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    Le Temps des aveux
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    Sandrine S.
    Sandrine S.

    21 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juillet 2015
    J'ai adoré !!! Un film nécessaire pour comprendre l'histoire. Avec un acteur au top !
    videoman29
    videoman29

    232 abonnés 1 831 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2015
    Plus de 20 ans après son chef-d’œuvre « Indochine », Régis Wargnier retrouve l'Asie pour son nouveau film, « Le temps des aveux ». Il réalise l'adaptation au cinéma du livre autobiographique de François Bizot, un ethnologue Français capturé au Cambodge par les Khmers rouges alors qu'il travaillait à la restauration des temples d'Angkor. La première partie est axée sur son arrestation, son incarcération dans un camp de prisonniers et la relation très particulière qu'il entretient avec Douch, son bourreau féru de littérature française. Cette partie du film est assez réussie, même si on a du mal à s'immerger totalement dans le contexte. On a l'impression que les faits, malgré leur indéniable gravité, ont été volontairement édulcorés ce qui provoque l'impression que le réalisateur ne fait qu'effleurer la question. La seconde moitié, quant à elle, est un peu longue et se perd dans des considérations sociales et politiques moins intéressantes ou insuffisamment mises en valeur. Au bout du compte, ce film reste d'un réel intérêt historique et cinématographique mais laisse au spectateur un léger goût de « peut mieux faire ».
    NewBoorn
    NewBoorn

    58 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2015
    Une production en demi-teinte, qui vaut le coup d’œil principalement pour l'étrange relation Personnaz-Phoeung, car le parti pris du "on ne dévoile pas la violence" fait descendre progressivement l'intensité et met en lumière une absence de moyens et d'ambition.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 mai 2015
    Très bon film malgré qu'il aille un peu trop vite et qu'il s’intéressent de trop prés au deux protagonistes en oubliant un peu le contexte historique ce qui est gênant à mon gout ! Je rapproche aussi au réalisateur d'avoir tourné certains plan à la va vite contrairement à d'autre qui peuvent être d'une beauté majestueuse comme le plan de fin.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    104 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 avril 2015
    Régis Wargnier, emplit de bonne volonté, signe un film biographique sous forme de devoir historique, compagnon dans les faits d’une certaine Déchirure. Nous revoilà pour l’occasion au Cambodge durant son époque maudite, celle de la révolution Khmers Rouges et son génocide. Adapté de la biographie de François Bizot, jeune français attaché alors à l’école française pour l’Extrême Orient, Le temps des aveux se veut un devoir de mémoire académique, un film très attaché au respect des faits, dans sa plus pure tradition. François Bizot, donc, fût capturé par les jeunes révolutionnaires car soupçonné d’espionnage puis, aux termes de quatre mois de détention, fût relâché pour transmettre aux Représentants de la République le programme social des Khmers Rouges. Il devra alors sa libération à son tortionnaire, le dénommé Douch, leader charismatique et idéaliste de la rébellion communiste. Bien des années plus tard, après avoir quitté le pays, y être revenu, François Bizot retrouve les Khmer rouge alors que celui-ci est accusé de crime contre l’humanité. L’histoire est captivante, certes, mais le film l’est-il aussi?

    Très académique dans sa conception, le temps des aveux ne démontre dès lors que peu d’audace. Alors que les Khmers rouges et leur révolution sanguinaire ont choqués le monde entier de par l’accumulation des victimes laissées dans leur sillage, Régis Wargnier ne semble finalement que peu s’intéresser à l’horreur de cette guerre d’extermination. Se concentrant, à juste titre, sur le prisonnier puis exilé français, sa prise de position, sa souffrance, et accessoirement sur son bourreau mais finalement compagnon d’infortune, le cinéaste semble esquiver toutes les abominations, toutes scènes de violence. Le film, en lui-même, n’est jamais perturbant, semblant s’affranchir de tout ce qui pourrait réellement décrire la vraie nature des révolutionnaires, s’orientant un peu maladroitement vers les élans philosophiques et une amitié impossible en pleine débâcle humanitaire. Tout semble alors ouateux, nimbé dans un confort narratif excluant l’horreur et la crue réalité.

    Ce postulat, du moins ce parti pris, ne permet jamais de s’attacher réellement aux protagonistes, finalement d’avantage des idéalistes que des victimes. Raphaël Personnaz, que l’on imagine avoir investi de sa personne sur un tournage exotique difficile, ne fait finalement qu’errer telle une bonne âme dans un monde en peine. Jamais charismatique, très conventionnel, son personnage, accessoirement mal vieilli en dernière partie du film, suit la ligne directrice du scénario sans prendre la peine de vraiment exploser. Quant à son tortionnaire, incarné lui par Kompheak Phoeug, acteur local pour le moins convaincant, il relève un peu le niveau des interprétations. Si son rôle n’est pas foncièrement bien écrit, l’acteur cambodgien semble pourtant capable de bien meilleur que sa simple figuration. Même Olivier Gourmet, personnage secondaire pourtant important, ne semble pas capable de relever le niveau.

    Tout ça, finalement, pour dire que malgré les idées, les nobles intentions, le film pêche par manque de vitalité et l’on présume, de moyens. Si quelques séquences, notamment l’exil forcé de l’ambassade de France, sont réussies, bon nombre de scènes, elles s’avèrent fades et par-dessus tout artificielles, je pense là notamment à la détention du jeune français, soit la première partie du long-métrage. On peut, en conclusion, supposer que le réalisateur aura rempli son cahier des charges, respectueux qu’il fût de l’histoire de François Bizot. On peut aussi saluer les intentions de l’ensemble du casting ou encore la photographie, plutôt soignée. Mais l’on regrette finalement le manque d’amplitude d’un film qui ne peut que rivaliser avec le récent et moyen film britannique, les voies du destin. 09/20
    Raphaël O
    Raphaël O

    137 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2015
    Inspiré d'une histoire vraie, ce drame historique possède un scénario sobre et maitrisé, une fidèle reconstitution des décors et costumes de l'époque, une superbe photographie et est porté par la remarquable prestation de Raphaël Personnaz.
    Une œuvre intéressante et instructive.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 avril 2015
    Un film sans musique ! Certains s'en plaignent, moi ça me ravi car enfin je vais pouvoir entendre les dialogues ! Pour la musique je vais au concert ou écoute un CD.
    Regardez mais surtout écoutez attentivement le film de Clint "Gran Torino", pas une note de musique sauf au début (chant gospel dans une église) et pour le générique de fin ; un grand film sans musique c'est possible. Le vacarme - fut-il musical - n'est là que pour masquer l'indigence des dialogues, tout comme un montage ultra rapide est là pour masquer l'indigence de la réalisation.
    FaRem
    FaRem

    8 332 abonnés 9 319 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 avril 2015
    Ce film m'a beaucoup fait penser à "Les voies du destin", il y a le même traitement voir le même déroulement sauf qu'ici, il n'est pas question de soldat, mais d'un travailleur lambda et surtout les deux films ont des points communs comme la captivité et la relation assez forte qu'il y a entre le chef et son prisonnier. Le film de Jonathan Teplitzky était très fort en émotion, c'est ce qui manque à ce film, je n'ai pas réellement senti d'empathie pour le personnage, la période de captivité est à peine survolée en ce qui concerne les détails, on a pas vraiment idée de ce qu'il a subi, on peut dire la même chose sur l'histoire elle-même, on apprend pas grand chose. Le film n'est pas inintéressant, mais il manque ce petit quelque chose peut-être une tension dramatique et des acteurs un peu plus convaincants.
    BeatJunky
    BeatJunky

    142 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 décembre 2017
    Une belle déception encore.... J'ai vraiment du mal avec le cinéma de Wargnier, je trouve sa mise en scène assez pauvre, sans éclat, fade... mais certains jugent que c'est justement ce côté sobre qui font l'intérêt de son cinéma. Personnellement, pour adhérer il m'aurait alors fallu plus d'émotions et plus de précisions sur le conflit, dont on ne parle jamais longtemps. Wargnier s'est concentré sur la relation plus ou moins ambiguë entre le tortionnaire (que je n'ai pas trouvé assez expressif) et Bizot également interprété trop sobrement par Personnaz. J'aurai aimé en savoir plus sur le contexte, ça aurait donné certainement plus d'impact à l'histoire et donné plus de charisme à ce Douch dont la tyrannie ne ressort pas suffisamment à mon goût. Je m'attendais à plus passionnant, plus prenant et surtout plus émouvant. Je suis donc déçu par rapport à mes attentes mais ça reste un film qui se regarde et se laisse suivre si on est pas trop fatigué sinon, c'est le sommeil assuré!
    Yves G.
    Yves G.

    1 415 abonnés 3 436 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    "Le portail" et "Le silence du bourreau" racontent le destin parallèle de deux hommes : François Bizot, jeune chercheur à l'école française d'extrême Orient qui est emprisonné par les Khmers en 1971 et Douch, le directeur du camp où il sera retenu pendant quatre mois, devenu tristement célèbre pour avoir dirigé de 1975 à 1978 le centre d'internement S21 à Phnom Penh. Promis à une mort certaine, Bizot est sauvé par Douch qu'il retrouve vingt ans plus tard, sur le point d'être jugé devant un tribunal international.
    Les deux livres sont édifiants. Ils questionnent le bien et le mal, l'engagement révolutionnaire et la droiture morale, le pardon et le sens du jugement.
    Regis Wargnier, dont le cinéma n'a jamais brillé par sa subtilité, en tire une représentation platement académique. L'auteur d'Indochine filme à merveille les couchers de soleil sur le Mekong et les colonnes de prisonniers khmers. Mais les face à face des deux héros sont filmés dans un champ contre-champ si paresseux qu'ils en perdent toute densité
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 janvier 2015
    Médiocrité absolue. Pas de bande son en plus ! On dirait un cinéaste amateur. Quelques scènes tournées en forêt de Fontainebleau. Pauvreté des jeux d'acteurs pauvreté des mises en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 décembre 2014
    Régis WARGNIER signe ici un film plus intimiste qu'il n'y paraît. Ainsi on peut assister à la dureté des camps Khmers rouges et du trop célèbre par ces atrocités et meutres :Douch. Mais le film se recentre rapidement entre ce Douch et ce scientifique français. On livre à l'image quelques atrocités et on vous fait toucher du bout du doigt à l'idéologie dominante de ces personnes. J'ai apprécié ce film, qui certes
    ne présente pas un grand récit et un grand jeu de la part des acteurs, mais vous donne une idée de ce qu'il a pu se passer dans ce Cambodge lointain.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 décembre 2014
    Le temps des aveux est le dernier opus de Regis Wargnier, notre réalisateur français des destins individuels au sein des grands évènements de l’histoire. Malheureusement ici, il manque le souffle épique qui balaye les personnages et entraine les spectateurs à leur suite. La vérité des Khmer Rouges est à peine esquissée, l’horreur du camp de Tuol Sleng est tout juste évoquée, aussi on ne prend pas vraiment la mesure du carnage causé par Douch et le régime Khmer Rouge. Donc on n’est jamais vraiment inquiet pour le personnage central, sa relation avec Douch reste également esquissée, on aurait aimé un peu plus de profondeur pour ressentir la dualité de cet homme. Quant à l’évacuation des occidentaux de l’ambassade de France, il vaut mieux revoir « La Déchirure » pour apercevoir la difficulté de la situation des diplomates français. Dommage, tout y était pourtant : de bons acteurs, des décors splendides, un passage de l’histoire du monde des plus horribles, une histoire d’homme, et un réalisateur qui sait faire (voir Indochine) mais cela ne suffit pas.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2014
    Fallait-il porter à l'écran le récit bouleversant de François Bizot ? Ce récit "Le Portail" est en deux parties très distinctes, la détention de Bizot d'une part et d'autre part quatre ans plus tard le quasi siège de l'ambassade de France par les khmers rouges dans Phnom Penh dévastée. Il y aurait là matière à deux longs métrages En plus, plus tard, Bizot découvre que l'homme auquel il doit sa libération, Duch, est aussi celui qui a dirigé la prison S21 (ancien collège désormais musée) et est directement responsable de la torture et de la mort de plus de 10.000 personnes. Le film est trop court pour une matière aussi riche, d'où des simplifications comme celle de faire revenir Duch dans la seconde partie, alors qu'il n'en fut rien. Toutes les péripéties à l'ambassade sont extrêmement simplifiées et le temps ne semble pas peser comme il pèse dans tout le récit. On imagine que s'il avait fallu suivre celui-ci à la lettre, le film aurait été trop sinistre pour avoir le moindre succès commercial.. On mettra au crédit de Wargnier une scène finale de confrontation de Bizot avec Duch particulièrement réussie où a un reflet de ce qui fait la force du récit.
    eduboisgeoffroy
    eduboisgeoffroy

    50 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2014
    Un film très intelligemment filmé et mis en scène, pour tenter de cerner et comprendre le mécanisme mis en place par le régime Khmers qui a commis l'un des plus grand génocide du XXeme siècle.
    Un regret, pour mieux comprendre le combat qui oppose le bourreau et sa victime, les mois de captivité ne sont pas assez "fouillés" et développés.
    Très bonne interprétation de l'ensemble des acteurs et actrices.
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