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    Les Deux amis
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    110 critiques spectateurs

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    Domnique T
    Domnique T

    68 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2015
    Louis Garrel (Abel) et Vincent Macaigne (Clément) campent donc deux amis … mais attention amis jusqu’à la fusion, sans tiédeur. Ils se protègent, se mentent éhontément pour ne pas se blesser. Mais parmi leurs rêveries de littérature pour l’un, de cinéma pour l’autre, vient s’immiscer Mina. Mystérieuse, fuyante, belle à pleurer, l’empathique Clément n’y résiste pas. Il faut dire qu’elle est interprétée par Golshifteh Farahani … magnifique et envoutante. Les dialogues sont percutants, les situations souvent burlesques dans les outrances dramatiques. La mise en scène académique dénote avec l’atmosphère irréelle créée par l’opposition de la légèreté de la situation et la gravité de ses implications. Au bilan, un film attachant, bourré de défaut que la grâce de Golshifteh Farahani sauve magnifiquement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 octobre 2015
    Le scénario est bancal, le lien d'amitié entre Garrel/Macaigne ne fonctionne pas vraiment mais tout n'est pas à jeter.
    Garrel essaie de nous faire croire à ce lien fort d'amitié mais il manque un passé à ces 2 amis, des réflexes, tout ce qui fait que l'on sent un vécu entre deux personnes, ce que l'on appelle aussi de la complicité. Le lien entre les deux est trop déséquilibré. A la limite, il pourrait ressembler au lien entre 2 frères dont l'un serait gentiment attardé (Macaigne).
    Dépassé ce petit échec sur ce qui semble être le thème principal du film, "Les deux amis" réservent quelques beaux moments comme ce passage un peu fou où les deux gars s'emparent de la fille dans le train, cette séquence de danse dans le bar, Vincent Macaigne essayant de sauter par la fenêtre, Macaigne toujours parlant devant la porte de la chambre d'hôtel.
    Macaigne est d'ailleurs encore une fois assez génial mais ne serait-ce pas le 5ème ou 6ème film d'affilé où il joue à peu de chose prêt ce même personnage de névrosé, ultra anxieux, au bord de la folie ? Il va falloir qu'il sorte vite du piège.
    Garrel (acteur) en fait quant à lui un peu trop dans tous ces gros plans de beaux gosse ténébreux déjà largement consommé de son côté.
    anais R.
    anais R.

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2015
    C'est drôle, sensible, toujours surprenant, les dialogues sont supers. Le film parle de choses graves sur un ton léger. Les acteurs sont tous formidables. Quel plaisir.
    dagrey1
    dagrey1

    100 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2015
    "Deux amis" est une comédie dramatique un peu décalée réalisée par Louis Garrel. Dans ce film, le personnage de Vincent Macaigne, amoureux transi de Mina interprétée par Goldshifteh Farani est "aidé" dans son entreprise de séduction par son meilleur ami, séducteur sournois et écrivaillon à ses heures interprété par Louis Garrel. L'ensemble de l'intrigue et les relations du trio amoureux se complique avec l'obligation légale de Mina de réintégrer une prison pour femmes en Picardie. Le film est amusant, les situations loufoques se succèdent. Le film doit également beaucoup au charme de l'actrice franco iranienne toujours lumineuse.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 septembre 2015
    Abel et Clément se croient grands potes à vie. Le bel Abel a des velléités d’écrivain, tandis que Clément soigne sa timidité maladroite en faisant de la figuration au cinéma. En amour, le beau ténébreux aurait tendance à donner des leçons de savoir-faire au faux ingénu. Du coup, quand l’amoureux transi rencontre la ravissante Mona, il ne faut pas s’étonner qu’il se mette en danger en demandant à son copain de l’aider à la séduire...

    « Sandwicheuse » de jour gare du Nord, Mona est en semi-liberté et ne peut se permettre le moindre écart, ni trop s’attacher… Si le spectateur est affranchi dès le premier plan sur son incarcération, les deux amis seront longtemps écartés du secret. Mais une nuit d’égarement renforcera encore plus leur attirance pour la belle fugueuse. Le scénario du triangle amoureux est donc au cœur de la première réalisation de Louis Garrel. Avec des dialogues assez vivants et une photo plutôt élégante, le film dégage un petit charme.

    Il n’empêche, tout n’est pas parfait. Et l’objectif du réalisateur de « faire un film sur l’amitié masculine ou il ferait bon vivre » n’est que partiellement atteint. Les soi-disant joyeux copains bavardent beaucoup, mais sans grand d’intérêt. Comme si Louis Garrel et Vincent Macaigne avaient du mal à se débarrasser de quelques tics d’acteurs, le premier en tombeur torturé et le second avec son air de chien battu. Alors que Golshifteh Farahani est tout le temps formidable, en particulier dans de belles scènes de danse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 septembre 2015
    Un film surprenant, saisissant et drôle, en grande partie grâce aux 3 magnifiques acteurs!
    totor22
    totor22

    8 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2015
    Un film étrange, très curieux. Je m'attendais pas à cette fin brusque comme je trouve aussi au début mais j'aime beaucoup. Très bon jeu d'acteur. Oui ce n'est pas une comédie enfin on doit rajouter dramatique. Dans ce film il n'y a pas de mensonge enfin presque mais des non-dit En fait on connait pas vraiment l'histoire des personnages et je trouve ça très excitant d'imaginer leur passé et plus particulièrement de la fille.
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    154 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 septembre 2015
    Un triangle amoureux dont le ton oscille entre humour et passage plus graves, il y avait là largement de quoi se rater pour un premier film. Pourtant, même s’il n’est pas parfait, « les Deux amis » est une bonne surprise. A l’image des personnages, c’est un film contradictoire, très parisien et pourtant qui s’applique partout, grave mais aussi potache, rythmé mais avec des pauses contemplatives… Tout cela permet de bien montre les errements des personnages tous livrés avec un cœur un peu trop gros et beaucoup trop sensible pour affronter la grisaille du monde.
    Le trio fonctionne parfaitement, chacun est perdu à sa façon et chacun se cherche. Touchants et parfois énervant, leurs caractères sont toujours sincères.
    Leur rencontre va les faire avancer et c’est un moment de douceur cinématographique à savourer en se laissant porter.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 septembre 2015
    Ceux qui ne voient en Louis Garrel qu'un beau ténébreux sans profondeur en seront pour leurs frais. Les deux amis est un premier long-métrage plutôt séduisant, non que son scénario soit inoubliable, mais la légèreté apparente et voulue sert de paravent à une belle ode à l'amitié dans le cadre d'un faux triangle amoureux. Filmé avec élégance et un vrai sens du rythme, parsemé de scènes cocasses ou simplement émouvantes, Les deux amis n'emprunte pas les sentiers trop foulés de l'intimisme à la française malgré son côté parisien marqué et ses influences entre la Nouvelle Vague et le cinéma de Claude Sautet. C'est un peu du Dolan soft, si l'on ose dire. Louis Garrel ne s'est pas donné le beau rôle et il est épatant en sournois irrésistible. De même, Vincent Macaigne est mieux que l'éternel ahuri qu'il semble toujours incarner. Les deux amis ont par ailleurs la chance de côtoyer Golshifteh Farahani, éblouissante, cela va de soi, dans une partition où elle montre toutes les facettes de son talent.
    alain-92
    alain-92

    322 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 septembre 2015
    "Les Caprices de Marianne une pièce dont j’ai joué une scène à l’âge de quinze ans et qui m’a accompagné tout au long de mon parcours au théâtre" a déclaré Louis Garrel. Grand cinéphile, il évoque ses références allant de La règle du jeu de Jean Renoir, en passant par Sautet ou Le Marche à l'ombre de Michel Blanc.

    Après avoir tourné six fois sous sa direction, le scénario un brin nostalgique de ce premier long-métrage, est coécrit avec Christophe Honoré. Il sera question d'une histoire particulière, celle qui mènera à la rupture d'une amitié. Identique à la fin d'une liaison amoureuse.

    Si le tournage en 35 mm a permis à Louis Garrel de se "concentrer davantage", toujours selon ses dires, le résultat est étonnant. Les couleurs sont l'image des sentiments des principaux protagonistes. Brillantes.

    De beaux rôles pour des acteurs qui se connaissent depuis quelques années. Tous trois sont parfaits. La caméra filme magnifiquement la sublime Golshifteh Farahani. Actrice lumineuse qui, par sa seule présence, efface quelques longueurs.

    Louis Garrel "voulait faire un film de chambre, au plus près de l’intimité".
    C'est fait et réussi.
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 septembre 2015
    Louis Garrel n'est pas pour rien le fils de son père. Il livre un film dans la plus complète des traditions des films français, notamment issus de la nouvelle vague. L'histoire est belle : c'est une sorte de trio amoureux, composé d'une fille très jolie, incarcérée, qui bénéficie d'une autorisation de sortie en journée, d'un homme sans âge, un peu acteur, surtout très fou, et un troisième homme, une sorte de dandy parisien, maladroit, pompiste dans un sous-sol de la capitale. Le réalisateur a échappé au poncif de l'artiste parisien qui se complaît dans des complexités amoureuses. Il montre des vraies gens, du moins, il essaye. En fait, le regard est tellement décalé de cette réalité des gens que Garrel ne connaît visiblement pas, que le propos en devient caricatural et pesant. Il adopte un ton délibérément réaliste, ce qui rajoute de la grossièreté des personnages qui dépensent à tout va dans des hôtels, parlent de choses à mille lieux de la préoccupation de personnes qui partageraient véritablement leurs problèmes. Les emprunts cinématographiques accentuent la lourdeur du propos. François Truffaut hante chaque image, particulièrement lors de ces plans du cinéma dans le cinéma, où miraculeusement les trois personnages se retrouvent figurants dans des tournages. On peut supposer que le réalisateur de ces tournages, souvent excessif, incarne la figure paternelle du réalisateur, ou plus simplement que Louis Garrel est incapable de faire abstraction à son propre univers personnel. Louis Garrel joue comme Louis Garrel, sauf que cette fois, il se met lui-même en scène. Si la patte de Christophe Honoré est très présente dans le film, à commencer par le scénario dont il est le co-auteur, le manque de distanciation nuit à la mise en scène souvent à la limite de la vacuité. On pense à ces textes ridicules que le pompiste écrit puis lit à la femme d'un client, pendant que son mari va dans une épicerie de nuit. Garrel n'a pas l'intention explicite de réaliser une comédie, du coup, ses personnages n'en sont que plus grotesques. Bref, si le film n'est pas sans intérêt, on peut espérer dans les longs métrages qui suivront un peu plus d'inspiration.
    Scorcm83
    Scorcm83

    106 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2015
    Excellente surprise que ce premier film de Louis Garrel. Dans le prolongement du court-métrage La Règle de Trois, Les deux amis se veut une sorte de fable extrêmement fraîche et originale sur les rapports sentimentaux d'un trio de personnages ; des rapports à la fois amicaux et sentimentaux.

    J'ai été rapidement pris dans le film, dés les premières minutes en fait. Garrel maîtrise sa caméra à la perfection et le montage propose des sauts dans le temps plutôt originaux et bien sentis. Globalement, le premier acte du film est magistral. Les acteurs sont tous géniaux et dirigés d'une main de maître. On ressent une véritable alchimie entre eux et, chose assez rare finalement, ils possèdent tous une personnalité propre. C'est dans leurs différences (étant chacun à l'opposé de des autres) qu'ils s'unissent et créent une entité attachante.

    La façon de mettre en scène et d'aiguiller le scénario m'a véritablement plu et je dois avouer que le dernier tiers accuse un peu le coup par rapport à une première partie plus intense et rythmée.

    Malgré tout, le film est vraiment bon, d'une justesse assez folle, très surprenant et surtout très drôle, beaucoup plus que les 3/4 des comédies qui sortent actuellement.

    C'est un peu une sorte de mélange, un cocktail de plein de bonnes choses, de plein de bonnes idées, sans jamais être lourd, sans jamais être pompeux ou poussif, Les Deux Amis se révèle un véritable bon film que je conseille aux amateurs du style.

    Vraiment, j'ai passé un très bon moment, à voir !
    Fritz L
    Fritz L

    187 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 septembre 2015
    Incertaine adaptation des « Caprices de Marianne », inspiration maladroite de Truffaut avec son « Jules et Jim », filiation trop marqué avec Claude Sautet notamment par le choix d’un Philippe Sarde à la partition (l’une des plus belle du compositeur d’ailleurs), film parisien par excellence, l’ombre provinciale d’Honoré règne su le film, tout sonne faux à l’image du jeu de son réalisateur Louis Garrel…

    Petit florilège de ce que j’ai pu lire ou entende depuis que je suis sorti de belle humeur de la salle où je venais de voir « Les deux amis ». Il y a pourtant un fond de vérité, mais aussi un parti pris négatif évident dans tout cela. Qu’importe, pour paraphraser Beaupain, ces remarques entre mes doigts, comme le sable glisse…

    « Les deux amis » est un film fantasque dans le sens littéraire du terme. Il est bizarre, extraordinaire, plein de fantaisie et d’originalité. Cela tient déjà au rachis du scénario, le trio amoureux, ou pour le moins sa trompeuse apparence. Clément et Abel sont amis, tous deux accidentés de la vie (leur « plus jamais » au début du film est terrible), névrosés et cabossés, ils avancent tant ben que mal, un peu à la marge (l’un gardien de nuit par raison, l’autre figurant), forts de ce lien d’interdépendance qui les unit, véritable clé de voûte de leur équilibre respectif. Mais Clément soupire pour Mona incandescente et mystérieuse, vendeuse de jock-food dans une gare, lieu de transit, d’éphémère. Quand Abel rencontre Mona, une faille s’ouvre. Les conséquences pour nos trois héros en seront risquées, sciemment, ils s’y engagent.

    Si la trame, comme évoqué plus haut, rappelle « Les caprices de Marianne », il n’en est rien sur les intentions et la finalité. L’intérêt que porte Garrel dans son scénario, réside beaucoup sur l’attache qui unit ces deux hommes, que sur le triolisme de Boulevard ou dramatique. Mona, magnifique héroïne d’un quotidien morose, n’est qu’un symptôme, celui d’une crise profonde qui s’est installée sournoisement dans cette amitié forte. Petite parenthèse, Golshifteh Farahani est un extraordinaire et radieux symptôme.

    Abel, sorte de leader négatif, ne possède ni le lustre, ni la stature de l’Octave de Musset, sa vie s’est éteinte un jour. Nous n’en savons et n’en saurons guère plus, Il en est de même sur le parcours de Mona et Clément d’ailleurs. Clément (Vincent Macaigne au sommet se son art) quant à lui est plus basique, limite viscéral. Il s’emporte au gré de ses sentiments en amour comme en amitié. Son besoin d’affection et de reconnaissance lui font souvent se cogner à la vie, il cherche à attirer l’attention en permanence, surtout celle d’Abel, dont il aimerait tant prendre le dessus.

    Dès leur rencontre, qu’on imagine puissante, les deux hommes, se sont donnés dans cette Amitié, si complémentaire et fusionnelle au départ, les années passant la raison a empiété sur la ferveur. Et c’est une véritable crise de couple qui se joue sous nos yeux. Il ne s’agit toutefois ni d’un rapport homosexué, moins encore d’homosexualité, juste d’une amitié formelle où s’exprime l’amour et le bien être du partage. Dans ce sens, le scénario est intelligent dans sa démonstration et la construction du film plus encore.

    J’avais en tête en entrant dans la salle, le joli souvenir du moyen métrage de Louis Garrel « Petit tailleur ». Que de chemin parcouru depuis tant au niveau de la mise en scène, que de son jeu d’acteur. Certes les références sont nombreuses, celle déjà évoquées de Truffaut, ou Sautet (Garrel préférant d’ailleurs celle-ci) mais aussi d’Honoré (dont on sent un peu la patte, il a cosigné le scénario). Mais il s’en démarque habilement. Il se moque du réalisme, sa caméra est son œil, sa vision propre de l’existence. Tantôt désabusée, attendrie, superficielle ou touchant au cœur, il capte au plus près de ses héros les émotions fébriles et laisse libre court à leurs excès pour notre plus grand enchantement. « Les deux amis » est un film enchanteur.

    Louis Garrel s’affirme également dans son jeu, toutes les scories et tics habituels sont effacés, il ne sur joue pas, et affiche une sobriété efficiente, un jeu en profondeur qui donne à Abel toute l’ampleur de sa complexité et surtout de sa fragilité. Il y est magnifique !

    On court beaucoup dans « Les deux amis », après un train, pour retrouver l’être aimé, on court contre soi ou pour fuir… Pour ma part, je cours revoir ce film, qui a provoqué en moi tant d’agitations, rire, pleurs et sourire se mêlant à mon insu, pour me donner ce qui sera sans doute ma plus belle aventure de 2015 au cinéma.
    Loïck G.
    Loïck G.

    340 abonnés 1 675 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2015
    Si la romance des films de Truffaut reprend ici quelques droits (voir « Jules et Jim »), le regard de Louis Garrel pour son premier film est assez personnel et parfaitement adapté à la manière dont il conduit son propre personnage. Aux côtés de ce que je considère comme les deux comédiens parmi les plus doués de leur génération, Golshifteh Farahani et Vincent Macaigne. Un trio nullement amoureux, mais qui pourrait le devenir si les aléas de la vie et des sentiments ne s’entremêlaient pas de manière assez singulière. Avec le secret qui interdit à Mona de vivre pleinement ses amours. Christophe Honoré, co-scénariste du film n’est certainement pas étranger à la mélancolie ambiante, qui prend le pas sur la tristesse et qui donne un ton très particulier à ce premier film qui bien évidemment en appelle d’autres.
    Pour en savoir plus
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 septembre 2015
    C'est un film très agréable a regardé je ne regrette pas d'être aller le voir ,les acteurs joue très bien !
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