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    Cold in July
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    3,1
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    227 critiques spectateurs

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    Danny N.
    Danny N.

    104 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2015
    j'ai été voir ce western moderne avant tout pour Don Johnson dont j'ai un immense fan dans les années 80 lors de miami vice : après un très beau retour dans django, il retrouve un personnage de cow-boy qu'il a souvent joué ( LES FEUX DE L ETE une mini série vers 1986, Harley davidson, Django...il voulait même se faire un look de cow-boy dans miami vice mais les producteurs avaient refusé

    mais comme je me doutais, à cause de sa violence, le film n'est pas sorti dans mon circuit UGC habituel à Lyon Part Dieu : j'ai été obligé d'aller courir au Pathé Cordelier à 11H pour voir le film : il y avait 2 personnes dans la salle ! et quelle idée bizarre de sortir un tel film pendant les fêtes le 31 décembre en contre-programmation !

    La première heure du film est très quelconque, je m'ennuyais avant l'arrivée de Don Johnson qui met donc 1H pour débarquer dans l'histoire ! je ne m'attendais pas à çà car il est très présent sur les photos du films et articles des magazines de cinéma...
    il porte alors le film avec son panache, charisme inchangé à plus de 60ans et son humour caustique.
    IL parait que sur le blu-ray il y aura des scènes coupées avec lui où on approfondi son personnage.

    Vu les très bonnes critiques, je m'attendais à un film plus palpitant.

    6 / 10
    ffred
    ffred

    1 728 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 janvier 2015
    L'année se termine aujourd'hui mais elle nous réserve encore de belles surprises cinéma. Parmi elles, cet excellent thriller réalisé par Jim Mikle. Une mise en scène soignée pour un scénario d'une belle précision imposant une ambiance poisseuse et lourde. Un banal fait divers va se transformer en balade sanglante tour à tour nourrie par la vengeance, la manipulation et la rédemption. De coups de théâtre en rebondissements, un suspens implacable se met en place jusqu'à un dénouement qui nous laisse pantois. Les images sont superbes, la reconstitution de la fin des années 80 discrète et la direction d'acteurs impeccable. En tête d'affiche, on retrouve Michael C. Hall (Dexter), vraiment très convaincant en américain moyen un peu dépassé par ce qui lui arrive. Il forme une improbable équipe avec le grand Sam Shepard, tout aussi taciturne que dans ses précédents rôles, et un Don Johnson renaissant, et toujours aussi séduisant avec l'âge, en détective privé. C'est par son personnage qu'un peu d'humour apparaît et détend légèrement l'atmosphère viciée de ce polar sanglant et violent quasiment jubilatoire. Au final, Cold in July nous offre donc une descente aux enfers tendue et crépusculaire qui fait de ce thriller l'un des meilleurs de l'année. Une belle surprise à ne pas rater.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 décembre 2014
    Cold In July est un petit thriller très bien fait et efficace. Le scénario se bonifie durant le film et la tournure des événements n’est pas commune. La réalisation est excellente, soignée, tout comme la photographie. L’ambiance du film est assez glaciale et permet d’accentuer la tension. L’interprétation de Sam Shepard et Don Johnson est excellente, ce qui n’est pas le cas de Michael C. Hall, encore trop dans la peau de Dexter.
    cylon86
    cylon86

    2 547 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2016
    Nous sommes en 1989 au Texas. Richard Dane, père de famille sans histoires, abat un homme qui s'est introduit dans sa maison. L'affaire est vite classée et Richard peut retourner vaquer à ses occupations. Sauf que l'homme qu'il a tué n'est autre que le fils de Russel, un truand notoire qui ne tarde pas à menacer Richard et sa famille. Alors que Richard s'inquiète, les choses prennent rapidement une tournure inattendue... Et c'est justement là que réside le charme de "Cold in July". On pourrait reprocher au film ses virages scénaristiques pas forcément crédibles mais c'est le fait de se faire balader autant dans l'intrigue qui nous prend à la gorge. Et c'est d'autant plus efficace que Jim Mickle maîtrise parfaitement toutes ses références (il suffit de voir comment il magnifie Don Johnson pour comprendre qu'il a grandi devant "Deux flics à Miami") et que sa mise en scène est d'une maîtrise incroyable. "Cold in July" s'impose rapidement comme une claque, un thriller déroutant qui prend des chemins surprenants mais qui parlent au spectateur friand de violence que nous sommes tous un peu. Doté d'un trio d'acteurs impeccables, d'une mise en scène à la photographie soignée qui sent la crasse et la sueur et d'une bande-originale qui n'a rien à envier au meilleur de Carpenter, ce thriller s'impose vite comme une claque bienvenue en cette fin d'année 2014.
    Flaw 70
    Flaw 70

    262 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2014
    Il est sans doute réducteur de faire référence à Jim Mickle par ses influences plutôt que par le travail qu'il accomplit mais lorsque l'on voit ses films, celles-ci nous sautent aux yeux. Etant un très grand fan de Carpenter et ça se voit on se dit évidemment que ça doit être un brave type dans la vie mais que malgré ses meilleurs intentions, à près tout parait que l'enfer en est pavé, de rendre un hommage aux films des années 80, il se laisse bouffer par ses illustres prédécesseurs. Car à trop vouloir les cités, Mickle oublie d'apporter sa patte à ses films, ce qui fait que l'on pense à ses références mais peut à lui et c'est dommage car du talent il en a à revendre. Mais ses films sont trop changeant malgré ses intentions d'auteurs, on passe d'un film à la Romero sympathique mais au cruel manque de moyen avec Mulberry Street pour ensuite s'attaquer à un bon film d'anticipation typé Grindhouse ou les influences de Tarantino et Carpenter sont très marqué avec Stake Land pour ensuite avoir un thriller plutôt efficace qui nous renvoie au cinéma clinique de Cronenberg avec We Are What We Are. Ici il s'attaque donc au cinéma redneck des années 80, on pense à Cape Fear de Scorsese, à Tarantino, à Carpenter, Walter Hill, etc. Il rend un vibrant hommage à ce cinéma qui le fascine et arrive à retrouver la qualité de ce genre de production qui c'était perdu avec le temps, ce qui est déjà un exploit en soi mais malgré tout le film manque cruellement d'identité et souffre de la comparaison avec ses prédécesseurs. Ecrit par Mickle et Nick Damici qui ont déjà écrit ensemble les quatre films de Mickle et qui me rappelle quelque peu le duo formé par Carpenter et Debra Hill dans les années 70. Et malgré le faite qu'ils écrivent toujours ensemble et qu'ils ont des intentions d'auteurs, on a du mal à voir des connecteurs dans leurs films, ou du moins des thèmes prépondérants, même si évidemment certaines choses reviennent et sont identifiables mais à force de vouloir trop être hétérogène ils manquent d'identités et font des auteurs maladroits et assez inégal. C'est quelque chose qu'on retrouve souvent dans leur écritures, cette aspect inégal et maladroit , ou les bonnes idées côtoie le convenu et ou la complexité se mêle à trop de facilité. Ici on ne déroge pas à la règle, le film étant adapté d'une nouvelle de Joe R. Lansdale mais en oublie son aspect dramatique, on sera vraiment surpris de voir ou le film nous emmène multipliant des retournements de situations malin et bien mis en oeuvre mais malheureusement cela s'accompagne par des facilités scénaristiques assez agaçante comme certaines situations qui sont trop téléphonées, des aspects de l'intrigues totalement passé sous silence ou certains événements qui sont trop mécaniques ( comme le faite que le héros part de chez lui pendant que sa famille dors et qui revient à chaque fois avant leur réveil ). Cela fait que l'on aura tendance à oublier l'aspect psychologique des personnages et c'est assez dommage pour un film qui essaye de poser des questions de moralités et s'interroge sur la nature et la noirceur humaine, ce qui fait qu'il rate un peu le coche et que l'on restera assez froid devant le film. Pourtant le film à vraiment une bonne histoire, les répliques sont excellentes et souvent très drôle de part leur humour noir et le trio est vraiment attachant et intéressant dans sa dynamique même si on évite pas quelques clichés. Le héros se révèle quant à lui assez intéressant malgré son apparente fadeur et son évolution même si assez discrète se révèle pertinente et bien amené posant des questions bien senti sur l'appelle de la violence et de l'émancipation. C'est un homme qui avait aucune autorité, sa femme prenant les décisions pour deux et dans cette spirale de la violence il trouve le moyen de s'affirmer et c'est assez fascinant de voir comme la violence appelle la violence. D'ailleurs c'est un héros très proche de ceux de Carpenter surtout celui de They Live, ou il partage des points communs non négligeable avec la même thématique du soulèvement et l'affirmation de soi. Pour ce qui est du casting ils sont tous très bon, Don Johnson est charismatique et drôle, Sam Shepard égal à lui-même , c'est à dire impérial dans son rôle de taiseux qui connait d'ailleurs quelques modifications dans son jeu avec un personnage plus nuancé aux développements psychologiques fort. Tandis que Michael C. Hall est excellent comme à son habitude arrivant à jouer dans plusieurs registres. Sinon la réalisation est parfaite avec un jeu de couleur très intéressant par ses variations notamment dans le final très stylisé, la BO est excellente à base de synthétiseur très années 80 et le montage se révèle classique mais habile. La mise en scène de Mickle est elle aussi vraiment stylisée avec des cadrages magnifiques contribuant à des plans de caméra ambitieux et bien pensé comme la scène du train qui se révèle habile. L'ensemble se montre assez classique mais c'est ici clairement un plus, c'est efficace et vraiment bien filmé ce qui montre tout le talent visuel que peu faire preuve Mickle. En conclusion Cold in July est un bon film, même si il est écrasé par ses influences et qu'il manque d'identité, il reste une série B efficace et bien mené qui arrive à s'élever par rapport au tout venant. Il retrouve cette efficacité old school qui aime à nous rappeller qu'il n'y a rien de tel que le bon vieux temps. En tout cas Mickle n'est clairement pas dénué de talent et signe probablement son meilleur film, il est peu être un auteur maladroit mais il reste indéniablement un cinéaste à suivre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 décembre 2014
    Ce film pour moi est un vrai Thriller comme on en voit de moins en moins, très bien filmé Sam Shepard est excellent, un très bon film, je vous le conseille si vous aimez des films avec des rebondissements et un suspense bien ficelé. Les critiques négatives ne sont pas justifiées à mon avis. Je vais au cinéma 4 fois par semaine, et croyez moi c'est fatiguant de voir à quel point beaucoup de films sont très bas de gamme et qu'ils se ressemblent tous
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 décembre 2014
    Franchement pas terrible, du scénario, au jeu d'acteurs, au dialogues ou aux images, un film TV à la limite.
    Léa A
    Léa A

    54 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 décembre 2014
    En bref, ce film évolue vers un sordide non justifié qui fait perdre au spectateur tous les espoirs qu’il a pu placer en notre anti-héros préféré Michael C. Hall (Dexter), dont le rôle ici ne lui rapporte aucun mérite. Suite sur le site !
    NoPopCorn
    NoPopCorn

    30 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    Un thriller à la Carpenter !
    Cold in July est le thriller qui termine en beauté l'année 2014!
    Un trio d'acteurs fantastique pour un thriller glaçant, à l'ambiance et la bande-originale clairement inspirées du cinéma de John Carpenter!
    Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2015
    Le film commence sur les chapeaux de roues, nous plongeant dès la première minute dans l’inquiétude d’un personnage ordinaire en danger, avec une superbe ambiance de thriller haletant où très vite, l’intrigue principale s’installe. Notre identification au protagoniste est instantanée et c’est d’ailleurs le seul personnage qui semble à peu près normal dans ce pays.
    Cette première partie est parfaite, on est absorbé dans cet univers angoissant, digne des plus grand thrillers. Un rebondissement dans la deuxième partie redistribue les cartes et change les relations de nos personnages, ce qui bascule, du même coup, les objectifs du film. Quelque peu déstabilisant, ce twist est plutôt bien amené, en douceur, et ne fait qu’attiser notre curiosité pour la suite.

    Tout le film insuffle volontairement les années 80. Jim Mickle y reproduit fidèlement l’époque jusqu’au bon goût de nos personnages : du motif "vache" de l’intérieur de la Cadillac de Don Johnson, au look coupe mulet moustache de Michael C. Hall, qui, au passage, lui va comme un gant. De la lumière à la musique, on sent que le but du réalisateur est de nous plonger dans cette ambiance 100% eighties, voir même de vouloir réaliser un film qui semblerait venir de cette époque, avec tout les codes qui vont avec. Il y arrive très bien... trop bien même. Jim Mickle en conserve ses bons côtés, comme ses moins bons. Lors des dix dernières minutes, on tombe alors dans le climax de série B d’un autre temps, avec un gunfight totalement 80's, dans un esprit très "film de vengeance". On aurait largement préféré une version revisitée et bonifiée par le regard d’aujourd’hui et digne du reste du film. Par son style très 80’s, le film rend d’ailleurs un hommage prononcé au cinema de John Carpenter.

    En bref, que l’on soit friand de thrillers, fan du cinema typé de John Carpenter, nostalgique des films eighties ou impatient de voir Michael C. Hall sur la grande toile, on prend beaucoup de plaisir à regarder Cold In July... mais à la fin, on passe du masterpiece au vieux film de série B.
    Dunno The Movie
    Dunno The Movie

    66 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    Brut et amoral, Cold In July vient boucler cette fin d’année en proposant un thriller noir à la sauce redneck, à l’ensemble recherché malgré un résultat un poil mollasson. Entre quête de vérité et justice mal placée, Jim Mickle livre un film contrasté et étouffant, habité par un casting saisissant. Malheureusement, Cold In July mise bien plus sur le coté bad-ass et bourru de ses personnages, tandis que la trame du film s’essouffle entre manque de rythme et lenteur que même le dernier acte explosif ne parvient pas à relever.
    (...)
    Critique complète à lire sur mon blog
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    Bien ficelé, l'intrigue est bonne, les acteurs y joue bien, l'histoire se tiens mais n'est pas assez creusée d'autre films avais plus de mordant

    seul truc que je ne comprend pas... le film sors au cinéma le 31/12 alors qu'il est déjà en DVD depuis le mois de septembre sur Amazon...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 avril 2016
    Un thriller américain sans prétention, mais plutôt sympathique. On prend plaisir à retrouver Michael C Hall. après Dexter.
    Chris Art
    Chris Art

    79 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2015
    (...) Juillet De Sang vous giflera (...) Juillet De Sang s’affiche d’emblée comme un des meilleurs films de début 2015, tant il assume sans complexe ses qualités de film dur et désespéré (...) l’atmosphère est épaisse, collante et poisseuse comme cette mélasse noire, dans laquelle va s’empêtrer le héros (...) On tombe dans les tréfonds de l’inhumanité dès la moitié du film, pour n’en sortir qu’au dénouement, dont on ne saurait dire s’il est heureux (...) Si Jim Mickle semble courir plusieurs lièvres, il a l’intelligence de les courir les uns après les autres et de tous les attraper (...) Il va explorer ce qu’il reste de la Bête en nous, cette sauvagerie primitive qui caractérisait l'origine de l'humanité et survit encore aujourd’hui (...) Les plans, les éclairages et les choix de mise en scène accouchent d’images d’une beauté qui dérange, tant elle contraste parfois avec la laideur de l’âme (...) La musique de Jeff Grace est à retenir (...) trois acteurs prodigieux (...) Si vous ne croyiez pas en Dieu au début du film, vous n’y croirez pas plus à la fin mais, peut-être, vous serez-vous mis à croire au Diable.
    poueto
    poueto

    8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 décembre 2014
    WTF? Une vague et pâle copie de History of Violence... sans Viggo Mortensen. Dès les 15 premières secondes, on sait déjà comment tout cela va se terminer. Soundtrack hard FM épouvantable... rien ne peut décidément sauver ce dernier navet de l'année 2014.
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