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    Cold in July
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    3,1
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    Votre avis sur Cold in July ?

    227 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    Étrange, anachronique, Cold in July fait très "film eighties" autant dans la forme que dans le fonds avec cette histoire se passant au Texas fin des années 80, sur un vendeur de cadres qui tue malgré lui un homme cambriolant sa maison en pleine nuit, et qui se retrouve entraîné à l'insu de son plein gré justement dans de sombres et sales histoires. Pendant une bonne 1ère partie, le film ne sait pas trop où il va, ou hésite entre 2 possibilités narratives (film d'autodéfense basique ou thriller policier), puis finalement laisse tomber les deux, ou les fusionne maladroitement, pour s'embarquer dans une alternative assez inattendue, entre jubilatoire et grotesque, à l'image du gunfight final, et du personnage joué (visiblement avec beaucoup de plaisir et d'autodérision) par Don Johnson. Michael C. Hall, enfin dans un vrai 1er rôle ciné, joue pas mal sans être extraordinaire, et Sam Shepard fait bien le méchant (au moins dans la 1ère moitié). Le cinéaste montre un certain talent à distiller une vraie tension dans quelques scènes, très bien (ou trop) accompagnées par une musique répétitive.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 387 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2016
    Il est souvent difficile pour un acteur de série de faire oublier son étiquette. L’ancien Dexter est pour sa part tellement brillant dans ce film de Jim Mickle, qu’il s’acquitte de sa dette pour le petit écran et peut enfin se dévoiler au grand jour au cinéma. Cold in July est un thriller froid et brutal basé sur la vengeance. Le trio qui n’a rien en commun assume l’objectif commun. Mis en scène dans des couleurs eighties, le réalisateur utilise la musique avec intelligence et le respect de ses plans. Il n’oublie pas non plus des doses d’humour qui accentuent l’hyper-violence présente dans certaines séquences. Cold in July est un long-métrage bien pensé et bien prenant.
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    pietro bucca
    pietro bucca

    70 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2016
    Plutot bien ce polar assez noir. Le film part un peu dans tous les sens, car on débute par la mort d'un cambrioleur, pour s'orienter vers une toute autre histoire. Mais au bout du compte cela n'est pas plus mal. C'est vrai que le film a un petit air de "blood simple". La bande son se marrie bien au film. Vraiment pas mal.
    7eme critique
    7eme critique

    540 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 octobre 2014
    C'est loin d'être le thriller de l'année. Il y a bien le plaisir de voir Michael C. Hall dans un premier rôle qu'il endosse parfaitement au coté de Sam Sheperd, une réalisation de qualité, mais alors niveau scénario, ce n'est pas franchement emballant ni surprenant. "Cold in July" est un petit thriller à la sauce 80's qui aide à combler une soirée vide, mais se fera oublier instantanément.
    cinéman
    cinéman

    44 abonnés 812 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2021
    Cold in July possède quelques qualités, comme un scénario un peu atypique autour de questions de justice : la légitime défense abusive, la protection des témoins qui auraient mérité la prison, ou le droit à tuer certains "pourris" que la police préfère laisser en liberté... Et puis l'originalité c'est aussi qu'on commence à un et qu'on finit à trois protagonistes contre les mêmes malfrats dans un polar assez noir. Mais pourtant la tension et le suspens, étrangement, ne prennent pas plus que ça, et on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages ou à détester ceux qu'ils combattent. Peut-être une mauvaise gestion de la forme, ou surtout qu'on ne puisse pas partager de l'empathie pour des victimes, étant donné qu'on ne les voit presque jamais.
    Shephard69
    Shephard69

    341 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2015
    Sur un scénario d'une simplicité surprenante, un thriller d'excellente qualité qui m'a fait penser à "Huit millimètres" de Joel Schumacher pour l'ambiance sombre et moite et aux films de Michael Mann pour sa photographie aux couleurs très marquées, surtout dans le final. Un film plutôt satisfaisant qui navigue bien entre une tension parfois suffocante et des passages au rythme plus lent. Le trio d'acteurs est assez intéressant. Pas mal du tout.
    Léa A
    Léa A

    54 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 décembre 2014
    En bref, ce film évolue vers un sordide non justifié qui fait perdre au spectateur tous les espoirs qu’il a pu placer en notre anti-héros préféré Michael C. Hall (Dexter), dont le rôle ici ne lui rapporte aucun mérite. Suite sur le site !
    Renaud Grimoult
    Renaud Grimoult

    26 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    Toute la première partie du film est vraiment intéressante, et plaisante, un gros effort a été fait sur la personnalité visuelle du film, et l'époque (1989) est bien rendue. Mais passé certains rebondissements, l'histoire s'enlise, en laissant l'intrigue complétement de côté, et laisse la part belle aux incohérences et faits plus qu'improbables (SPOIL) spoiler: il arrive à quitter son domicile sans être inquiété par la vie de famille, il n'a plus de nouvelles de la police alors qu'un gros complot était en cours, ils percutent le bad guy en voiture, dont la bagnole toute pourri contient toutes les preuves carrément accablantes... Jusqu'à la fusillade de fin, où là carrément les méchants sont gogols pour ne pas réussir à se défendre...

    Il y a vait un bon truc à faire, mais ça reste hélas du bas de gamme...
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    112 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mai 2015
    A peu de chose près inqualifiable, à tel point les références, les partis pris du réalisateur, sont variables, Cold in July est de ces films qui interrogent, qui peuvent laisser perplexe. Jim Mickle, metteur en scène dont voici le quatrième long-métrage, s’appuie sur un récit de Joe R. Landsdale, romancier texan polyvalent, adapte à la fois de la littérature policière et de celle, plus spécialisé, de la science-fiction. Pour ce qui concerne Cold in July, en parlant du livre comme du film, voyons plutôt ça comme du Larry Brown sous acide, du romain noir sudiste anticonformiste, portrait souvent graveleux mais parfois passionnants des populations rurales des états du sud des USA. Alors que tout commence sobrement, une malencontreuse visite inamicale, un mort par balle, une vengeance qui s’amorce, puis le revirement de situation. D’un instant à l’autre, le polar traditionnel laisse sa place à un film crument déshumanisé, film de morts et autres mandales, entre près et fils, entres inconnus. Si l’on serait tenté de saluer cette prise de risque narrative, le nihilisme quasi absent ne permet pas la totale adhésion.

    L’amorce conventionnelle bascule très vite vers une incontrôlable vendetta, motivée par l’ignominie de certaines vidéos, productions maisons d’une petite bande d’aficionados du Snuff Movie. Préservé de toutes punitions car dans les petits papiers des fédéraux, un certain fiston, bavard sur les activités du crime organisé, s’en donne à cœur joie dans des petits jeux de massacre. Ce qui ne plaît pas à son papounet et à sa bande improbable de justicier reconvertis. D’un fait divers dramatique mais tout-à-fait rationnel en regard à la culture sudiste, le personnage de Michael C. Hall, pivot du long-métrage, passe du côté obscur de la force, se lançant sur les traces d’on ne sait trop quoi en compagnie d’acolytes pour le moins douteux. L’acteur, le plus jeune du lot, remarqué, et pas des moindres, pour ses huit années consécutives dans la peau d’un certain Dexter, fait un retour remarqué sur le grand écran, impeccable dans la peau du gentil méchant. Tout ce passe bien, là aussi, en ce qui concerne le ténébreux vétéran, Sam Shepard, solide gaillard pas bien moral mais captivant de charisme. Là où les choses déraillent quelque peu, c’est lorsqu’apparaît le personnage d’un autre drôle d’acteur, Don Johnson. Ce dernier, caricature du texan fier de son statut, fait basculer le film du drame sérieux à la comédie noir un brin déstructurée.

    Inqualifiable, donc, que ce Cold in July, d’autant que le réalisateur semble être resté coincé dans les années 80 pour ce qui est de sa vision d’une bande originale. En effet, parfois assourdissante, notamment en première partie du film, la BO, composée presque essentiellement de flottements électroniques façon 1984 et suivantes, ne cadre pas toujours avec le propos. Oui, une petite histoire de meurtre dans un Texas rural sur les airs de la BO du premier Terminator, cela semble franchement bizarre. Passons. Jim Mickle, ultra référencé et se prenant sans doute pour le nouveau petit génie de l’anticonformisme, manque également quelques-unes de ses séquences d’action, notamment lors du dernier acte. Beaucoup d’idées semblent germer dans l’esprit du réalisateur, mais celui-ci ne semble pas en mesure de leur donner corps à toutes.

    On s’merveille parfois d’une certaine folie pour se renfrogner face à l’amateurisme de la séquence qui suit. Oui, au-delà de son ton résolument ‘’je-m’en-foutiste’’ sur le plan moral et narratif, Cold in July est aussi inégal, bien trop inégal. N’assument pas toujours techniquement les scènes qu’il dirige, le metteur en scène fait des choix douteux en termes de musique et manque un peu son final. Que de défauts, me direz-vous. Sans doute, mais le film, présenté à quelques occasions parmi des festivals, en 2014, mérite tout de même que l’on s’y attarde deux petites heures. 10/20
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 janvier 2015
    Excellent thriller, très complet. Divertissant, très bon jeu d'acteur, bonne musique, scénario bien rodé et surprenant, le film soulève une morale et oblige le spectateur à se poser des questions. En plus, on a le charme des années 80/90. Que demande-t-on de plus à film ?
    benzinemag.net
    benzinemag.net

    31 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2015
    Petit film de série B, pour ne pas dire de série C, Cold In July nous fait comprendre très vite qu’il ne faut pas en attendre grand chose avec un scénario sans finesse et se foutant complètement d’assurer un minimum de suivi au niveau de l’intrigue et des personnages (quid de la Police qui semblait être pourtant au cœur de l’histoire au début du film ?). Bref on avance un peu à l’aveuglette dans un film qui devient de plus en plus bourrin au fil des minutes et qui tourne carrément au grand guignol sur la dernière partie.
    Si la mise en scène tient la route, on regrettera tout de même le côté peu abouti du scénario qui lorgne vainement du côté du History Of Violence de Cronenberg mais sans jamais se révéler un tant soi peu consistant. Seul vrai point positif, la BO du film, dont les sonorités électro froides 80’s très prenantes, sonnent comme un joli clin d’œil aux musiques de John Carpenter.
    Archibald T.
    Archibald T.

    19 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2015
    Un début fracassant puis le scénario s'égare on ne sait où en perdant son fil conducteur.

    La photographie est pas mal, la musique proche de l'insupportable.

    Don Johson vaut le détour.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 février 2015
    le sujet au départ était plutôt bon .cela avait bien commencé dans le genre " thriller" mais tout part de travers ensuite avec un nouveau scénario qui nous amène intrigue par intrigue avec de nouveaux personnages qui débarquent un peu tardivement ( Don Johnson flic éleveur de porc , et Wyatt Russel un tueur détraqué sexuel lol ) on passe du triller a la façon "revervoir Dogs pour finir dans un bain de sang a la "scarface " dommage . des incohérences et des questions reste sans réponse ATTENTION SPOILER ; Ce bon père de famille qui se culpabilise a mort d'avoir tué accidentellement un voleur chez lui alors qu'il n'a pas état d'âme a flinguer tout ce qui bouge a la fin , tout comme ce flic corrompu qui disparaît en plein milieu du film.. j'ai bien aimé aussi Russel ( le père) qui veut tant revoir et venger son fils et qui fini par le flinguer .. nous resterons aussi sans réponse a l'identité de cette inconnu tué par Richart Dane ..qui voulait tant connaitre ( et nous aussi).. fin bâclée avec une tuerie qui pourrait plaire aux fans.par ailleurs on se demande bien que fait cette scène mode commando , rambo dans un triller policier . a forçe de mélanger tout pleins d'ingrédients pour faire une bonne recette on fini par faire une "daube" .
    Le Blog Du Cinéma
    Le Blog Du Cinéma

    109 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    (...) Si Cold in July, adapté d’un roman de Joe R. Lansdale, s’était contenté de suivre le chemin que son pitch initial lui suggérait d’emprunter, il aurait pu être un agréable petit polar mettant en scène un homme lambda en proie aux conséquences de sa propre violence, symbolisée par l’inquiétant Sam Shepard dans le rôle d’un père vengeur. La première demi-heure du film s’appuie notamment sur une mise en scène efficace qui met particulièrement bien en valeur les scènes importantes du script. L’intrusion de l’inquiétant Sam Shepard dans la maison de Richard lors d’une longue séquence qui gère efficacement la tension et qui est zébrée de quelques plans assez saisissants, nous laisse espérer une suite de la même intensité. Malgré les maladresses déjà évidentes du film, qui illustre de manière caricaturale le traumatisme de Richard Dune dans de courtes scènes fonctionnelles et sursignifiantes, Cold in July bénéficie d’un petit capital sympathie, bien aidé en cela par une musique électro du plus bel effet (et d’inspiration carpenterienne).
    Mais arrivé à mi-chemin, un peu avant la première heure, le film oublie son ambition initiale et complexifie inutilement son intrigue. Débarque alors Jim Bod, détective outrancier interprété par un Don Johnson qui cabotine. Son arrivée coïncide avec l’effondrement progressif du film. Dans la droite lignée de son nouveau personnage exubérant, Cold in July oublie la simple efficacité de son postulat, ainsi que sa mise en scène racée, pour débuter une toute nouvelle intrigue abracadabrantesque sur fond de corruption, de mafia et de snuff movie. Le personnage principal est d’ailleurs détruit par les rouages scénaristiques de ce retournement de situation car il n’a pas de raison logique de suivre Sam Shepard et Don Johnson dans leurs aventures (...

    L'intégralité de notre avis à propos de COLD IN JULY, sur Le Blog du Cinéma
    Léa P.
    Léa P.

    29 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    C’était parfait. De la réalisation au jeu d’acteur, du scénario à la musique, tout était d’une telle perfection que j’ai passé un long moment à me demander comment j’allais pouvoir écrire plus de dix lignes qui ne se résumeraient pas à « putain, c’était trop bien ». Le fait est que je suis encore sur mon cul, toute euphorique, là, dans mon cher RER, parce que ça faisait longtemps que j’attendais d’un film qu’il me donne autant de sensations. Je dirais bien que le fait d’être une énorme fan de Michael C. Hall n’aide pas à rester objective cette fois encore, mais ce serait tellement faux. J’attendais ce film au tournant, m’attendant à un « bon » film, mais pas à un excellent film. Une sacré claque.

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