Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Positif
par Olivier de Bruyn
Jean-Paul Civeyrac signe un film puissant et délicat, qui joue habilement avec les ellipses, les atmosphères amibiguës et une proximité ultra-sensible aux acteurs.
Télérama
par Louis Guichard
"Mon amie Victoria" renvoie ainsi irrésistiblement au chef-d'oeuvre de Douglas Sirk, "Mirage de la vie". Pas seulement par ses thèmes, mais aussi par le doute métaphysique qu'il laisse planer sur toutes les activités et les passions humaines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette adaptation subtile d'un roman de Doris Lessing évite toute forme de manichéisme pour dénoncer un racisme ordinaire par le biais d'une fable sociale solidement charpentée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Benoît Smith
Civeyrac raconte en premier lieu l’histoire d’une personne qui, accrochée à une illusion, laisse sa vie défiler jusqu’à n’en reprendre le contrôle qu’en faisant un choix terrible.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) ce film impressionne par son ton romanesque, sa mélancolie lumineuse, sa mise en scène minutieuse qui préserve le côté énigmatique de l’héroïne tout en pointant les ambivalences de chacun.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
En respectant, comme un sanctuaire, le mystère de ses personnages, Civeyrac se concentre sur les actes, sur les gestes, et en saisit les effets sur les visages, à même la peau. Il renouvelle ainsi le genre du mélodrame en lui donnant la puissance d’une tragédie politique contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
De cette destinée tragique, Civeyrac tire un mélodrame aérien en apparence distant, voire clinique, qui travaille moins à l’irruption des sentiments qu’à leur refoulement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Libération
par Julien Gester
Instillant à sa mise en scène d’élégants jeux d’échelles et d’actualisations qui décrivent ce qui se transmet, de génération en génération, d’insidieux mécanismes et représentations, le cinéaste délègue son rôle de conteur à une figure de narratrice embarquée (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un tableau de société avec des couleurs parfois un peu poussées. Face à la présence forte de Catherine Mouchet et Pascal Greggory, une prestation en retenue de Guslagie Malanda.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Les films de Civeyrac semblent parfois exister hors du monde, comme ses personnages, à la fois fidèles à un spleen bressonien tardif et trop indolents pour nous emporter comme ceux de Garrel ou Brisseau.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dommage, l'accaparement d'un enfant d'un milieu modeste, noir ou blanc d'ailleurs, par une famille bien plus aisée matériellement et culturellement s'avère un beau thême, fort et complexe.
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Un drame intimiste qui appuie un peu trop sur le côté mélo, et que plombe une lourde voix off explicative.
Voici
par La Rédaction
Une adaptation un peu molle et inégale du beau roman de Doris Lessing.
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
Le réalisateur (…) ne parvient pas à nous intéresser ni à l’intrigue ni à ses personnages. Il a gommé les aspects socio-politiques du roman et l’évocation de la condition des étrangers et des Noirs dans les villes occidentales, pour aboutir à un film gentiment romanesque et mélodramatique.
Positif
Jean-Paul Civeyrac signe un film puissant et délicat, qui joue habilement avec les ellipses, les atmosphères amibiguës et une proximité ultra-sensible aux acteurs.
Télérama
"Mon amie Victoria" renvoie ainsi irrésistiblement au chef-d'oeuvre de Douglas Sirk, "Mirage de la vie". Pas seulement par ses thèmes, mais aussi par le doute métaphysique qu'il laisse planer sur toutes les activités et les passions humaines.
20 Minutes
Cette adaptation subtile d'un roman de Doris Lessing évite toute forme de manichéisme pour dénoncer un racisme ordinaire par le biais d'une fable sociale solidement charpentée.
Critikat.com
Civeyrac raconte en premier lieu l’histoire d’une personne qui, accrochée à une illusion, laisse sa vie défiler jusqu’à n’en reprendre le contrôle qu’en faisant un choix terrible.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
(...) ce film impressionne par son ton romanesque, sa mélancolie lumineuse, sa mise en scène minutieuse qui préserve le côté énigmatique de l’héroïne tout en pointant les ambivalences de chacun.
Le Monde
En respectant, comme un sanctuaire, le mystère de ses personnages, Civeyrac se concentre sur les actes, sur les gestes, et en saisit les effets sur les visages, à même la peau. Il renouvelle ainsi le genre du mélodrame en lui donnant la puissance d’une tragédie politique contemporaine.
Les Inrockuptibles
De cette destinée tragique, Civeyrac tire un mélodrame aérien en apparence distant, voire clinique, qui travaille moins à l’irruption des sentiments qu’à leur refoulement.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Libération
Instillant à sa mise en scène d’élégants jeux d’échelles et d’actualisations qui décrivent ce qui se transmet, de génération en génération, d’insidieux mécanismes et représentations, le cinéaste délègue son rôle de conteur à une figure de narratrice embarquée (...).
Ouest France
Un tableau de société avec des couleurs parfois un peu poussées. Face à la présence forte de Catherine Mouchet et Pascal Greggory, une prestation en retenue de Guslagie Malanda.
Cahiers du Cinéma
Les films de Civeyrac semblent parfois exister hors du monde, comme ses personnages, à la fois fidèles à un spleen bressonien tardif et trop indolents pour nous emporter comme ceux de Garrel ou Brisseau.
La Croix
Dommage, l'accaparement d'un enfant d'un milieu modeste, noir ou blanc d'ailleurs, par une famille bien plus aisée matériellement et culturellement s'avère un beau thême, fort et complexe.
Le Dauphiné Libéré
Un drame intimiste qui appuie un peu trop sur le côté mélo, et que plombe une lourde voix off explicative.
Voici
Une adaptation un peu molle et inégale du beau roman de Doris Lessing.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur (…) ne parvient pas à nous intéresser ni à l’intrigue ni à ses personnages. Il a gommé les aspects socio-politiques du roman et l’évocation de la condition des étrangers et des Noirs dans les villes occidentales, pour aboutir à un film gentiment romanesque et mélodramatique.