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brianpatrick
83 abonnés
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4,0
Publiée le 8 mai 2024
Solène Rigot avait vingt cinq ans quand elle intèrprète une femme de quatorze ans. Elle sauve le film a elle toute seule. Sinon, sans elle, le film reste un navet. Un film d'auteur certes. Une spychologie très compliquée.
Un film sans grande originalité puisqu'il aborde un thème maintes fois exploité au cinéma qui est la découverte de la sexualité chez une ado, on peut voir ce film comme un sous "Thirteen" en beaucoup plus sobre, mais qui reprend tout ce qu'on a pu déjà voir ailleurs donc c'est loin d'être un film indispensable même s'il se laisse regarder sans ennui.
Une fois n'est pas coutume, l'adolescence est encore à nouveau ici le thème central de PuppyLove. On retrouve les défauts de ce genre de films, déja vu et revu. Une héroïne mal dans sa peau, perdu dans sa sexualité, une famille chamboulée, etc ... Cependant, il faut avouer que PuppyLove arrive à se distinguer avec un certain égard, grâce au traitement de son histoire composé d'un certain humour bienvenu, et ce, malgré son classicisme absolu. De plus, la réalisation de Delphine Lehericey reste propre et propose de jolis plans. Les actrices sont elles aussi, investies.
PuppyLove reste donc une bonne pioche, bien plus subtile que "La Vie d'Adèle" et bien mieux réalisé. Il en reste malheureusement un énième film traité en mode "vie de tous les jours", pas vraiment bouleversant, mais pas désagréable pour autant.
"Puppy Love" (2013) la trois (RTBF le 12.10.2016 Une comédie belge pathétique dans son élaboration, avec deux co-scénaristes sans talent : pour son premier film, Delphine Lehericey a tout raté. On s'ennuie, mais qu'est-ce qu'on s'ennuie ! Acteurs plan-plan et peu convaincants, images bâclées : le passage de l'adolescence à l'âge adulte n'est pas qu'une partie de fesses en l'air ! Et où est la tendresse (bordel !) dans cette histoire lymphatique. Bref c'est mauvais et nullement sympathique du début à la fin, si vous arrivez à faire la différence entre les deux. Difficile de faire plus mauvais et la réalisatrice ferait bien de suivre urgemment des cours ou suivre des maîtres. Ce métier ne s'improvise pas, sauf à faire du bricolage ! Ah si, en cherchant beaucoup quelque chose de bien dans ce navet, les belges (charité bien ordxonnée...) lui ont attribué un prix "Magritte" pour la musique ! ¨plutôt généreux de leur part ! Comme lot de consolation ? willycopresto
Film assez sympathique sur l'adolescence et ses turbulences !!! Une ado rebelle et expérimenté va prendre sous son aile une pauvre fille, un peu gourde et lui faire découvrir les choses de la vie !! Classique et vu un million de fois mais cela marche à chaque fois !! Entre scènes savoureuses et scènes choquantes, on ne voit pas le temps passer et on se réjouit d'être sorti de l'adolescence depuis longtemps !!
Déception, ce film ne tient pas la route, j'ai trouvé que c'était un peu dans l'exagération et ça gâchait le côté réaliste et simple du film. De plus ça manque sérieusement de rythme. Malheureusement le sujet n'est pas traité avec brio. Sinon la BO signé Soldout est très bien, côté jeu d'acteurs c'est correct et Audrey Bastien est ravissante!
Dans son film belgo-franco-luxembourgeois suisse, Delphine Lehericey présente la vie de deux adolescentes en quête d’identité sexuelle. Dans la même veine que certains films traitant de ce sujet (et très à la mode depuis quelques années) Puppy Love montre les dérives potentielles de jeunes ados en proie à vivre des expériences moins naïves et plus « adultes » … mais quelles seront les conséquences de leurs actes?
Après une distribution timide dans quelques salles, « Puppy Love » est enfin sorti en DVD. Après une longue attente et quelques reports, nous pouvons nous pencher sur le dernier long métrage de Delphine Lehericey, particulièrement interpellant.
Relativement court, le film présente un sujet bien maîtrisé et un casting très convainquant : Solène Rigot, qui interprète Diane, a un petit passé cinématographique derrière-elle (17 filles, Renoir, la belle vie,…) et dessert le film de façon brillante. Audrey Bastien (révélée dans Simon Werner a disparu) joue à merveille le contre-pied de l’héroïne et l’adolescente décomplexée. Les personnages sont crédibles et leurs interprétations sonnent justes, malgré la difficulté que peuvent représenter de tels rôles.
Si nous préférons taire l’intrigue principal et vous laisser découvrir les (més)aventures de nos deux jeunes héroïnes, il nous faut cependant vous avertir que « Puppy Love » n’est pas à mettre entre toutes les mains. Traitant de l’adolescence, il n’est pas sûr que le public visé soit celui des teenagers.
Enfin, notons qu’en compétition lors des « Magrittes du Cinéma 2015 », le film s’est vu récompensé par le Magritte de la « Meilleure musique originale », interprétée par l’excellent groupe belge : Soldout.
Bien joli film que cette coproduction francophone. Sans référence aucune, l'oeuvre est tout à fait dans notre époque et raconte avec brio l'éveil (aux autres, au sexe, au monde) d'une ado ni plus intelligente ni plus belle qu'une autre ado de 2015 mais pas bête ni moche non plus. L'apprentissage est en cours avec les tâtonnements essai/erreur propre à cet âge. L'intérêt du film réside dans l'indéniable plongée dans l'époque dans laquelle nous vivons avec ses facilités, ses outrances, ses contradictions, son absence de contraintes ... Les 2 jeunes filles qui tiennent les rôles principaux sont très "justes" dans leur jeu. A voir !
Pourriture de films français, j’ai voulu tenter de nouvelles expériences en écoutant mes podcasteurs préférée et trouver des pépites dans le cinéma français… C’est raté… Intermédiaire entre crise d’adolescence raté et maniaco dépression
"Puppy Love" c'est l'histoire d'une jeune fille solitaire, Diane, qui grâce à sa rencontre avec sa nouvelle voisine va s’émanciper. De part la personnalité plutôt extravertie de cette dernière, cette rencontre va faire office de catalyseur pour Diane la propulsant ainsi au cœur de l'adolescence. Une petite histoire distrayante sans pour autant susciter un réel émois.
Par son rythme, le film évite l'un des principaux écueils du genre (la lenteur) notamment grâce à une BO dynamique. On regrettera que le point de vue de la réalisatrice sur l'adolescence ne soit pas très originale. Des ados qui boivent, qui fument et qui ont des relations sexuelles à plusieurs, on a déjà vu ça au cinéma : «Requiem for a dream», «Virgin suicides», etc...