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    La Taverne de New Orléans
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    3,1
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    4 critiques spectateurs

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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 164 abonnés 5 164 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2024
    Une femme de caractère qui cherche son intérêt dans l’amour, la vengeance et la trahison.
    Autour d’elle deux hommes qui cherchent à être innocentés.
    De l’aventure et de l’action pour survivre au mensonge.
    C’est pas mal du tout!!!!
    Yves Echard
    Yves Echard

    96 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2024
    C'est une perle cinephilique rien que pour Mme Presle dirigée par son mari avec 2 géants du cinéma us, le tout filmé en France en anglais presque dans accent.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 191 abonnés 4 178 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juillet 2023
    Quand il entame le tournage à Paris de “La taverne de la Nouvelle Orléans” aux studios de Boulgone-Billancourt le 10 juillet 1950, Errol Flynn a seulement 41 ans mais il est déjà bien fatigué par une vie de débauche qui le mènera à un décès prématuré neuf ans plus tard (14 octobre 1959). A peine marié à la jeune Patrice Wymore, l’acteur vient une nouvelle fois d’être accusé de viol par une mineure de 17 ans. Autant dire que les ennuis s’accumulent bien qu’il se soit toujours défendu d’avoir été un violeur, ne niant aucunement par ailleurs toutes ses autres frasques. Les excès n’ont pas encore complètement ravagé son beau visage et entravé son port altier. A peine deux ans plus tard quand il apparaîtra dans “A l’abordage” de George Sherman, les stigmates de l’alcoolisme ne pourront plus être cachés malgré tous les artifices employés par les maquilleurs et ses réalisateurs qui ne s’attardent pas sur les gros plans. La situation ne fera que se dégrader, offrant à la fin de sa carrière tombée en capilotade, une image triste et pathétique d’un homme qui à coup sûr n’ignore rien de ce qui l’attend comme il l’écrira lucidement en 1959 dans ses mémoires (“Mes 400 coups”). Dans ce film produit par William Marshall avec lequel est associé, Flynn porte encore beau face à Micheline Presle qui est alors la femme de Marshall, auparavant époux de Michèle Morgan et plus tard celui de Ginger Rogers. Le film devait être réalisé par Robert Florey qui en réalité ne servira que de conseiller au fantasque William Marshall qui décide de réaliser le film lui-même. Errol Fynn qui s’est piqué d’écriture rédige le scénario à partir d’un roman de Robert T Shannon (Fabulous Ann Madlock). Nous sommes d’évidence en présence d’une entreprise plutôt ba-roque portée par deux hommes quelque peu instables qui finiront par se brouiller. Le film n’est pas un chef d’œuvre avec une Micheline Presle toujours aussi belle faisant son possible pour crédibiliser son rôle de métisse incendiaire. De son côté, Errol Flynn est assez peu présent mais tout de même convaincant dans un rôle de justicier, amoureux de Lea Mariotte (Micheline Presle) la belle domestique accusée de meurtre. A leurs côtés un Vincent Price, grand dadais incapable de s’émanciper de l’autorité de son oncle (Victor Francen) mais aussi succulent de lâcheté et de veulerie. Un régal de le voir dans une interprétation qui préfigure la grandiloquence jubilatoire de ce que sera sa carrière à venir de maître de l’épouvante. Le tout est certes un peu foutraque et loin d’être toujours abouti mais l’étrangeté de ce film tourné pour ses extérieurs à Villefranche-sur-mer et pour le reste dans les studios de la Victorine à Nice mérite le coup d’œil pour les cinéphiles avertis et amoureux des films de genre. Mais bien sûr, pour admirer Errol Flynn à son meilleur, le voir dans les films de Michael Curtiz ou de Raoul Walsh sera plus sûr.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    760 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 décembre 2018
    Même si on peut regretter que l'ensemble manque quelque peu d'action, "La Taverne de la Nouvelle-Orléans" mérite d'être visionner pour les très bonnes performances de Micheline Presle et de Vincent Price, mais aussi pour la mise en scène agréable de William Marshall. Par contre, j'ai été un peu déçu par la prestation d'Errol Flynn, qui est par ailleurs le scénariste de ce film d'aventure qui possède une histoire qui manque de rebondissement.
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