Dalton Trumbo
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soniadidierkmurgia
soniadidierkmurgia

1 217 abonnés 4 197 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 8 juin 2021
Ce n'est pas la première fois que l'affaire des dix d'Hollywood est portée à l'écran. Encore tout récemment les frères Coen l'ont traitée par la dérision, en démontrant toute l'absurdité dans le trop sous-estimé (2016) "Ave César". Jay Roach, plutôt porté sur la comédie (les sagas "Austin Powers" et "Mon beau père et moi"), s'intéresse cette fois au destin de Dalton Trumbo, le plus célèbre des scénaristes de la fameuse liste des "dix de Hollywood". Le scénario de John McNamara inspiré du livre éponyme de Bruce Cook se veut très didactique tout en évitant le manichéisme. Oui, l'époque était folle et infestée d'une paranoïa aiguë mais même un personnage courageux et engagé comme Dalton Trumbo n'était pas dénué d'ambiguïté, se tuant à la tâche une fois banni des studios pour conserver un train de vie de sénateur. Le rôle joué par Edward G. Robinson (Michael Stuhlbarg), tout d'abord franchement acquis à la cause puis finissant par céder à force de pression est significatif de la difficulté à tenir une position quand les enjeux personnels deviennent très lourds de conséquences. Dalton Trumbo pouvait écrire sous un faux nom, un subterfuge auquel n’aurait pu recourir un acteur comme Robinson. Ce film toujours mesuré quelquefois amusant, incite à l'humilité car il est toujours plus facile de juger assis dans son canapé. La prestation de Bryan Cranston venu au cinéma via l'univers des séries ("Breaking bad") est remarquable de sobriété ainsi que celle de John Goodman qui retrouve enfin sa verve ou encore celle d'Helen Mirren parfaite dans la peau fripée d'Edda Hooper, la cancanière anti-communiste qui avec sa rivale et complice Louella Parsons faisaient la pluie et le beau temps à Hollywood via leurs puissantes gazettes et émissions télévisées. Roboratif et didactique.
Ti Nou
Ti Nou

518 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 8 mars 2017
Un biopic académique, avec peu de style, mais qui se centre sur des enjeux forts : à travers l’histoire de Dalton Trumbo, ce n’est pas le récit d’une vie qui est narré, c’est une lutte pour la liberté de pensée et de s’exprimer.
poet75
poet75

280 abonnés 703 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 29 avril 2016
On ne compte pas beaucoup de films tournés, jusqu'à présent, sur une des périodes les plus noires de l'histoire des Etats-Unis, celle qui commence en 1947 à l'initiative du sénateur McCarthy et qui se traduit par une chasse effrénée aux communistes. La guerre froide, qui commence alors, conduit à une psychose s'emparant de tout le territoire américain. Il faut dénicher les communistes, considérées comme des traîtres à la patrie, et les traduire en justice, ce dont se charge la commission des activités antiaméricaines.
Hollywood n'est pas épargné. Dix-neuf noms de "traîtres" figurent bientôt sur une liste noire. Dix d'entre eux refusent de répondre aux questions de la commission et de donner des noms. L'un des dix se nomme Dalton Trumbo et c'est l'un des scénaristes les plus talentueux d'Hollywood. Reconnu coupable, ce dernier doit purger une peine de prison et n'est plus autorisé à signer des scénarios. Il le fera quand même sous des noms d'emprunt et, ironie du sort, se verra doté de plusieurs oscars (que, bien sûr, il ne peut recevoir en mains propres puisqu'il est contraint de travailler sous de faux noms).
Ce biopic retrace donc, de manière talentueuse et très crédible, cette sombre histoire. A cette occasion se dévoilent les comportements mesquins, voire hideux, de quelques célébrités comme John Wayne ou le futur président des USA Ronald Reagan. D'autres, au contraire, fort heureusement, font preuve d'audace et de courage en confiant du travail à Trumbo malgré les interdictions et même, pour finir, en s'efforçant de le réhabiliter. Parmi ces courageux, il faut noter les noms de Kirk Douglas et d'Otto Preminger.
S'il figure parmi les nombreuses victimes de la chasse aux sorcières qui a sévi dans ces années de guerre froide, Dalton Trumbo n'est cependant pas présenté dans ce biopic comme un saint. On a affaire à un homme courageux, à un bourreau de travail, mais aussi à un mari et à un père faisant preuve, par moments, d'une extrême dureté envers ses proches et capable d'un égoïsme peu flatteur. Mais on a également affaire à un homme intelligent, droit et généreux. Quand enfin il est réhabilité et qu'il peut à nouveau signer des scénarios sous son vrai nom, quand enfin on le félicite à visage découvert, ses mots, ses phrases de remerciement n'ont rien d'un discours convenu. Il ne prononce pas une parole de haine, il n'a pas un mot de reproche pour qui que ce soit. Au contraire, il estime que, dans cette affaire, il ne sert à rien de séparer les bons des méchants: "il n'y a que des victimes", dit-il. que des personnes qui ont été abîmées, d'une manière ou d'une autre, par le vent de folie qui s'est emparé des esprits.
Ce film de Jay Roach, magnifié par la formidable prestation de Bryan Cranston dans le rôle-titre, en donne toute la mesure. Il est superbement réalisé et véritablement passionnant, rappelant tout un pan de l'histoire américaine dont il n'est peut-être pas inutile de garder mémoire. 8/10
Laurent C.
Laurent C.

264 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 1 mai 2016
On est loin de cette époque où le fait d'appartenir au parti communiste relevait d'un délit, et donc d'une éventuelle incarcération. En cela, "Dalton Trumbo" est un film salvateur qui relate avec justesse, le parcours du scénariste génial de "Spartacus", contraint de travestir son nom au générique de ses films, de renoncer à l'Oscar et de faire porter ses œuvres par ses enfants auprès de son producteur. Le miracle du film relève de la performance des acteurs. Le dandysme mondain sous-couvert d'un indéniable talent du scénariste est incarné par un acteur convaincu et convaincant. L'acteur Clanston porte le film d'un bout à l'autre, avec un souci du détail, de la parole juste. Tout aussi détestable qu'admirable, Dalton Trumbo évolue dans un milieu totalement désinvolte, où la posture politique, l'appartenance à telle sphère sociale, comptent bien plus que le talent cinématographique. Le spectateur retrouve avec délectation des personnages comme Kirk Douglas dont on a gardé pour mémoire les seuls pectoraux luisants, ou Otto Preminger, qui ont permis, grâce à leur talent au cinéma de survivre à la chasse aux sorcières et à la dictature de la pensée dominante. "Dalton Trumbo" rappelle avec force la fonction même de l'expression artistique à savoir la résistance au totalitarisme de la norme. Si selon Gide la littérature se doit d'être politique, ce film engage à une émancipation véritable de la création, en ces temps où la finance, la rentabilité économique et le lobby des nouvelles technologies règnent en maîtres sur le monde.
Santu2b
Santu2b

259 abonnés 1 797 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 2 mai 2016
Peu nombreuses étaient jusqu'à présent, les oeuvres qui s'intéressaient à la figure de Dalton Trumbo, scenariste important américain, auteur de plusieurs classiques comme "Roman Holiday" ou "Papillon". Condamné par le maccarthysime, il a composé les fameux « Dix de Hollywood », mis sur la liste noire. Le film met bien en valeur le bloc qui se construit face à la minorité communiste, la pression des medias (avec la grinçante Helen Mirren) et le résultat calamiteux sur certains acteurs tels Edward G. Robinson. Mais au-delà de la lutte pour chaque conviction idéologique, "Trumbo" est surtout un film remarquable sur la condition de scénariste, ajoutés à un contexte politique particulier. Au centre de cette entreprise de rehabilitation trone l’immense Bryan Cranston qui n'aurait pas volé son oscar. Sobre et soigné, on peut dire que Jay Roach a réussi son défi. L’auteur de "Austin Powers" ou "Meet the Parents", habitué à des choses plus légères, présente un nouveau visage avec ce morceau d'histoire méconnu, biopic assez classique mais passionnant.
orlandolove
orlandolove

138 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 7 mai 2016
Sublime casting, pour un film qui dose parfaitement humour et émotions. Le script est d'une fluidité exemplaire.
dagrey1
dagrey1

101 abonnés 655 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 3 mai 2016
**"Dalton Trumbo" est un film de Jay roach. Ce film décrit près de 40 ans de lutte anti communiste mise en oeuvre par le gouvernement américain, 2 ans après la deuxième guerre mondiale et "la chasse aux sorcières", qui débouchera sur le Mac Carthysme, organisé à l'encontre de certaines figures du milieu artistique, au nombre desquelles, le scénariste très en vue Dalton Trumbo. Comme 9 de ces coreligionnaires, il fera partie du "groupe des 10" emprisonnés par l'Etat américain pour délit d'opinion. La traversée du désert sera longue pour ces parias qui mettront du temps à retrouver leur dignité et une vie normale...**

"Dalton Trumbo" est un biopic très réussi. Il donne une photographie pleine d'acuité de 30 ans d'histoire américaine sur laquelle les Etats-Unis n'ont pas de quoi être fiers.... Au travers du destin de ce scénariste brillant et reconnu mis au ban, Jay Roach bâtit un film intéressant, bien interprété et émouvant.

Pour sa mise en oeuvre, il s'appuie sur de très bons acteurs: Bryan Cranston excellent dans le rôle principal (Walter White/Heisenberg dans Breaking Bad), Diane lane (son épouse), John Goodman dans le rôle du producteur King ou Helen Mirren odieuse et impitoyable dans le rôle de l'égérie anti-communiste Hedda Topper.

Le film met également en situation sur le plan de l'engagement politique de grands acteurs de l'époque comme John Wayne, Ronald Reagan du coté du manche ou Edward G Robinson....de l'autre coté.
ninilechat
ninilechat

76 abonnés 564 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 mai 2016
Un biopic fort agréable, qui, certes, sur le climat de la chasse aux communistes dans les sombres années du maccarthysme, n'apprendra rien à la génération des Papys, mais peut être beaucoup à la génération actuelle....
Et puis, c'est très bien de nous rappeler qui était le grand scénariste Dalton Trumbo, écrivain aussi et réalisateur de Johnny Got his gun (primé à Cannes).
Un petit côté hagiographique: Trumbo est un mari exemplaire, un père exemplaire et aussi un citoyen américain exemplaire..... à un petit détail près: il fait partie du parti communiste. Tous ces intellectuels américains, plus encore que les français, avaient une vision bien romantique du communisme.... et l'histoire a prouvé que ceux qui s'en méfiaient n'avaient pas complètement tort (sans le savoir d'ailleurs). Ses convictions n'empêchent pas le bon Trumbo, qui est un scénariste très réputé, de vivre comme un grand bourgeois (magnifique demeure avec étang privé sur les hauteurs de Hollywood...) par contre il n'hésite pas à s'engager auprès des techniciens qui se mettent en grève pour obtenir une revalorisation de salaire. Une version bien soft du communisme.... Mais en 1947, avec la guerre froide, l'anticommunisme se déchaîne derrière la Commission des Activités antiaméricaines. Cela, bien que le PC ne soit pas interdit. Convoqués devant la Commission, Trumbo et un certains nombre de ses amis de gauche vont finasser avec les juges -ce qui leur vaut un an de prison pour outrage au Congrès.
Derrière John Wayne (David James Elliott), anticommuniste hystérique, la plupart du petit monde de Hollywood fait profil bas. Certains, comme Edward G. Robinson (Michael Stuhlbarg), qui a été sympathisant, et même financier de ses amis de gauche, tournent lamentablement casaque....
Après, les "Hollywood tens", les dix de la liste noire n'ont plus de travail. Personne n'a le droit de les embaucher. Tout le monde leur tourne le dos. Le film nous raconte la lente remontée de Trumbo qui garde toujours une volonté et un dynamisme d'enfer, scénarise à tour de bras sous des faux noms et pour des réalisateurs miteux comme Frank King, encore une incarnation géniale de John Goodman (n'a t-il pas encore grossi depuis Cloverfield Lane???), obtenant même un, puis deux Oscars clandestins..... jusqu'à ce que des figures de Hollywood un peu plus courageuses, ou un peu plus sures d'elles mêmes comme Kirk Douglas (Dean O'Gorman) pour Spartakus, puis Otto Preminger (Christian Berkel) pour Exodus, décident de faire réapparaître son nom, son vrai nom, au générique...
Dans l'ensemble, les acteurs choisis pour incarner tous ces grands disparus sont plutôt convaincants. Une mention spéciale pour Helen Mirren, qui interprète de façon irrésistible l'épouvantable columnist Hedda Hopper, peste maccarthiste qui faisait régner la terreur. Helen arrive à être toujours aussi jolie sous ses invraisemblables chapeaux fleuris.....
Bryan Cranston est un Trumbo très convaincant, même lorsqu'on le voit travailler dans sa baignoire (cf photos de Trumbo!!), et Diane Lane interprète joliment cette épouse un peu trop idéale, il faut bien le dire.... toujours souriante, jamais découragée.... A part ce petit côté hagiographique un peu excessif, le film déroule fidèlement le récit d'une période pas très glorieuse de l'Amérique. A voir pour tous ceux qui connaissent bien cette époque, et surtout pour ceux qui ne la connaissent pas!
matt240490
matt240490

87 abonnés 1 063 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 6 juin 2016
Dalton Trumbo fut l'un des scénaristes américains les plus prolifiques, enchaînant les scripts avec une fougue et une énergie folle. Mais, a priori mêlé au parti communiste en période de Guerre Froide, il se voit banni et rejeté de tous, le conduisant à travailler dans l'ombre. Le biopic de Jay Roach, forcément nominé aux Oscars vu la portée à la fois cinématographique et politique qu'il dégage, relate ces faits. Et, pour incarner ce héros contemporain, Roach porte son dévolu sur Bryan Cranston, l'un des pontes du petit écran, voulant désormais marquer les esprits sur le grand. Et pour cause, son incroyable prestance lui vaut une nomination à l'Oscar du meilleur acteur (qu'il perdra au profit de DiCaprio pour The Revenant). Si l'on ajoute sa petite touche indépendante, l'approche quelque peu comique (John Goodman merveilleux), la fidélité historique, bingo ! Superbe métrage, succès au rendez-vous, strass et paillettes... La suite, on la connaît.
jeff21
jeff21

68 abonnés 296 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 7 mai 2016
Et bien voici un film qui réhabilite les victimes communistes persécutés aux États-Unis durant la guerre froide. Focus sur cette chasse aux sorcières aux USA. Beau film qui met en scène le destin hollywoodien de ce grand scénariste Dalton Trumbo au talent aujourd'hui reconnu. A voir absolument.
Stéphane C
Stéphane C

65 abonnés 389 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 9 mai 2016
Ce biopic est une reconstitution passionnante de l'Amérique d'après-guerre rongée par le maccarthysme ...
In Ciné Veritas
In Ciné Veritas

95 abonnés 922 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 17 mai 2016
Retracer la vie du célèbre scénariste Dalton Trumbo entre 1947 et 1970, telle était l’ambition de ce biopic. Malheureusement, le film est très conventionnel à l’image de la mise en scène classique et sans éclat. Les quelques effets tentés sont inefficaces ( spoiler: mélange de vraies et de fausses images d'archives TV en noir et blanc basculant en couleurs sans transition…
) et même ridicules ( spoiler: reflet sur les verres des lunettes de Dalton Trumbo des identités du réalisateur et du scénariste de Spartacus
). Les interprétations fournies par le casting sont bonnes mais également sans éclat.
Décevant sur la forme, le film l’est également sur le fond. Jay Roach tente en deux heures d’aborder tous les aspects du maccarthysme sans en approfondir aucun et sans amorcer la moindre réflexion. Traitement plat et lisse ( spoiler: les quelques attaques envers John Wayne et Ronald Reagan notamment ne font pas illusion longtemps
) qui ne retranscrit en rien les réelles souffrances vécues par les blacklistés et leurs proches. spoiler: Celles-ci nous seront in extremis rappelées par le discours final de Dalton Trumbo en 1970 et par les cartons accompagnant le générique de fin…

Biopic beaucoup trop académique qui échoue à transcender son sujet pourtant passionnant. Un sujet radical dont un traitement du même acabit s’imposait, malheureusement Jay Roach a suivi des sentiers maintes fois empruntés sans pour autant éviter un certain manichéisme. Au bout de son parcours, il obtient un biopic sans âme, superficiel et insipide constellé de clichés ( spoiler: définition du communisme / partage d’un sandwich, scènes familiales, etc.
).
brunocinoche
brunocinoche

98 abonnés 1 111 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 18 septembre 2016
Bon biopic sur Dalton Trumbo, brillamment interprété par Bryan Cranston. Le film a le mérite de rappeler le comportement lamentable de John Wayne et celui plus courageux de Kirk Douglas. La forme est certes classique, comme dans beaucoup de biopics, mais le mélange des images d'archives avec celles du tournage actuel est plutôt réussi. Epoque à ne pas oublier, scénariste à ne pas oublier (on lui doit de sacrées réussites), ce biopic atteint honnêtement son but.
kevinsolstice
kevinsolstice

62 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 20 avril 2017
le film déroule fidèlement le récit d'une période pas très glorieuse de l'Amérique. A voir pour tous ceux qui connaissent bien cette époque, et surtout pour ceux qui ne la connaissent pas!
mem94mem
mem94mem

122 abonnés 577 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 30 avril 2016
Un film sur l'un des touts meilleurs scénaristes d'Hollywood se devait d'avoir un scénario à la hauteur, c'est le cas. Ce qui m'a frappé, c'est l'excellence des dialogues, elle rappelle celle de "The Social Network". C'est savoureux, et c'est rare. Je découvre ici Bryan Cranston, qui porte son jeu au niveau des meilleurs, au niveau d'Helen Mirren par exemple. Le thème du film n'est pas vraiment excitant, c'est le Cinéma, avec un C majuscule, qui se regarde dans le miroir. J'invite cependant tout spectateur à aller voir le film, au-delà de cela, pour les scènes dialoguées. Le film est assez jubilatoire.
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