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    Le Temps des aveux
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    3,1
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    poet75
    poet75

    265 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2014
    En 1971, tandis qu'il travaille à la restauration des temples d'Angkor, l'ethnologue François Bizot est arrêté et fait prisonnier par un groupe de Khmers rouges se battant pour la conquête du Cambodge. Arraché à sa femme et à sa fille, il est détenu dans un camp, en pleine jungle. Mais le plus étonnant, c'est qu'il ne doit sa survie que grâce à la clémence et à la protection du chef de ce camp, un certain Douch qui se singularisera plus tard en tant que tortionnaire, faisant torturer et mettre à mort des milliers d'individus dans le sinistre camp S21.
    Telle est l'énigme que pose ce film. Comment un bourreau aussi implacable que ce Douch a-t-il pu sauver la vie d'un homme, français il est vrai, mais que bien d'autres combattants khmers rouges auraient voulu exécuter? A cette question, bien sûr, il n'est pas de réponse claire. Douch est-il réellement convaincu de l'innocence de Bizot, comme il le prétend? S'est-il pris d'affection pour le Français, lui qui, en mille autres occasions, sera imperméable à la pitié?
    Régis Wargnier a su parfaitement mettre en scène ce troublant face-à-face, préservant toute la part d'étrangeté qui unit, malgré eux, ces deux hommes. 7,5/10
    Julien D
    Julien D

    1 178 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 décembre 2014
    Vingt-deux ans après son célèbre film Indochine, Régis Wargier retourne en Asie du sud-est dans le but d’adapter les deux romans autobiographiques de François Bizot, sous la houlette de Rithy Panh, le réalisateur d’excellents documentaires sur le génocide cambodgien. Choisissant donc la fiction pour raconter l’une des nombreuses exactions du bourreau khmer surnommé Douch, le scénario s’axe entièrement sur le point de vue de Bizot, interprété par un Raphaël Personnaz que l’on n’a jamais vu aussi malmené, pendant et après sa détention dans un camp de prisonniers. Alors que la première moitié du film se concentre exclusivement sur les mois de captivités du prisonnier français et ses conversations avec son geôlier, la suite s’appesantie sur les évènements politiques sans réussir à maintenir la charge mélodramatique précédemment enclenchée. Les deux personnages que sont Bizot et Douch sont fascinants dès lors qu’ils sont ensemble à l’écran, leurs échanges apportant un regard sans jugement moral sur les enjeux humains du conflit, mais le reste du film,de par sa sobriété formelle et sa construction étirée, manque cruellement d’enthousiasme.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 décembre 2014
    Malgré la note globale que j’ai mise, le film mérite d’être vu ne serait-ce que pour la troublante justesse de l’interprétation de Kompheak Phoeung dans le rôle de Duch, alors qu’il n’était encore qu’un révolutionnaire Khmer rouge parmi d’autres.

    Je m’explique. Si Duch est principalement connu pour être le directeur froid et impitoyable du centre S21 ayant fait 17000 morts entre 1975 et 1979, le film Le temps des aveux relate une époque, le début des années 70, où Duch, confronté à François Bizot, ethnologue français qu’il fait prisonnier car soupçonné de travailler pour l’ennemi américain, révèle une personnalité on ne peut plus troublante : derrière une apparente cruauté nourrie par la paranoïa et un idéalisme aveugle, on découvre un autre aspect de Duch, celui d’un homme capable de sensibilité et même d’amitié, celui d’un homme qui était avant tout un être humain comme vous et moi, mais dont de nombreuses circonstances ont fini par le transformer quelques années plus tard en bourreau sanguinaire. Ce visage humain de Duch, est-ce parce que Kompheak Phoeung a été le traducteur officiel de Duch lors de son procès qu’il le joue si bien ? C’est en tout cas pour moi l’intérêt majeur du film parce que c’est aspect qui dérange et donne à réfléchir : est-ce possible que Duch, le bourreau sanguinaire, ait pu avoir un visage si doux et fraternel envers Bizot au moment même où il faisait arrêter et exécuter arbitrairement des « ennemis » ? Ce film a le mérite de compléter le portrait complexe de Duch que l’on essaie désespérément de dresser pour expliquer l’incompréhensible.

    Malheureusement, le rôle de François Bizot n’est pas joué avec la même justesse. Or il me semble que cela aurait dû être l’objectif principal du film qui, rappelons-le, est une adaptation des deux romans de François Bizot relatant l’expérience de sa capture puis ses retrouvailles avec Duch pour son procès. Sans douter que le rôle est loin d’être facile à jouer, on s’attend à ce que l’acteur choisi l’ait été pour son aptitude à le jouer de façon plus crédible que d’autres. Le résultat laisse planer un doute sérieux. Raphaël Personaz dans le rôle de Bizot nous offre un Bizot qui parle un khmer tout juste incompréhensible sans que l’on sente une once d’effort de sa part pour faire mieux. Peut-être que c’est une négligence qui ne gênera que le spectateur comprenant le khmer, mais dans l’absolu, n’est-ce pas cohérent de travailler un minimum sa diction si l’on veut se rapprocher le plus de Bizot, l’ethnologue passionné, qui vit depuis plus de 5 ans au Cambodge ? Il nous offre également un Bizot assez creux tout au long du film. Personaz reste stoïque et prononce son texte sans émotion. Alors que l’évolution des sentiments de Duch est clairement perceptible, on ne sait jamais ce que pense vraiment Bizot tout au long du film. Est-ce qu’il méprise Duch ? Est-ce qu’il est tiraillé entre reconnaissance et ressentiment ? Considère-t-il Duch comme un monstre ? Les expressions ou le stoïcisme de Personaz ne donnent pas de réponses à ces questions ou au moins des éléments, pour cela il faudra revenir aux livres dont le film s’inspire.

    Au final, on n’apprend pas grand-chose de l’expérience de Bizot : c’est-à-dire comment il a vécu tout cela, qu’est-ce que sa relation avec Duch a représenté. On ressort de ce film avec un rappel des faits sur les prémices de la dictature Khmer rouge où au passage est racontée également l’arrestation d’un français dont le geôlier s’attache, le tout sous couvert de décors appréciables du Cambodge. Dommage pour François Bizot que le film est censé mettre à l’honneur. Mention spéciale pour l’acteur Kompheak Phoeung tout de même.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    181 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 décembre 2014
    Le Temps des Aveux est ce genre de film où l'on se dit: "Il manque quelque chose". Et ce quelque chose, c'est de la tentation dramatique. Bien que l'histoire soit centrée sur un contexte historique très intéressant, à aucun moment on sent venir une tension alors que plusieurs passages le mériteraient (l'enlèvement, la fuite, le passage en Thaïlande, ...). Le film reste, pour le coup, assez plat. Les images sont belles mais le montage est mauvais. Raphaël Personnaz et Olivier Gourmet sont bons mais les autres sont pas terribles. Un film plein de contrastes dans les extrêmes ce qui ne nous aide pas à vraiment l'apprécier.
    jaggg
    jaggg

    20 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2014
    Pas de fioritures, peu d'émotion, une mise en scène très classique, mais une histoire très forte.
    cylon86
    cylon86

    2 443 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2014
    En 1971 au Cambodge, la révolution des Khmers rouges éclate. François Bizot, ethnologue français, est capturé, soupçonné d'être un espion. Emprisonné pendant un moment par les Khmers, Bizot fait la rencontre de Douch, l'homme qui dirigera plus tard S21, prison où furent exécutées des milliers de personnes. Douch n'est encore qu'un révolutionnaire idéaliste qui croit en l'innocence de Bizot. Les deux hommes nouent une relation étrange qui les marquera. Si la description du régime des Khmers rouges faite par Régis Wargnier est intéressante et que le film contient un certain potentiel dramatique, l'ensemble est plutôt froid, nous empêchant à tout moment de rentrer dans l'émotion qui est quelquefois voulue. On ne pourra pas reprocher aux acteurs de ne pas bien faire leur travail (une fois de plus, Raphaël Personnaz est impeccable) mais la maladresse et la naïveté de certains dialogues empêchent de rentrer complètement dans le film qui ne manquera pourtant pas de nous surprendre et de nous dévoiler une partie aussi dramatique que passionnante de l'histoire du Cambodge.
    annereporter94
    annereporter94

    48 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2014
    Un film parfois déconcertant... peu d'émotion, peu de séquences spectaculaires, comme si Régis Wargnier souhaitait faire de ce film une oeuvre intimiste, voire intellectuelle. Mais, malgré cela, il reste un film plutôt réussi...
    benoitG80
    benoitG80

    3 386 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2014
    "Le Temps des aveux" comme le livre "Le Portail", se focalise avant tout sur la relation entre l'ethnologue François Bizot et son bourreau ou geôlier Duch lors de la révolution des communistes au Cambodge durant le milieu des années 70, au risque de gommer certains aspects sanglants de ce pan d'histoire...
    Ce qui n'empêche pas au film de nous intéresser avant tout à ces deux hommes, de l'arrestation jusqu'au dénouement bien plus tard au moment du procès.
    C'est bien par le prisme de leur rencontre, puis de leurs échanges que l'on va aussi découvrir ou redécouvrir assez légèrement l'histoire des Kmehrs rouges et leur révolution sous le régime de Pol Pot !
    On reste à la fois fascinés par la protection que Duch va mettre en place auprès de son prisonnier, tout en regrettant de ne pas tout saisir de ce tortionnaire, de le voir sous son vrai jour pour mesurer l'horreur et la démesure de ces milliers d'exécutions dont il a porté la responsabilité.
    Cette protection que Duch privilégie plutôt que l'exécution radicale, reste énigmatique tant on essaie d'en chercher les explications : l'admiration, l'entente, son intime conviction sur l'innocence de Bizot ? Alors que ce dernier fait tout pour s'échapper et se mettre en difficulté...
    Maintenant, certains mots, certaines phrases échangés entre ces deux hommes finalement curieusement liés, résonnent avec force jusqu'à leur dernière entrevue très saisissante où Duch fera remarquer à son protégé, que lui a eu la chance de ne pas traverser de guerres ou alors que c'est grâce à lui, qu'il a pu connaître sa fille...
    Raphaël Personnaz a sans aucun doute un rôle très différent de son répertoire habituel et s'en sort assez bien et grandi de sa prestation, tandis que Phoeung Kompheak, avec ce jeu hyper maîtrisé et calculé, devient un personnage inquiétant d'autant plus quand on apprend que l'acteur a été l'interprète du véritable Duch à son procès !
    Assurément, le choix du réalisateur est ici très net et assumé en se limitant à l'étude très rapprochée de ces deux êtres pendant cette captivité jusqu'à ces retrouvailles inattendues au moment du procès, choix par respect du livre de François Bizot, mais on ne peut que regretter l'occultation de ce mouvement et de ce génocide même si les explications et allusions sont bien là, sans suffire malgré tout pour frapper réellement le public, ce qui était essentiel à mon avis en parallèle des intentions louables du réalisateur...
    Il n'en reste pas moins que cette histoire est particulièrement étonnante et ici bien relatée avec une mise en scène sobre et sans fioritures. Pour ces raisons, "Le Temps des aveux" de Régis Wargnier est à recommander même s'il ne va certes pas jusqu'au bout de son enjeu ou de ses réelles possibilités...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 décembre 2014
    Bien car on apprend plein de choses sur le Cambodge et les Khmers rouges...
    Bon jeu des 3 acteurs principaux, mais Doutch avait-il autant d'humanité dans le regard? J'en doute au regard du nombre de personnes qu'il a tué...
    Très belles images.

    Bémol: le vieillissement des personnages est mal fait (ex: visage vieilli de la femme mais bras de jeune fille!!! Ou bien les poches sous les yeux de Raphaël Personnaz...

    Entre parenthèse, Raphaël Personnaz et Oliver Gourmet ont de nouveau tourné ensemble dans "L'Affaire SK1" qui sort prochainement)
    desiles ben
    desiles ben

    30 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    Ennuyeux. Je trouve que le jeu des acteurs sonne faux. Les personnages sont des caricatures. Je vais au cinéma pour être ému. Je ne l'ai pas été.
    Marclille
    Marclille

    22 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 décembre 2014
    Si l'histoire aurait pu présenter un intérêt, le réalisateur peut retourner à l'école du cinema. Un film sans montage, sans direction d'acteur, sans musique, avec un casting laissant à désirer, ça fait beaucoup et ça débouche sur un film raté et sans âme.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 décembre 2014
    L'histoire réelle est un bon sujet prometteur et donc promettant un film halletant. Bof bof, cefilm manque d'identité, de caractère. R. Personnaz n'y est pas à sa place. Dommage, le film se regarde mais sonne néanmoins un peu creux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    Le Temps des aveux est un très bon film dramatique biographique franco-belgo-cambodgien coécrit et réalisé par Régis Wargnier avec Raphaël Personnaz (excellent dans son meilleur role) qui joue François Bizot un anthropologue français, spécialiste du bouddhisme du Sud-Est asiatique qui va être arrêter avec deux de ses assistants cambodgiens par des miliciens khmers rouges et conduit dans un camp de rééducation dirigé par Kang Kek Ieu, alias Douch (joué par Kompheak Phoeung, un très bon acteur Cambodgiens) qui deviendra, entre 1975 et 1979, le directeur du centre d'interrogatoire de Tuol Sleng (S21)... A noter la presence de l'excellent acteur Olivier Gourmet dans le role du consul (Francais) Marsac..., l'absence de musique et que le roman Le portail (d’où est tiré le film) de François Bizot (publié en 2000) a reçu le prix des Deux Magots (un prix littéraire français créé en 1933)... Mais surtout que si ce film n'a pas la force de La Déchirure de Roland Joffé (une histoire presque similaire), il en est pas moins fascinant, terrible et d'un réalisme saisissant ce qui est dut a la mise en scéne très sobre du réalisateur Régis Wargnier (qui signe peut être son meilleur film) et a ses deux acteurs principaux (Raphaël Personnaz n'a jamais été aussi bon)... Un des meilleurs films Francais de l'année 2014.
    selenie
    selenie

    6 034 abonnés 6 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    Malheureusement Régis Wargnier signe là son plus mauvais film. Le prologue, dès la première minute, gâche la fin puisqu'on nous spoile d'emblée l'issue ! Mais c'est bien la direction d'acteur et les choix du réalisateur qui semblent peu inspirés. En effet Douch (ou Duch) est un homme au regard froid, vide de tous remords ou sentiments - il suffit de voir le documentaire le documentaire "Duch, le maitre des forges de l'enfer" (2011) de Rithy Panh pour s'en convaincre - alors qu'avec Phoeung Kompheak on ne voit que la gentillesse dans les yeux alors qu'on voit le diable dans le visage du vrai Duch. D'ailleurs la relation entre Douch et Bizot, ligne directrice du film, est loin d'être traité à fond. Wargnier passe à côté de son sujet pour une mise en scène trop solennel et trop figé. Dommage...
    LBDC
    LBDC

    100 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2014
    (...) C’est le rapport inhabituel entre ces deux hommes qui a intéressé le réalisateur. On assiste à l’histoire d’un syndrome de Stockholm inversé. Le geôlier s’identifie à son prisonnier, s’attache à lui et tente de le défendre alors que le prisonnier fait tout ce qu’il peut pour se sortir de sa situation. Pourquoi cet homme a-t-il sauvé l’ethnologue français ? On s’interroge, on cherche des indices : est-ce parce qu’il est étranger ? Est-ce parce que Douch croit en son innocence ? Est-ce parce qu’il est le seul avec qui Douch peut échanger des citations sur son idéologie ? La réponse reste élusive, sûrement parce que le narrateur lui-même ne la connait pas.

    Le rythme lent du film, contemplatif parvient à nous capturer et à nous plonger dans l’histoire de ces deux hommes. On découvre avec incrédulité la vie Cambodgienne de l’époque et l’évolution sans heurt (c’est du moins notre impression) des Khmers Rouge. Les paysages, ainsi que les décors sont beaux et réalistes. Le choix de filmer au Cambodge en pleine nature avec des vrais paysans et des vrais moines n’y est pas étranger.

    Kompheak Phoeung est la véritable révélation de ce film. Dans la peau de Douch il brille, il fascine, il effraie autant qu’il charme. Sa connaissance de l’homme – il a été le traducteur français lors du procès de Douch – l’a peut-être aidé à en tirer un portrait aussi juste. On a envie de trouver des excuses à sa conduite et on se jette sur chaque parcelle d’humanité qui transpire de ce personnage. Comme il le dit lui-même « c’est la procédure », il n’a pas le choix. Lorsqu’il rencontre ses supérieurs, il perd de sa superbe et on le voit bloqué dans cette hiérarchie. On tombe plus facilement dans le piège du syndrome de Stockholm que François Bizot.
    Raphaël Personnaz ne livre pas une performance inoubliable. Sa transformation physique est impressionnante – il a perdu 10 kilo pour le rôle – mais son interprétation est trop lisse. On ne retiendra pas non plus ses assistants ou sa femme auxquels on ne s’attache pas un instant.

    Le film aurait pu gagner en émotions mais la retenue dont fait preuve Régis Wargnier fonctionne. La violence est hors champs, factuelle, protocolaire, très loin de l’image chaotique que l’on pourrait avoir d’une révolution. L’ordre qui règne parmi les Khmers Rouge transparait à l’écran et dans la narration du film. Tout est linéaire et administratif, sur le fond comme sur la forme. L’absence de musique renforce cette sensation. Pas d’envolée lyrique pour cette histoire, ce sont les prémices d’un génocide pas une fresque romanesque (...

    L'intégralité de notre avis à propos du TEMPS DES AVEUX, sur Le Blog du Cinéma
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