec des photos élégantes sur le large ou les ports maritimes (Dakar, Gdansk, etc....).....Le film est très équilibré dans l'alternance des trois registres et est filmé avec élégance il faut le reconnaitre......Les faits psychologiques sont mineurs, mais pas la profondeur des sentiments, disséqués avec une certaine virtuosité ......Cette femme que l'on qualifiera de moderne montre une émancipation que fera des heureux et des malheureux, mais le tableau est vivant et inspiré....Certains nus agrémentent le film, sans voyeurisme, plutôt comme un hommage au corps de la femme......Les musiques sont subtiles, notamment le quatuor à cordes de Ravel qui vient comme une ritournelle....... Au total le film sait intéressé et affirme des idées farouches sur l'amour...Je conseille l'embarquement immédiat.......
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    418 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2015
    De ce premier long-métrage ressort deux indéniables puissances féminines. La première c'est Ariane Labed, interprète d'Alice éponyme et qui impose force et fragilité à la fois en un spectaculaire tour de force. La deuxième, c'est évidemment sa réalisatrice, Lucie Borleteau, qui laisse présager par un seul premier long-métrage d'un talent qui ne demande qu'à s'épanouir de nouvelles fois. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète:
    ferdinand75
    ferdinand75

    575 abonnés 3 940 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2015
    Un très beau film, complètement surprenant et atypique. Une sorte de Road Movie sur la mer, se situant sur bateau cargo de marchandises. C’est un sujet jamais traité et tellement original. Mais bien sûr la grande surprise c’est que le personnage principal est un marin au féminin. Une jeune femme moderne, sympa, très actuelle, à la fois attachée à sa liberté, qui veut vivre sans préjugés, mais aussi romantique qui cherche l’amour en tâtonnant beaucoup. La vie sur le cargo est magnifiquement décrite, des plans toujours justes, précis, sur les machines , sur la vie au quotidien, sur la sueur , la peur, l’esprit communautaire, tout cela filmé avec beaucoup de poésie. L’escale à Dakar est très bien filmée, avec le bizutage du premier cadet et l’anniversaire de la JF fêté dans une boite de nuit locale un peu glauque, mais sympa et chaleureuse . Des scènes très touchantes, comme celle ou des JF blacks locales, aide notre « garçon manqué » à se maquiller, ou cette même héroïne qui se fait offrir un beau black comme cadeau d’anniversaire ( elle confiera qu’elle ne la pas « consommé « au final). Elle vit sa vie comme un vrai marin avec une certaine liberté sexuelle, « ce qui se passe sur le bateau reste sur le bateau » Les personnages sont cohérent et attachant , chaque second rôle est traité avec délicatesse et attention, le marin mort sur le bateau est un thème central et récurrent, il entretient le mystère et crée une intrigue dans le récit, de manière très astucieuse. C’est aussi le récit d’une passion car la JF aime la mer et voyager plus que tout, c’est au dessus de ses relations sentimentales, et elle partage ce sentiment avec d’autres marins qui expriment aussi cette même passion. Il faut bien sûr noter la très belle interprétation de l’ensemble des acteurs (d’ou un talent confirmé de Lucie Borleteau dans la direction d’acteurs ). Bien sûr Melvil Poupaud que l’on connaît bien est excellent, un de ses meilleurs rôles : fragile touchant, mais fort et leader d’équipe dans son job de capitaine de navire. Mais surtout incroyable révélation de Ariane Labed, absolument parfaite dans ce rôle de femme moderne et fragile, elle illumine la pellicule , on croit à son personnage, on doute avec elle, on veut qu’elle reste libre , l’accompagner, l’ aider à vaincre ses doutes, Une très jolie jeune femme, à qui on peut souhaiter une grande carrière , beaucoup de talent pour une beauté au naturel , mystérieuse et envoutante. La scène finale a Gdansk, ou elle débarque avec son équipe est très belle, elle regarde « ses » marins, un par un , elle est heureuse ,c'est son équipe, c’est ce qu’elle aime plus que tout. Merci encore à Lucie Borleteau pour ce grand moment de cinéma, qui sort des sentiers battus. A decouvrir absolument..
    elbandito
    elbandito

    353 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2015
    En plus d’un aspect documentaire de qualité sur la vie quotidienne à bord d’un navire marchand, Lucie Borleteau dresse un magnifique portrait de femme moderne, libre et altruiste, qui cherche à vivre pleinement sa vie intime et professionnelle. La sublime Ariane Labed est la révélation de cette histoire qui suit les aventures d’Alice, une femme mécanicienne embarquée sur un vieux cargo, le Fidelio, monstre de fer sur lequel Alice va devoir garder le cap et découvrir les raisons du décès de son prédécesseur, renouer avec son ancien amant au risque de perdre l’homme qu’elle aime, resté à terre, mais aussi découvrir les rites des marins de tous horizons, curieux mélange de trivialité et d’amitié.
    poet75
    poet75

    278 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2015
    Sous ses airs ordinaires, Alice (Ariane Labed) cache un sacré tempérament! La voilà qui se retrouve embauchée comme mécanicienne sur un vieux cargo, le Fidelio. Un travail qui l'oblige à se séparer pendant plusieurs mois de son compagnon, Felix (Anders Danielsen), un dessinateur de BD. La voilà qui se trouve embarquée sur un raffiot, au milieu d'hommes parmi lesquels le commandant (Melvil Poupaud) qui n'est autre que son amour de jeunesse! Pour Alice, éprise de sensualité, il est bien difficile de rester de marbre... Dans le même temps, elle découvre le carnet intime du mécanicien retrouvé mort et qu'elle a remplacé.
    Un beau film étonnant, libre et original, oscillant sur la mer entre le naturalisme des machineries du cargo et des moeurs des marins, l'évocation poignante du mécano décédé, les aspirations sensuelles d'Alice et sa quête d'un (ou de plusieurs!) grand(s) amour(s)! 7,5/10
    Fabien S.
    Fabien S.

    571 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2018
    Un très bon film français sur une femme navigatrice pour s'évader à travers les océans pour retrouver sa liberté. Un très beau drame sentimental autour de l'amour et du voyage en mer.
    conrad7893
    conrad7893

    308 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 février 2016
    Film pas terrible du tout. A voir seulement pour en apprendre un peu plus sur la vie à bord et surtout la condition des femmes dans ce monde masculin.
    Sinon le film est une succession de scènes érotiques et de beuveries entre personnel d'équipage.
    Même l'intrigue sur le mécano retrouvé mort n'est pas plus exploitée que cela;
    j'ai pas aimé même si l'actrice se donne du mal
    un film qui coule à pic
    Loïck G.
    Loïck G.

    345 abonnés 1 681 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2015
    Après deux court-métrages ( bonus), Lucie Berleteau signe un premier long,remarquable, totalement maîtrisé. Elle a filmé entièrement au cœur d’un cargo sur lequel embarque une jeune femme, seconde du chef-mécanicien. C’est la vie à bord dont elle nous parle très bien à travers une activité parfois ingrate, mais une solidarité toujours renouvelée. La présence de la femme intensifie bien évidemment les relations mais Alice en quête d’elle-même a déjà assez d’indépendance dans ses bagages pour faire face aux impondérables. Son itinéraire amoureux est plus bancal, et là encore la réalisatrice décrit très bien la personnalité d’une jeune femme en quête d’elle-même. Le rôle est tenu par Ariane Labed encore peu connue sur nos écrans. Qu’elle quitte l’Angleterre !

    Avis bonus Une rencontre très intéressante avec la réalisatrice et la comédienne, doublée par deux courts-métrages dont un vraiment passionnant sur la lutte des femmes qui refusent la grossesse...
    Pour en savoir plus
    Hastur64
    Hastur64

    230 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 septembre 2015
    Pour son premier long-métrage la réalisatrice Lucie Borteleau nous convie dans un monde peu vu au cinéma, celui des hommes de mer et plus particulièrement celui des équipages de cargo (souvent constitués de plusieurs nationalités). Elle y introduit un personnage féminin ce qui a l’originalité de montrer une héroïne dans un monde extrêmement masculin et donc de ne pas tomber dans les ornières des thèmes trop souvent attachés à la féminité pour parler de sujets qui concernent indifféremment hommes et femmes : l’amour, le couple, la fidélité… Si l’histoire n’est pas incroyablement forte, l’environnement lui donne une saveur assez étrange dans ce monde clos que constitue le navire entre un pond à ciel ouvert et des coursives, cabines et salle des machines exiguës où les corps se frôlent et les tête-à-tête sont inévitables. Dans cet univers métallique et très masculin, la réalisatrice/scénariste nous évite les problèmes de sexisme (bien que parfois ce sujet affleure en surface) pour dépeindre une jeune femme un peu effrayée par l’amour et le couple en tant qu’engagement et qui comme ses collègues hommes, n’hésite pas aller satisfaire ses besoins physiques avec d’autres partenaires que son amoureux. La lecture du journal intime de son prédécesseur décédé pendant une mission et la rencontre avec un amour passé vont lui faire se poser des questions sur sa vie et notamment sa vie amoureuse. À côté des questionnements existentiels d’Alice, on assiste à la vie à bord de ces immenses bâtiments gérés par peu de personnels avec parfois des coutumes et des règles un peu étranges. Un film très introspectif, qui pose des questions assez conventionnelles, mais qui le fait de façon originale tant par l’environnement que par les personnages. Un drame intéressant et un premier film plutôt très réussi. À voir.
    Fritz L
    Fritz L

    190 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2015
    Voilà vraisemblablement le film français de 2014, le plus impudent mais surtout le plus surprenant. Non seulement par le clin d’œil littéraire à l’œuvre d’Homère (Alice comme Ulysse mettra 10 années à retrouver « Fidelio » le bateau témoin de ses premiers pas dans la marine marchande et de ses premières amours avec Gaël, non sans quelques péripéties). Mais également par ce récit de voyage sans concession qui porte notre héroïne sur la voie qu’elle s’est tracée depuis toujours, celle de l’indépendance et de la liberté. Ce n’est pas pour autant une œuvre vindicative ou féministe, juste un beau portrait d’une femme lumineuse et radieuse interprétée par une Ariane Labed totalement habitée par son rôle. Lucie Borteleau se joue d’ailleurs du spectateur, elle compose un univers très masculin, limite macho, dans lequel Alice, qui « n’a pas la vertu des femmes de marins », tient surtout sa place et impose un respect à la seule force de ses compétences et d’un caractère pour le moins trempé. C’est cette ambivalence, entre « la femme » et « le collègue », qui donne à ce film un côté malicieux des plus réjouissants. La réalisatrice (dont c’est le premier long métrage) connaît visiblement bien le milieu de la mer, qu’elle dévoile dans toute sa vitalité, avec ses codes et ses coutumes. Rarement cet univers clôt des marins a été aussi bien dépeint, il faut remonter à l’inoubliable « Crabe Tambour » de Schoendoerffer, dont on trouvera ici pas mal de similitudes. Est-ce à dire que « Fidelio » est un film d’homme, non bien évidemment… quoique… « Fidelio » est avant tout une œuvre attachante, décalée, bien filmée et jouée qui vous imprègne de son charme et semble vous susurrer à l’oreille les paroles de Victor Hugo, « la mer est un espace de rigueur et de liberté ».
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