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Votre avis sur Slow West ?
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Très très bon moment passé avec ce western aussi beau que lent et sanglant ! Tout les acteurs sont très justes, spécialement le jeune héros Kodi Smith McPhee que je découvre. La romance n'est jamais niaise, les scène d'actions sont bien réalisées et ''réalistes'', les décors sont incroyables, la fin est inattendue; que du bon pour ce film qui aurait vraiment pu être plus long !
Slow West est à l'image de sa bande son : lente, monotone, mélancolique et répétitive. Jouée principalement au violon (du jamais vu dans le genre Western), elle n'est porteuse rapidement d'aucun espoir, tout comme le film ....
shindu77
Ce film n'a rien d'extraordinaire bien au contraire. Heureusement qu'il ne dure pas longtemps. L'histoire n'a rien de fantastique et le déroulement du film est classique. Il n'y a vraiment aucune surprise dans ce film. Rien à en tirer au final.
stallonefan62
western assez mauvais, hormis un final un peu mouvementé, le reste est mou !! Michael Fassbender est bon mais en retrait et le reste du casting n'est pas terrible
Ouais, ça se laisse voir. Ce n'est pas long, on peut se laisser aller vers la route tortueuse empruntée par nos deux curieux personnages. Le tout semble un peu déconcertant, ne sachant pas bien où le film veut en venir. On dirait un "petit" film des frères Coen. Un petite mention pour les magnifiques armes qui nous sont montrées.
Un western assez atypique, plutôt contemplatif, ponctué de fulgurances de violence et de gunfights. Esthétisé et poétique, la lenteur du rythme et la durée (trop courte) du film empêchent d'être totalement pris par l'histoire, de même que le personnage principal qui manque de charisme (ce qui n'est pas le cas de Michael Fassbender en revanche).
un western qui comme le titre l'indique est assez lent, michael fassbender joue bien, assez violent quand même. à voir
Hommage désenchanté aux grands westerns d'un autre temps, le film brouille les pistes en flirtant avec un naturalisme mesuré bien servi par la bande-son, ou avec le baroque en imprimant volontiers la rétine de quelques plans admirables. Mais cette intention arty se plie à l'obligation de raconter une histoire, on se permet quelques velléités dans des flashbacks ou scènes à tendance onirique mais sans jamais verser dans l'abstraction. On sent finalement le compromis, une ambition artistique très 70's un peu bridée, un potentiel envoûtant à peine esquissé, sacrifiés au bénéfice d'une narration linéaire et d'une histoire aux contours finalement peu convaincants car trop convenus. Restent de ravissantes bribes contrariées d'un grand film qui finalement n'existe pas.
En dépit de son évidente volonté d'originalité, Slow West recycle pas mal de poncifs, en particulier le duo contrasté du jeune débutant avec le vioeux routier de l'Ouest. Le vieux - pas si vieux que ça - finit par se prendre d'affection pour le jeune, en dépit de son cynisme, cela aussi sent le déjà vu. Le scénario est assez linéaire, mais comporte quelques séquences très noires, sans doute les plus dérangeantes et les plus réussies. Les paysages sont somptueux et donne tout de même une certaine dimension à ce road movie.
La beauté de la photographie ne rattrape pas le grand n'importe quoi du scénario. Rien n'est crédible. Dialogues artificiels, action lente et improbable. Dans le genre trip halluciné et onirique mieux vaut revoir Dead Man de Jim Jarmusch. Exercice de style. Fable prétentieuse.
On parle d'une quatrième vague du film western -initiée par le "Dead Man" de Jarmusch- qui a définitivement libéré le genre de tous ses codes.
Ce film en fait partie.
On ne cherche pas à nous embarquer dans un point de vue, ni nous faire de leçon de morale, l'humour et la rugosité ne sont présents que par touches "naturelles" dans ce film économe de dialogues.
On est invités à se laisse porter à suivre les événements, suivant la naïveté de l'un, la désillusion de l'autre.
Et on se prend malgré tout à aimer ces personnages.
A voir si l'on aime le renouveau de ce genre.
Pour les autres -amateurs des westerns de l’Age d'Or, ou plus concentrés sur l'action pure- mieux vaut passer son chemin, à moins que vous ne soyez tentés par une "autre expérience".
Ce film en fait partie.
On ne cherche pas à nous embarquer dans un point de vue, ni nous faire de leçon de morale, l'humour et la rugosité ne sont présents que par touches "naturelles" dans ce film économe de dialogues.
On est invités à se laisse porter à suivre les événements, suivant la naïveté de l'un, la désillusion de l'autre.
Et on se prend malgré tout à aimer ces personnages.
A voir si l'on aime le renouveau de ce genre.
Pour les autres -amateurs des westerns de l’Age d'Or, ou plus concentrés sur l'action pure- mieux vaut passer son chemin, à moins que vous ne soyez tentés par une "autre expérience".
Un western avec un scénario original et des personnages qui deviennent attachants au fil des minutes. Et bien évidemment une belle fusillade dans les dernières minutes !
Slow West est un western d'un genre nouveau qui porte bien son titre. le réalisateur se focalise en effet beaucoup plus sur ses personnages et son décor que sur les scènes d'action proprement dites. Pas de coups de feu en excès mais une belle découverte de l'Ouest américain, avec de bons acteurs...
Tous les clichés imaginables du western américain se retrouvent dans Slow West présentés dans une histoire ennuyeuse et laborieuse qui ne tient pas du tout debout. Présenté avec tout le cynisme d'un western spaghetti sans aucun des drames ou des personnages qui rendent ce genre parfois décent. Vous connaîtrez les personnages si vous êtes familier avec les westerns américains car ce film les emprunte simplement à John Wayne, John Ford et Clint Eastwood mais sans aucun développement propre de ces personnages. On ne comprend jamais vraiment pourquoi quelqu'un fait quelque chose dans cette histoire. Ça devrait s'appeler le western le plus lent jamais réalisé et qu'est-ce qui se passe avec le caméraman est t'il atteint de parkinson...
Inspiré par l'Ouest qui, contrairement aux attentes, n'est pas tant la terre des opportunités mais plutôt un lieu rude et impitoyable, je trouve dans « Slow West » une représentation à la fois fascinante et déconcertante. Loin de l'image idéalisée, ce film, sous la forme d’une quête initiatique, expose une réalité sanglante et brutale, où ni les rêveurs ni les amoureux naïfs ne trouvent leur place. Cette aventure, qui débute par une promenade innocente, bascule dans une conclusion glaçante et sanglante, dévoilant la dureté de l'Ouest avec efficacité et originalité. Bien que le rythme soit lent et que certains aspects soient trop convenus, l'esthétique visuelle et le traitement unique des personnages et de l'intrigue offrent une expérience cinématographique originale et mémorable. « Slow West » m'a intéressé, malgré ses imperfections, en jetant un regard neuf sur le genre western et en créant une ambiance singulière. WHITE FINGERS, votre Marshal de l’Ouest
Retrouvez mon amour du Far West dans les romans WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
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