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L'Info Tout Court
413 abonnés
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3,5
Publiée le 28 septembre 2015
Jamais entre amis dynamite les codes de la comédie romantique et les clichés qui vont avec. Le duo d'acteurs composé d'Alison Brie et de Jason Sudeikis apporte beaucoup à ce film qui s'écoute avant de se voir, tant la qualité d'écriture est au rendez-vous. Un beau pari, qui finit pourtant par un happy end décevant. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
Pas assez drôle pour être une comédie, pas assez d'amour ardent pour être une romance, pas assez de sujets de fond pour être un drame. Finalement, Jamais entre amis est un film hybride qui n'a assez de rien pour être quelque chose. Même le manque d'alchimie des deux héros est flagrant.
Une comédie romantique pétillante et intelligente avec une écriture intelligente, des acteurs irréprochables, des personnages très attachants et des situations loufoques.
C’est l’histoire de 2 étudiants qui ont perdu leur virginité ensemble sur un coup de tête. Ils se recroisent 12 ans plus tard, l’un multipliant les partenaires féminines, l’autre larguée par son petit ami après une infidélité de sa part. Ils décident de se fréquenter comme des amis, sans relation sexuelle. Cela rappelle l’esprit de la série « Sex and the city » mais en plus drôle et avec des dialogues bien écrits et énoncés avec beaucoup de naturel par les 2 acteurs (Jason Sudeikis pour l’homme). Une version moderne des « Jeux de l’amour et du hasard » au XXIe siècle et à l’ère d’internet où le sexe est abordé de façon décomplexée et avec beaucoup d’humour. A voir pour une scène culte spoiler: où Jason Sudeikis apprend à Alison les techniques de la masturbation féminine en prenant un bocal à cornichons comme modèle de vagin ! .
Une comédie romantique pétillante et intelligente avec une histoire intelligente, des acteurs irréprochables, des personnages très attachants et des situations loufoques.
Contrairement à la France où le genre est en pleine floraison, il semble qu’il n’y ait plus, en provenance du cinéma américain, de rom’com à gros sabots comme dans les années 90 (ou alors, c’est qu’elles n’arrivent pas jusqu’en Europe.)...et je me demande donc légitimement qui peut bien être la Meg Ryan ou la Katherine Heigl des années 2010. Aujourd’hui, on a droit à des grosses farces Trash où la romance n’est qu’un happy-end hâtivement posé en dernière minute ou bien, comme c’est le cas ici, à des proposition plus urbaines qui se veulent en phase avec les nouveaux comportements amoureux, et se piquent de ping-pong verbal et de vannes référentielles plus ou moins sophistiquées pour toucher le public des trentenaires contemporains éduqués. Tout new-yorkais qu’il soit, “Jamais entre amis� reste malgré tout moins atypique que le festival de gaffes noyés dans un spleen post-moderne des “Greta Gerwig-movies� : Jason Sudeikis y est très en verve, Alison Brie est une petite révélation et on y rit plutôt plus souvent que dans d’autres spécimens du même tonneau. On ne peut cependant pas s’empêcher de noter cette sempiternelle schizophrénie américaine qui implique que même les sujets les plus imprévisibles doivent se terminer dans la conformité. Les deux tourtereaux, qui se sont dépucelés mutuellement à l’université, sont devenus des sex-addicts atteints d’infidélité chronique et, forts de cette expérience partagée, décident de se soutenir dans leurs déboires sentimentaux sans jamais repasser à l’acte, afin de préserver cette bulle d’amitié et de confiance de tout dérapage sentimental ou sexuel. spoiler: Où voulez-vous qu’un tel canevas les conduise si ce n’est devant l’autel ??
Est-il possible de citer ici 3 références comme Annie Hall, Quand Harry rencontre Sally &... American Pie ? Oui la preuve et le résultat est heureux. L'histoire reste classique quant au déroulé des évènements ; encore fallait-il penser à prendre le contrepied du concept "sex friends" ! Mais les dialogues, si l'on passe outre leur verdeur, sont d'une finesse assez incroyable et les acteurs, d'une osmose commune et d'un talent individuel étonnant. Sudeikis m'avait gavé dans Comment tuer son boss ; là il est lumineux. Tout comme Alison Brie que j'ai découvert dans cette comédie, rythmée et intelligente. Un film que j'ai un peu honte d'avoir vraiment apprécié ;-)
Les acteurs sont attachants, et cette comédie romantique a son charme. Cependant, une fois de plus, rien d'innovant dans le script. Le film use de ralenti. . On a du mal à savoir si c'est voulu et assumé. . Où si c'est juste pathétique. De jolis phrases, et une romance qui fait sourir.
Quel dommage, je pensais m'aventurer dans une petite histoire mignonne, légère, pleine de fraîcheur... il n'en est point, c'est Niais, débile, fatiguant
Chaque film a ses scènes cultes. Dans Dirty Dancing, une des scènes cultes est celle où Patrick Swayze apprend à sa partenaire à danser dans l'eau d'un lac. Dans "Jamais entre amis", la scène phare est une leçon de masturbation faite à l'aide d'une bouteille de Granini. Ca donne un aperçu de la nullité de ce film, vulgaire, ennuyeux jusqu'à la fin et tout sauf amusant, qualité qu'on aurait pu attendre d'une comédie. le seul sourire qu'il m'a arraché est arrivé lorsque j'ai vu le générique de fin, annonciateur de ma libération. Et encore, pendant le générique, une scène aussi inepte que les précédentes a retardé ma course vers la sortie. Rien à sauver de ce film. Pitoyable.
Film américain d'une lourdeur de type américan pie. Très mal joué, histoire vue et revue.
Histoire d'un couple de lycéen qui se depucele ensemble. Ils se retrouvent des années après à une réunion de sexuels compulsifs car sont tous deux accros au sexe et trompent leurs conjoints. Ils vont finir par faire leur thérapie ensemble.