Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
Sobrement interprété par la sublime Golshifteh Farahani (« le Passé ») et le rustique Korkmaz Arslan, ce film d'action âpre, dont l'humour adoucit les situations les plus dramatiques, possède le souffle des meilleurs westerns spaghettis.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Elle
par Anne Diatkine
Même si on ne comprend pas tout, on se laisse emporter par tant de beauté : la splendeur de l'actrice, comme celle des paysages.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"My Sweet Pepper Land" est un western kurde qui, dans des paysages magnifiques, fait la part belle aux clins d' oeil (à Sergio Leone, notamment) et aux beaux yeux de Golshifteh Farahani.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Hiner Saleem s’empare des codes du film de genre sans sombrer dans un pur exercice de pastiche. Il livre un film fort qui, derrière ses moments jouissifs de pur spectacle, gros plans et règlements de comptes, livre une réflexion féroce sur ces incorrigibles humains, aveuglément soumis à leurs contradictions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Même si le film trébuche parfois sur des détails, c'est un cheval qui a de l'allant, éperonné par deux cavaliers qui ont de l'allure.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Esthétiquement, politiquement, on adhère à "My Sweet Pepper Land" tout en regrettant un manque de surprises, un déroulement légèrement prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
"My Sweet Pepperland" s’amuse de toutes les conventions, de tous les clichés, les contournant et se les appropriant, revisitant l’éternel mythe de la naissance d’une nation au cœur d’un territoire secret, ignoré ou presque par le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Dans "My Sweet Pepper Land", l'Iranienne nommée, au César du meilleur espoir féminin retrouve le réalisateur qui l'a fait débuter en France. Pour un western moderne et kafkaïen.
Positif
par Vincent Thabourey
L'originalité de "My Sweet Pepper Land" réside dans son inscription territoriale et dans le jeu avec les stéréotypes qui se défient des clichés folkloriques. L'absurdité de monde est compensée par la majesté des décors naturels. On se promène dans cette fable progressiste le coeur léger.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Mathilde Blottière
La griffe tragi-comique du cinéaste a le don de gratter là où ça fait mal : sous la stylisation perce la détresse d'une jeunesse asphyxiée par la famille et la société. Et puis, il y a... l'actrice iranienne Golshifteh Farahani, bannie par les mollahs, vibrante dans ce rôle d'insoumise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Entre rires et larmes, le réalisateur kurde Hiner Saleem offre surtout un pur moment de grâce.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Julien Munoz
Un état des lieux informatif de la société kurde qui contourne la monotonie du film social par l’inclusion des codes du western.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) gentiment téléphoné et carrément Far West, "My Sweet Pepper Land" est l'occasion pour Saleem de pointer la corruption et l'injustice mais aussi d'exprimer l'affection et les espoirs que lui inspire son pays (...) où désormais il est libre de tourner ainsi que de montrer ses films avec la belle actrice et musicenne iranienne Golshifteh Farahani.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Luciani
Mi-western, mi-romance sur fond de réalisme social, "My sweet pepper land" sait tirer de ce mélange des genres une ambiance singulière, mais semble ne pas bien savoir quoi faire de son histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
Romance sur fond de western aux inflexions spaghetti, “My Sweet Pepper Land” évoque, en mode loufoque, les problèmes d'un État en construction.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Arnaud Hée
La séduction initiale est déçue par l’enfilade de situations convenues sagement ancrées au rail scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Isabelle Danel
Cette fiction fait passer plus de réel qu'il n'y paraît. Mais en stylisant et en jouant sur des humours différents [...] Hiner Saleem noie le poisson et le mélange ne prend pas.
TF1 News
par Romain Le Vern
Cinéaste imprévisible qui aime à varier les genres et à tourner dans des pays différents, Hiner Saleem ne trouve jamais le ton adéquat avec ce western très inégal, qui démarre très fort et finit très faible. Pourtant, même lorsque le film patine, subsiste un vrai trésor : la sublime Golshifteh Farahani.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Parisien
Sobrement interprété par la sublime Golshifteh Farahani (« le Passé ») et le rustique Korkmaz Arslan, ce film d'action âpre, dont l'humour adoucit les situations les plus dramatiques, possède le souffle des meilleurs westerns spaghettis.
Elle
Même si on ne comprend pas tout, on se laisse emporter par tant de beauté : la splendeur de l'actrice, comme celle des paysages.
L'Obs
"My Sweet Pepper Land" est un western kurde qui, dans des paysages magnifiques, fait la part belle aux clins d' oeil (à Sergio Leone, notamment) et aux beaux yeux de Golshifteh Farahani.
La Croix
Hiner Saleem s’empare des codes du film de genre sans sombrer dans un pur exercice de pastiche. Il livre un film fort qui, derrière ses moments jouissifs de pur spectacle, gros plans et règlements de comptes, livre une réflexion féroce sur ces incorrigibles humains, aveuglément soumis à leurs contradictions.
Le Figaroscope
Même si le film trébuche parfois sur des détails, c'est un cheval qui a de l'allant, éperonné par deux cavaliers qui ont de l'allure.
Les Inrockuptibles
Esthétiquement, politiquement, on adhère à "My Sweet Pepper Land" tout en regrettant un manque de surprises, un déroulement légèrement prévisible.
Libération
"My Sweet Pepperland" s’amuse de toutes les conventions, de tous les clichés, les contournant et se les appropriant, revisitant l’éternel mythe de la naissance d’une nation au cœur d’un territoire secret, ignoré ou presque par le cinéma.
Paris Match
Dans "My Sweet Pepper Land", l'Iranienne nommée, au César du meilleur espoir féminin retrouve le réalisateur qui l'a fait débuter en France. Pour un western moderne et kafkaïen.
Positif
L'originalité de "My Sweet Pepper Land" réside dans son inscription territoriale et dans le jeu avec les stéréotypes qui se défient des clichés folkloriques. L'absurdité de monde est compensée par la majesté des décors naturels. On se promène dans cette fable progressiste le coeur léger.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
La griffe tragi-comique du cinéaste a le don de gratter là où ça fait mal : sous la stylisation perce la détresse d'une jeunesse asphyxiée par la famille et la société. Et puis, il y a... l'actrice iranienne Golshifteh Farahani, bannie par les mollahs, vibrante dans ce rôle d'insoumise.
aVoir-aLire.com
Entre rires et larmes, le réalisateur kurde Hiner Saleem offre surtout un pur moment de grâce.
CinemaTeaser
Un état des lieux informatif de la société kurde qui contourne la monotonie du film social par l’inclusion des codes du western.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
(...) gentiment téléphoné et carrément Far West, "My Sweet Pepper Land" est l'occasion pour Saleem de pointer la corruption et l'injustice mais aussi d'exprimer l'affection et les espoirs que lui inspire son pays (...) où désormais il est libre de tourner ainsi que de montrer ses films avec la belle actrice et musicenne iranienne Golshifteh Farahani.
Le Monde
Mi-western, mi-romance sur fond de réalisme social, "My sweet pepper land" sait tirer de ce mélange des genres une ambiance singulière, mais semble ne pas bien savoir quoi faire de son histoire.
Les Fiches du Cinéma
Romance sur fond de western aux inflexions spaghetti, “My Sweet Pepper Land” évoque, en mode loufoque, les problèmes d'un État en construction.
Critikat.com
La séduction initiale est déçue par l’enfilade de situations convenues sagement ancrées au rail scénaristique.
Première
Cette fiction fait passer plus de réel qu'il n'y paraît. Mais en stylisant et en jouant sur des humours différents [...] Hiner Saleem noie le poisson et le mélange ne prend pas.
TF1 News
Cinéaste imprévisible qui aime à varier les genres et à tourner dans des pays différents, Hiner Saleem ne trouve jamais le ton adéquat avec ce western très inégal, qui démarre très fort et finit très faible. Pourtant, même lorsque le film patine, subsiste un vrai trésor : la sublime Golshifteh Farahani.