Dalton Trumbo
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Pascal I
Pascal I

785 abonnés 4 147 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 5 mai 2016
Agréable découverte de cette page de l'histoire américaine. Film un peu long et quelques fois répétitif. Reste l'absurdité de l'intolérance des idées quand elles ne sont pas subversives. Une paranoïa orchestrée politiquement et artistiquement réellement étonnante.
Confirmation que Bryan Cranston est un excellent acteur en passant. A découvrir ! 3.5/5 !!!
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 9 décembre 2015
Bryan Cranston joue très bien, un personnage idéaliste et attachant. Une histoire vraie dont je n'avais aucune connaissance, et qui raisonne particulièrement en cette époque où on nous parle de fichier S, et où on s'invente de nouveaux super vilains, ennemis absolus de la nation en danger. Pas mal du tout...
Dik ap Prale
Dik ap Prale

222 abonnés 2 881 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 11 mai 2016
Léger et profond, on suit avec passion et éclats cette période noire du cinéma hollywoodien politisé jusqu'à la censure. Un biopic qui ne s’égare pas et ce par un maître de la digression, Jay Roach.
PaulGe G
PaulGe G

114 abonnés 607 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 16 juin 2016
quand Hollywood s'attaque a ces vieux démons, cela donne une oeuvre forte, intelligente superbement interprétée, une maitraise de caméra, un montage strict et une musique discrète , ce que la bêtise a pu faire de malheur aux USA a cette époque est montré avec une justesse impitoyable . c'est du très très bon cinéma comme savent en faire les américains . bravo !
peter W.
peter W.

45 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 4 juillet 2017
Un biopic classique avec une première partie pataude presque ratée heureusement la seconde est plus dynamique et plus intéressante. Ca reste assez caricatural des productions commerciales hollywoodiennes tout de même. Je met trois étoiles pour les infos que le film distille.
Elthib7
Elthib7

76 abonnés 1 287 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 22 février 2016
L'histoire est sympa mais le film en lui même un peu mou et long même si le jeu d'acteur de Bryan Cranston est toujours convaincant. Globalement je n'ai ni vraiment aimé ni vraiment détesté, ça se laisse regarder mais sans plus... La moyenne 2,5/5
Caine78
Caine78

6 881 abonnés 7 399 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 20 août 2016
Quand on est cinéphile, apprendre qu'un tel projet a pu avoir vu le jour aujourd'hui est une grande satisfaction, surtout lorsque le résultat est à la hauteur. Car il a beau être au fond très classique, « Dalton Trumbo » n'en reste pas moins un biopic exemplaire. Au-delà de saisir avec beaucoup d'authenticité cette terrible période que fût le maccarthysme, Jay Roach parvient à retracer le parcours de ce scénariste (et homme) exceptionnel sans jamais être pesant, le film s'avérant même étonnamment dynamique et un minimum instructif, quand bien même vous seriez un tant soit peu au courant des événements. Et puis, surtout si on est cinéphile, j'imagine, il y a une profonde émotion à découvrir la genèse de quelques grands titres ayant marqué le cinéma : à ce propos, sans être la plus palpitante, toute la partie concernant « Spartacus » (que le hasard a voulu que je revois deux jours auparavant!) est particulièrement éclairante, tout comme les scènes évoquant « Vacances romaines » et surtout « Quand les tambours s'arrêteront », non sans conséquences politiques. Seuls (petits) regrets : ne quasiment pas émettre la moindre réserve sur la personnalité complexe de Trumbo, ainsi que quelques figures pas franchement ressemblantes aux originales (celle de John Wayne, notamment!), mais pour le reste, on est presque surpris par l'incroyable vitalité du film (toutes les scènes dans les bureaux des frères King avec un John Goodman en très grande forme sont délectables), d'autant que si tous les seconds rôles sont impeccables (dont une merveilleuse Diane Lane), Bryan Cranston est magistral et sa victoire aux Oscars face à Leonardo DiCaprio n'aurait en aucun cas été un scandale... Belle réussite.
ffred
ffred

1 748 abonnés 4 031 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 4 mai 2016
Difficile d'imaginer Jay Roach autrement qu'à la tête de comédies inénarrables telles que les Austin Powers, les Mon beau-père ou encore Moi, Député. Et pourtant, c'est bien lui qui est le mettre d'oeuvre de ce Dalton Trumbo. Voilà un film à la mise en scène élégante et qui a une certaine classe. Beaucoup moins classique et académique qu'elle n'en a l'air. Sur la forme, c'est vraiment très bien fait. Une direction artistique où rien n'a été négligé. Décors, costumes, photo, musique, tout est superbe. Sur le fond, voilà une belle dénonciation des méfaits du maccarthysme, période peu glorieuse de l'Histoire de l'Amérique, et les dommages qu'elle a causés sur une partie du milieu hollywoodien. C'est bien écrit et parfaitement dialogué. Personnellement, je ne connaissais Trumbo qu'au travers de son terrible film Johnny s'en va en guerre (Palme d'or Cannes 1971). C'est avec un intérêt certain que l'on découvre donc l'histoire de cet homme, la conception de nombreux films cultes, et la participation, plus ou moins reluisante, de vedettes de l'époque à cette chasse aux sorcières. Le casting est de choix (et pour beaucoup dans la réussite du film). A sa tête, l'épatant Bryan Cranston (Breaking Bad), nommé aux derniers Oscar, est absolument parfait. Il est bien secondé par une pléiade de seconds rôles tous convaincants : Diane Lane, Helen Mirren, John Goodman, Louis C.K., Elle Fanning, Michael Stuhlbarg... Au final, un vrai plaisir pour un très beau film, terrible et passionnant, chargé d'Histoire et d'émotion, qui devrait particulièrement plaire aux cinéphiles, tout en intéressant aussi un plus large public. Une belle et étonnante réussite de la part de Jay Roach.
Jorik V
Jorik V

1 290 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 4 mai 2016
Un certain monsieur nommé Alfred Hitchcock disait qu’un bon film était avant tout une bonne histoire. Et il ne se trompait pas. « Dalton Trumbo » bénéficie d’un scénario fort, qui plus est calqué sur la réalité, à laquelle s’ajoute un personnage principal hautement cinématographique et truculent. Durant deux heures on se passionne pour cette page méconnue mais hautement significative de l’histoire d’Hollywood où justement le contexte politique de l’époque (la Guerre froide et la peur des communistes) a fortement influé sur l’industrie du septième art.
Pour qui s’intéresse quelque peu à l’histoire du cinéma tout comme à l’Histoire et au cinéma, surtout pour cette période iconique que sont les fifties, c’est passionnant de bout en bout. Mais pour les autres aussi tant la narration est fluide et claire et nous permet d’appréhender et de comprendre ce qui a gangréné le Hollywood de l’époque bien avant le maccarthysme. Le film regorge d’anecdotes croustillantes et jubilatoires et fait intervenir des stars de l’époque comme Kirk Douglas ou John Wayne. On se délecte de chaque scène, d’une reconstitution au poil et de dialogues instructifs, incisifs et travaillés. Le tout est rythmé et pas une scène n’est en trop ; à l’inverse rien ne semble manquer qui pourrait nuire à l’intérêt qu’on lui porte.
Bryan Cranston que l’on savait déjà grand acteur par la série « Breaking Bad » trouve là le rôle à sa mesure, certainement le rôle d’une vie même. Il n’en fait jamais trop et chaque nuance de son jeu sonne vrai. Il est tout bonnement parfait. Quant au fait de voir Helen Mirren en garce et reine des potins de l’époque, c’est un contre-emploi jubilatoire. La mise en scène est peut-être un peu trop fonctionnelle et ne fait qu’habiller le sujet, plus proche d’un téléfilm de luxe que d’un film de cinéma, mais cela n’entache en rien le plaisir procuré par « Dalton Trumbo ». Le long-métrage permet de se remémorer une page occultée de l’histoire du cinéma. C’est classique mais diablement efficace, du cinéma dans lequel on rentre comme dans des chaussons. Passionnant, divertissant, instructif, voilà un film nécessaire qui ne prend jamais ses spectateurs pour des idiots.
velocio
velocio

1 336 abonnés 3 174 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 6 mai 2016
Les bios au cinéma, ça peut donner de bons films, ça peut donner des films exécrables. "Dalton Trumbo" fait partie de la première catégorie et on se félicite que soit ainsi raconté un épisode d'histoire, en gros le maccarthysme, qui ne fait pas particulièrement honneur aux Etats-Unis ! Grand scénariste, Dalton Trumbo a fait partie des 10 d'Hollywood, ces producteurs, scénaristes ou réalisateurs de cinéma qui furent convoqués en 1947 par la Commission sur les activités antiaméricaines en étant accusés d'être, excusez du peu, membres du Parti communiste. Refusant de répondre aux questions du tribunal, Trumbo le paya d'un séjour en prison durant près d'un an et de l'interdiction de pratiquer son métier durant 13 longues années de 1947 à 1960. Cela ne l'empêcha pas d'écrire un nombre incalculable de scénarios sous divers noms d'emprunt. Durant ces 13 années, deux de ses scénarios se virent même décernés l'oscar du meilleur scénario : "Vacances romaines" en 1954 et "Les clameurs se sont tues" en 1957. Ce n'est qu'en 1960 qu'Otto Preminger et Kirk Douglas eurent le courage de mettre son vrai nom aux génériques d'"Exodus" et de "Spartacus" : deux titres qui se terminent par US, ce qui est un clin d'œil malicieux puisque Trumbo n'a cessé de dire qu'il aimait son pays et qu'il voulait simplement qu'il soit encore meilleur. On notera que Arlen Hird, personnage important du film, n'a jamais existé : c'est un mix de 5 scénaristes faisant partie des 10 d'Hollywood, Samuel Ornitz, Alvah Bessie, Albert Maltz, Lester Cole et John Howard Lawson. Bryan Cranston est remarquable dans le rôle de Trumbo et, autour de lui, on remarque surtout Diane Lane (Cleo, la femme de Dalton), Helen Mirren (fabuleuse dans le rôle de Hedda Hopper, une chroniqueuse et échotière de la pire eau qui soit) et John Goodman dans le rôle de Frank King, producteur de beaucoup de navets et de quelques pépites, producteur courageux qui permit à Trumbo de continuer à travailler sous ces fameux noms d'emprunt. A noter que Nikola Trumbo, la fille aînée de Dalton, a travaillé comme consultante sur le film, dont le scénario de John McNamara est l'adaptation de la biographie de Dalton Trumbo écrite en 1977 par Bruce Cook.
Benito G
Benito G

685 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 18 février 2016
A l'heure ou plus ou moins la moitié des Démocrates américains se disent ouvertement "socialistes" (derrière Bernie Sanders), on jette un tout autre regard sur ce diable de petit film absolument brillant. Car non seulement il nous fait passer derrière le rideau du monde ingrat et friqué d'Hollywood, en disant bien plus à ce sujet que bien d'autres oeuvres concentrées sur le thème, mais c'est une oeuvre politique passionnante. Si aujourd'hui nombre d'américains se disent "socialistes", mais aurait on oublier la fameuse chasse aux sorcières??En entrainant certains dans leurs retranchements. Une autre époque me direz-vous ? Age d'or de l'après-guerre où il était de bon ton d'être riche puisque la pauvreté hantait encore certaines villes à plus ou moins haute échelle. Trumbo est pourtant un film d'actualité à bien des niveaux : une oeuvre éprise de liberté, prônant la défense des idées, des droits, de la diversité, de la différence envers l'establishment. Remplacé dans le scénario les mots "communistes" par "musulmans", "noirs", "juif", "étrangers", "homosexuels", en j'en passe, et vous comprendrez que l'histoire se répète inlassablement... D'ailleurs l'un des personnages lance cette phrase, ici en parlant du communisme, lourde de sens : "Une cause vague qui effraie tout le monde". Les coco étaient alors vu comme des personnes venant redistribuer les richesses de la haute bourgeoisie américaine, leur faire perdre leur précieux privilèges, privilèges qu'ils ne partageait pour rien au monde (Cf. les grèves).
Alors l'establishment hollywoodien va mettre tout en oeuvre pour écraser cette "cause" : coup bas, rejets violents, pressions, procès devant les tribunaux, (liberté d'expression)... Ce film peut également être vu d'un autre point de vue : d'accord ou pas avec les idées de Mr Trumbo, il enjoint les gens à faire la différence entre l'homme public et l'artiste. Et Trumbo est l'histoire d'un génie scénaristique qui a marqué le 7ème art de son empreinte. Et son histoire est celle de milliers de gens, moins célèbres, qui ont tout perdu durant cette période honteuse -encore une !- de l'histoire du Nouveau Monde. Si on sent que Roach fait montre de possibilités, il est encore loin d'être un grand metteur en scène ; à la différence de B. Cranston qui explose à l'écran avec une interprétation fascinante et il en va de même pour ses confrères. Un film ou il faut ne pas lacher prise mais qui risque de faire parler de lui. Pour ma part, c'est fait.
Hastur64
Hastur64

230 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 27 août 2017
Dalton Trumbo est un nom qui en France (même aux USA cela dit) ne dira pas grand-chose et pour cause, d’abord il était scénariste (les parents pauvres de la création cinématographique dans le monde et aux USA en particulier) et en plus il est mort à la fin des années 70. Je le connaissais, pour ma part, parce que j’avais lu son roman « Johnny got a gun », que je considère comme un pur chef-d’œuvre. J’étais donc curieux de connaitre la vie de l’auteur d’un de mes romans préférés (si ce n’est mon roman préféré). Comme le film le raconte, je savais qu’il avait fait partie de la liste noire de ceux accusés d’être communistes et par là même interdit de travailler dans l’industrie du cinéma. Le film raconte avec beaucoup d’énergie et de verve comment il va habilement contourner cette interdiction jusqu’à produire deux scénarios qui remporteront chacun un Oscar à la barbe de la commission chargée de contrôler la création et empêcher ainsi l’emploi de communistes ou de sympathisants communistes. On y découvre un personnage engagé, roublard et entêté qui emploie sa famille entière pour contourner les lois qui l’empêchent de travailler. Bryan Cranston joue avec brio, comme d’habitude, un Trumbo enthousiasmant qui traversa le maccarthysme et réussit à reconquérir sa place dans la création cinématographique sans jamais renoncer à sa liberté et souvent avec panache. Un biopic sur un homme courage et talentueux, mais aussi sur une période qui nous rappelle que parfois l’hystérie sécuritaire ou/et nationaliste peut entrainer un affaiblissement des valeurs contenues dans la Déclaration des Droits de l’Homme et que parfois il est nécessaire de se battre pour les conserver. Un film passionnant sur un homme et une période passionnante de l’histoire américaine. A voir absolument.
LeFilCine
LeFilCine

184 abonnés 582 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 25 mai 2016
Dalton Trumbo, voilà un nom qui ne nous dit pas grand-chose au premier abord. Ce personnage emblématique de l'Histoire américaine et plus précisément de l'Histoire du cinéma américain a été au cœur d'évènements qui l'ont largement dépassé. Juste après la fin de la seconde guerre mondiale, ce communiste convaincu s'est retrouvé totalement mis à l'écart par une société résolument antibolchévique, c’était le fameux maccarthysme. Malgré son génie de scénariste à succès (deux Oscars) il a été mis sur une liste noire (la liste des « 10 d'Hollywood ») et a dû trouver bien des stratagèmes pour continuer à travailler. A partir de cette histoire, le réalisateur Jay Roach nous propose un biopic très classique. Rien d'exceptionnel donc dans la forme, le cinéma hollywoodien maitrisant à la perfection les codes de ce genre ces derniers temps. C'est sur le fond que le film est passionnant, les américains prouvant une nouvelle fois leur capacité d'auto critique et d'analyse historico-politique a posteriori. Il faut tout de même un Bryan Cranston bien haut perché pour rendre toute la gouaille atypique de ce Dalton Trumbo. Côté casting féminin, il est aussi à signaler les prestations remarquables d'Helen Mirren et de Elle Fanning. Et on retrouve aussi avec plaisir l'hilarant John Goodman dans un rôle taillé à sa mesure, proche d'ailleurs de celui qu'il incarnait dans The Artist. Le film fourmille de petites informations sur les grands studios, la construction des films, les réalisateurs, le rôle des stars : c'est une immersion assez réjouissante dans l’usine à rêves qu’était Hollywood.
CH1218
CH1218

215 abonnés 2 926 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 14 juillet 2018
Dalton Trumbo fut l’un des «Dix de Hollywood», tous victimes de la chasse aux «Rouges» dans laquelle les Étasuniens se sont engouffrés dès la fin des années 40. Fort bien documenté mais un brin scolaire dans sa construction en dépit de quelques belles idées (les pseudos images d’archives, le reflet du nom de l’auteur du scénario dans le verre de ses lunettes lors de la première de «Spartacus»), Jay Roach réalise néanmoins un éminent biopic, divisé en deux parties et soutenu par une BO aux jolies tonalités jazzy. Un film qui n’est pas tendre avec la paranoïa, ni avec la politique maccartisme de l’époque et qui épingle au passage aussi bien John Wayne que Edward G. Robinson tout en valorisant le rôle joué par Kirk Douglas et Otto Preminger dans la réhabilitation d’un immense scénariste. Dans le rôle-titre, Bryan Cranston remporte tous les suffrages mais il ne faut pas oublier non plus, au sein d’une distribution accomplie, les excellentes performances de Diane Lane, d’Helen Mirren, de Louis C.K (que j’ai découvert ici) et d’un John Goodman en grand forme.
yohanaltec
yohanaltec

100 abonnés 767 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 10 mai 2016
Trumbo est une quasi-réussite, notemment grâce à son excellent scénario qui mèle la politique et le cinéma, et également grâce à une belle performance d'acteurs, en particulier Bryan Cranston (extraordinaire en Walter White, et cette fois ci en ce scénariste finalement peu connu) qui est excellent.
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