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    Bodybuilder
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    126 critiques spectateurs

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    jerome d
    jerome d

    14 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 avril 2015
    Un documentaire sur les salles de muscu auraient ete suffisant ici !!! Coté scenario, on tape tres bas !!! Meme moi, j'aurais pu pondre une telle chose !! Aucunes surprises, aucunes originalité, tout est previsible !
    On bon documentaire ... les mecs sont bien batis. L'esprit bodybuilding est bein ressenti cependant.
    Le dvd trainera surement,peut etre , sur les etageres des membres de salles de muscu, mais pour les autres..... Vite vu, vite oublié, comme la plupart des films francais au scenarios archi recyclé !!!
    BeatJunky
    BeatJunky

    148 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2015
    Bonne surprise, bravo à Roschdy Zem de nous avoir pondu un film qui sort de l'ordinaire. Il vaut d'ailleurs le coup d'oeil rien que pour cette originalité. Pas évident de sortir une histoire qui tienne la route, et qui soit en plus intéressante avec un tel cadre: le BodyBuilding. Je me suis décidé à le voir uniquement parce que c'était Zem le metteur en scène, pas pour son pitch. Et je ne regrette pas une seconde parce que la mise en scène est justement niquel, et l'interprétation, des premiers aux seconds rôles est excellente. Vincent Rottiers, qu'on voit pas si souvent est très convaincant et Yolin François Gauvin, acteur Non Pro ,s'en tire vraiment bien également. Ces deux-là rendent l'histoire attachante voire presque émouvante! Un très bon film français qui n'aura pas fait grand bruit mais qui mérite d'être vu.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2015
    Roschdy Zem comédien à la filmographie assez impressionnante (67 films en 28 ans de carrière) a toujours montré une vivifiante rigueur intellectuelle dans ses choix artistiques. Le Roschdy Zem réalisateur (3 films à son actif) s'inscrit dans la même démarche, prônant le rapprochement entre les hommes au-delà du fossé creusé par les différences. Son cinéma engagé sans être militant puise ses sources dans celui d'un Ken Loach ou d'un Lucas Belvaux. Le culturisme source autant de fascination que de moquerie demeure un univers méconnu, porteur de tous les fantasmes et de toutes les suspicions. En ces temps où tous les sports exhibent leurs stars aux revenus mirobolants, le culturisme pris dans ses contradictions reste comme enfermé dans un ghetto. Seul Arnold Schwarzenegger a réussi à se hisser par son sport au firmament de la gloire devenant pour toujours l'unique totem de tous ceux qui rêvent de sommets en soulevant de la fonte dans ces salles où les miroirs sont aussi nombreux que les engins de tortures destinés à façonner les corps selon les critères esthétiques de ce sport si particulier et si exigeant. Zem ne s'y est pas trompé qui entame son film avec une interview de Schwarzenegger quand il était encore Monsieur Univers. Vincent Morel (François Gauvin Yolin) qui a découvert le culturisme sur le tard avec une réussite exemplaire s'est dévoué corps et âme à cette passion exclusive et dévorante qui forcément l'a coupé de sa vie d'avant avec sa femme et ses deux fils abandonnés depuis près de vingt ans. Quand son fils cadet Antoine (Vincent Rottiers) petit délinquant de banlieue en fuite de ses créanciers débarque chez lui, c'est tout son passé et ses manques qui remontent à la surface alors que devant lutter contre un corps vieillissant, il aborde dans la douleur la préparation d'un championnat. C'est tout l'enjeu du film de Zem que de montrer comment le narcissisme du colosse va se lézarder sous les coups de boutoir conjugués de l'âge et d'un fils réclamant sa part d'amour à un père qui l'a laissé sans armes pour affronter la vie. Scrutant sans concession mais avec bienveillance les rites d'un sport (vie monacale, surenchère entre pratiquants, produits dopants) qui laisse à la marge tous ceux qui entourent l'athlète (prestation remarquable de Marina Fois en compagne compréhensive mais lucide de Vincent), Zem ne juge jamais, se contentant d'observer intrigué cette souffrance dûment acceptée pour atteindre une perfection du corps sans doute destinée à masquer une difficulté à s'accepter, communiquer et partager. Sans beaucoup de mots les deux hommes vont apprendre à se connaître, Vincent offrant par sa rigueur comportementale un modèle à un Antoine s'étant construit sur la débrouille et le mensonge. La marginalité des deux hommes va les amener à se comprendre en franchissant chacun une nouvelle étape de sa vie. P spoiler: our Vincent la distraction de son objectif par les frasques de son fils ne lui permettra pas de remporter ce championnat de la revanche, signe pour lui qu'il est temps de raccrocher. Antoine quant à lui comprendra que mentir aux autres s'est se mentir à soi-même
    . Toujours pudique et jamais dans le démonstratif, Zem dépeint parfaitement les cheminements mentaux qui s'opèrent, montrant qu'aucune situation n'est jamais définitivement figée, les choses et les caractères étant évolutifs. Les acteurs sont remarquablement dirigés avec une mention spéciale pour François Gauvin Yolin dont la prestation en tout point remarquable de sobriété et de véracité rappelle toute proportion gardée l'éclosion d'un ancien lutteur professionnel dans les années 1950 devenu un des plus grands acteurs du cinéma français. On frémit à l'idée qu'Antoine De Caunes était prévu initialement pour jouer le rôle de Vincent. autant demander à Marthe Villalonga d'interpréter un biopic sur Marylin Monroe. Son film étant un des rares sur le sujet et toujours en hommage à l'icône du culturisme, Zem n'a pas résisté au plaisir de reproduire la scène désopilante de "Stay Hungry" le film de Bob Rafelson sorti en 1986 avec justement Arnold Schwarzenegger dans son premier rôle significatif où une brochette de culturistes en tenues d'apparat quittaient leur salle d'entraînement pour aller jouer les justiciers au milieu de badauds ébahis. C'est avec gourmandise que l'on attendra le prochain travail de réalisateur de Roschdy Zem.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 mars 2015
    Bodybuilder est le troisième long métrage de Roschdy Zem, après Mauvaise Foi en 2006 et Omar m’a Tuer en 2011. Il s’inspire ici du documentaire canadien The Bodybuilder and I, de Bryan Friedman, sorti il y a 7 ans. Et pour incarner Vincent, le réalisateur va puiser directement à la source des salles de gym, puisqu’il a engagé Yolin François Gauvin, un culturiste, un vrai – et champion du monde de sa discipline en 2008 (quand même !).
    Pour la petite histoire, c’était Antoine de Caunes qui était pressenti pour le rôle du bodybuilder, mais il a décliné l’offre pour des raisons de planning surchargé. Toujours est-il que Yolin François Gauvin, taillé sur mesure pour le personnage, s’en sort à merveille. Une présence discrète mais marquant suffisamment les esprits et l’écran et pas seulement grâce à ses muscles. Face aux talentueux Vincent Rottiers, Marina Fois (100% Cachemire, La Ritournelle) et Roschdy Zem, il ne démérite pas. Et il s’impose comme une vraie « gueule » du cinéma français. Comme son personnage, il a deux fils et sa propre salle de gym, où il a sorti pas mal de gosses « de la mouise », comme il l’a confié à un journaliste du Parisien. Ici, le gosse déboussolé est poursuivi par ses embrouilles de cité et pour y échapper, il doit changer complètement d’univers. Il entre brutalement en contact avec le culturisme, une discipline et un mode de vie qu’il ne connaît et ne comprend pas et aussi avec un père taciturne qui se nourrit 8 fois par jour de gélules, d’œufs et de blanc de poulet, qui hésite à choisir Eye of The Tiger comme chanson de présentation, et tente de faire vivre sa salle de sport. Un véritable choc des cultures entre deux êtres pourtant si proches. Un père et son fils réapprennent à se connaître : la trame est ultra – classique. Grâce au talent du réalisateur et des interprètes, on va pouvoir atteindre le niveau supérieur.

    Bodybuilder au grand cœur

    Ce monde du culturisme, Roschdy Zem l’aborde avec une grande sensibilité, sans jugement ni moqueries et loin des clichés. Pas de grand déballage de pectoraux ! Sa caméra discrète nous ouvre les portes du bodybuilding, discipline ciné-génique et finalement peu connue, au plus près du réel : régimes drastiques, préparation des championnats et humeurs massacrantes des sportifs en période de « sèche », tout y est. Antoine va aborder l’univers de son père avec étonnement puis avec respect. L’acceptation est progressive, pour l’un comme pour l’autre d’ailleurs. Rien ne se fait comme par magie et c’est ce qui fait la force du film de Zem. Bodybuilder colle au réel, aux vraies personnes et aux luttes quotidiennes, sans tapage et sans outrance. La relation père – fils est la partie la plus réussie de cette comédie dramatique qui oscille toujours entre les deux vies d’Antoine. Ses ennuis avec les petits caïds manquent un peu de piquant et on ne sent que très rarement le danger qu’il court. Au final, Bodybuilder est un film touchant, sobre et bien écrit, et qui pose un œil bienveillant sur le culturisme, les salles de sport et les retrouvailles familiales. A ce jour, sans doute le meilleur film de Roschdy Zem.
    Nicolas V
    Nicolas V

    87 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2015
    Même si bodybuilder a intéressé tout les pratiquant de muscu croyant que se film ne parlait que de body, il n'est pas que ça. Bodybuilder, réalisé par Roschdy Zem est avant tout un drame sur la relation père fils. Les acteurs sont excellents et l'histoire : banale. Mais l'atout du film est de ne pas tomber dans les clichés faciles.Il ne glorifie pas le monde des bodybuilders en les starifiant et ne les jugent pas . Tout le long du film, l'avis est objectif à la limite du documentaire. On y constate la diet et ses consèquences sur le morale, les entrainements, les supplements alimentaires et stupéfiants, le concours.Telle l'affiche du film, deux histoires se superposent très bien avec le talent du réalisateur dans le montage.L'histoire de l'ados et ses galères offre du rythme et donne de la profondeur au film.Le mélange des deux univers est réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 mars 2015
    Bodybuilder met en place une mise en scène solide, peut-être un peu académique mais surtout très claire. Un film aussi sensible que les corps sont durs, avec toutefois un regret dans la description d'une délinquance beaucoup trop aseptisée.
    Slang
    Slang

    22 abonnés 537 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2015
    Bodybuilder raconte simplement l'histoire de retrouvailles entre un père et son fils, sur fond de musculation intensive. L'histoire est intéressante et bien traitée, on arrive à suivre sans problèmes le fil conducteur du film, tout en restant captivé, ce qui est assez rare pour un film de ce genre. Mais les personnages manquent de profondeur, on ne sent pas vraiment les acteurs pris à fond dans leur rôle. Cela peut se ressentir durant le film et peut s'avérer problématique.
    nestor13
    nestor13

    57 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2015
    Le sujet évoqué ici ne m'inspirait rien de prime abord. Mais quand j'ai vu le nom de Roschdy Zem, réalisateur ici, je suis allé voir ce film sans crainte. Monsieur Zem est quelqu'un que j'apprécie beaucoup et son nom est toujours pour moi un gage de qualité. Et je n'ai pas eu à le regretter, car "Bodybuilder" est une œuvre de haute tenue. Elle nous permet de découvrir cet univers qu'est le monde du culturisme, avec ses codes, sa faune, son microcosme bien particulier. Cette plongée dans ce monde est à la fois originale et vertigineuse, au vu des terribles efforts que font ces femmes et ces hommes pour sculpter leur corps. L'histoire qui est prétexte à cette description musclée est elle-même intéressante et peut nous rappeler, par son déroulement et son épilogue, le sympathique "Looking for Eric" sans toutefois son chalutier et ses mouettes. Roschdy et Nicolas Duvauchelle dans des rôles secondaires y encadrent des acteurs moins connus comme Vincent Rottiers, ancien champion de bodybuilding, dont le jeu pas forcément très professionnel en est touchant et finalement authentique. Percutant, fascinant, sans fard, ce film est ainsi tout sauf de la gonflette.
    MC4815162342
    MC4815162342

    397 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2015
    Roschdy Zem réalise avec Bodybuilder son troisième film après "Mauvaise foi" et le très bon "Omar m'a tuer", je ne savais pas trop à quoi m'attendre, j'imaginais tomber sur un film "français classique", par là j'entend l'histoire cul cul où les personnages ont des problèmes mais au final tout va bien et tout le monde il est beau et gentil. Je m'attendais à ce genre de chose sans bien évidement l’espérer, et puis je me suis laissé porter sans penser au pire, j'ai suivi cette histoire très intéressante qui à ma grande joie au final ne tombe pas dans cette niaiserie franchouillarde qu'on nous sert si souvent.

    Nous suivons Antoine, un petit branleur qui s'est empêtré dans des dettes qu'il ne peut rembourser, et ceux à qui il doit pas mal d'argent sont loin d'êtres des enfants de cœur, pour avoir le temps de se retourner son frère l’emmène chez son père qu'il n'a pas vu depuis longtemps. Les retrouvailles sont plutôt tendues car son père a entre temps accompli son rêve, devenir bodybuilder, et il est à ce moment là en pleine concentration et en plein travail car la compétition approche. Grace à ces retrouvailles Antoine va changer, avec du temps bien sur car les conneries ne se terminent pas de suite pour lui, mais il apprendra au fur et à mesure la vie et le respect.

    Je ne pensais vraiment pas trouver ce film si bon, sincèrement, je trouve l'histoire vraiment bien écrite et de plus très agréable à suivre, la relation certes pas des plus originale est tout de même très bien traitée et le milieu du bodybuilding est montré avec un certain respect pour ce sport.
    Roschdy Zem signe une comédie dramatique vraiment attachante, ça fait plaisir de ne pas le voir tomber dans le pathos ridicule, il s'entoure en plus d'un très bon casting, en tête le jeune Vincent Rottiers, très belle prestation, face à celui qui est son père dans le film Yolin François Gauvin, un véritable bodybuilder qui n'avait jamais joué la comédie avant, le premier choix de Zem se portait sur Antoine de Caunes, surprenant n'est-ce pas, mais le travail pour devenir assez musclé pour le film n'a pas réussi, donc Zem s'est tourné vers un vrai professionnel de l'activité. Et je trouve qu'il a bien fait, non seulement pour le physique mais aussi car ce Gauvin se révèle franchement bon et naturel.
    Les rôles secondaires sont portés par Zem en personne mais aussi Marina Foïs et Nicolas Duvauchelle avec qui il a joué dans Happy Few en 2010.

    En bref, ce Bodybuilder est vraiment une très surprenante et agréable surprise, l'histoire est vraiment prenante et intéressante, Zem gère très bien sa mise en scène et sa réalisation, et puis le casting est efficace.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 mars 2015
    excellent réussite pour Rochdy Zem, sobriété absolue tout comme dans le second rôle qu'il s'est accordé et remarquable interprétation du bodybuilder pro qui joue pour la première fois au cinéma
    joevebulle
    joevebulle

    4 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2015
    La "réinsertion" d'un jeune paumé grâce à son père qui se rachète au passage son ancienne conduite. Vu à travers l'univers du culturisme, le film est bien construit, l'histoire intéressante. C'est un bon moment de détente.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 février 2015
    Pour son troisième long métrage Roschdy Zem surprend. Après une histoire d'amour et un biopic voici une comédie dramatique sur fond de bodybuilding !
    Sur fond uniquement car l'histoire se base sur la vie d'un jeune pommé s'étant mis dans une situation si inconfortable qu'il doit se faire oublier quelques temps. Et pour cela retour chez papa, qu'il n'a jamais vraiment connu, un père devenu bodybuilder professionnel voué à une seule chose : sa carrière.
    Film divertissant sans d'avantage de prétention.
    Craoux
    Craoux

    29 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2015
    J'apprécie Roschdy Zem, en tant qu'acteur ou dans son registre de réalisateur. Mais là, il n'emporte pas mon adhésion. A vouloir courir après deux lièvres, il ne donne pas la densité nécessaire à son propos. En effet, pour partie, son film flirte avec le documentaire (sur le bodybuilding ... beaucoup trop présent dans le film à mon goût), et pour l'autre, il nous raconte de manière un peu trop fragmentaire la session de rattrapage à laquelle se livrent un père et son fils pour reconstruire une relation inexistante jusque là. Entre ces deux registres abordés, je n'ai pas vu que Roschdy ait réussi à poser de vraies passerelles pour conférer une cohérence au résultat. Dommage.
    Philippe A.
    Philippe A.

    9 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 février 2015
    Peut on être culturiste amateur et acteur , ce film répond par évidemment non , il suffit de s'en rendre compte dès qu'il ouvre la bouche , n'est pas acteur qui veut , en revanche , ce film montre assez bien (je connais assez bien le milieu ) la dépendance , l'esclave , auquel sont confrontés même les culturistes amateurs ( narcissisme, dépendance aux produits dopants, irritabilité en période de régime), l'image n'est évidemment pas flatteuse , le culturisme est donc un état d'esprit à l'image de ces culturistes "enceintes" ( syndrome du gros ventre du à l'abus d'hormone de croissance ), un film donc qui tire plus du documentaire qu'autre chose donc vraiment pas terrible, véhiculant une image négative de ce sport, dommage j'aurais préféré qu'il soit mieux traité
    elriad
    elriad

    430 abonnés 1 856 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2015
    pas un mauvais film, non, même si la dramaturgie évolue peu concernant la rédemption du fils bon à rien. Mais j'ai personnellement beaucoup de mal avec les personnages zonards, ces parasites de la société pour lesquels toute empathie semble impossible. L'originalité donc repose essentiellement sur le milieu du bodybuilding, ce culte du corps aux codes bien définis, hygiène,alimentation... en ce sens le film se laisse voir et les comédiens sont crédibles. Ce long-métrage ne laissera cependant pas un souvenir impérissable.
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