Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Gerontophilia", comédie romantique atypique, fait passer un souffle libérateur sur la maison de retraite en montrant un couple heureux malgré ses différences.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Clément Graminiès
Il y avait probablement là le rêve d’une consolation. Si celle-ci ne s’affranchit pas de quelques maladresses scénaristiques, elle ramène le film à sa plus évidente et belle simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Jean Roy
L’histoire vous semble forcée ? C’est pourtant ce qui est arrivé personnellement au réalisateur torontois Bruce LaBruce quand il avait l’âge de la découverte du corps des autres. Cette fiction l’est donc moins qu’il n’y paraît, débouchant sur ce qui est pour nous le meilleur film de cet auteur issu du cinéma gay expérimental.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Sandrine Marques
Le road-movie métaphorise la trajectoire de deux vies qui n'auraient logiquement jamais dû se croiser. (...) Ces deux mouvements-là sont bouleversants. Faire bouger les lignes est au centre du travail de (Bruce LaBruce). Il y parvient grâce à cette romance, filmée avec tendresse et humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Bien sûr, ce n'est pas tous les jours qu'on voit un adolescent embrasser un vieil homme. Mais l'ensemble ne néglige ni l'humour ni la tendresse, fait exploser bien des hypocrisies et provoque une réflexion salutaire sur notre façon figée d'appréhender l'image du corps.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Plus « sage » que d’habitude, le réalisateur dégaine un beau plaidoyer antipréjugés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
Bruce LaBruce dépouille "Gerontophilia" de quelques-uns des éléments visuels typiques de son cinéma : les scènes de sexe et l’image DIY. Ici, c’est un cadre net, travaillé, joli comme celui d’une comédie romantique indé. Serait-ce un assagissement ? A peine, puisque le réalisateur canadien fait d’un thème jugé choquant (les relations intergénérationnelles) une fausse bleuette.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
Sans être un revival de Harold et Maud, le film revisite l'érotisme sénéscent et sa déliquescence physique sous un jour humain. Si la vieillesse est un naufrage, elle emprunte des rivages peu houleux chez LaBruce.
Première
par Eric Vernay
Bruce LaBruce adopte ici un style sobre pour raconter l'inhabituelle histoire d'amour entre un jeune homme et un séduisant monsieur de 82 ans. Une romance attachante dont la facture élégante et classique n'empêche ni l'humour acide ni l'esprit de subversion. Bien au contraire.
TF1 News
par Romain Le Vern
Le cinéaste se réinvente avec son film le plus doux et le plus accessible. (...) Les deux personnages masculins (le jeune et le vieux) sont des projections de lui : ce qu'il a été et ce qu'il va devenir. On n'attendait pas une telle mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
La transgression, marque de fabrique du cinéaste, cède ici à une délicatesse d’écriture qui s’offre quelques jolis dérapages, pimentant à merveille cette bouleversante histoire d’amour abordée sans honte ni perversion.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Pour couronner ce tableau délicat des amours alternatives, un beau personnage féminin, l'ex-petite amie du héros, littéraire et un peu gothique (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Pied de nez aux convenances stériles et aux chapelles sociales, "Gerontophilia" est une comédie romantique chaste et pudique où l’amour revêt de nombreux masques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Les excès ainsi remplacés par la tendresse d’un regard aussi vorace qu’accueillant, "Gerontophilia" se fait plus malin que militant.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sans sexe explicite, avec ce qu'il faut de dialogues savoureux et de situations inatendues, LaBruce met en scène l'amour naissant entre deux hommes (...). Joué par le grand Walter Borden, (...) ce personnage abandonné par les siens mais toujours capable de légèreté illumine le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Loin de son agressivité coutumière, Bruce LaBruce signe un film doux et tendre. Son scénario est hélas un peu trop léger.
Metro
par Mehdi Omaïs
Ce qui aurait pu devenir une œuvre sordide et glauque se transforme ici, contre toute attente, en feel-good movie lumineux. Il fallait tout le savoir-faire du cinéaste canadien Bruce Labruce, militant pour la cause homosexuelle, pour faire passer la pilule.
La critique complète est disponible sur le site Metro
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
"Gerontophilia", comédie romantique atypique, fait passer un souffle libérateur sur la maison de retraite en montrant un couple heureux malgré ses différences.
Critikat.com
Il y avait probablement là le rêve d’une consolation. Si celle-ci ne s’affranchit pas de quelques maladresses scénaristiques, elle ramène le film à sa plus évidente et belle simplicité.
L'Humanité
L’histoire vous semble forcée ? C’est pourtant ce qui est arrivé personnellement au réalisateur torontois Bruce LaBruce quand il avait l’âge de la découverte du corps des autres. Cette fiction l’est donc moins qu’il n’y paraît, débouchant sur ce qui est pour nous le meilleur film de cet auteur issu du cinéma gay expérimental.
Le Monde
Le road-movie métaphorise la trajectoire de deux vies qui n'auraient logiquement jamais dû se croiser. (...) Ces deux mouvements-là sont bouleversants. Faire bouger les lignes est au centre du travail de (Bruce LaBruce). Il y parvient grâce à cette romance, filmée avec tendresse et humour.
Le Parisien
Bien sûr, ce n'est pas tous les jours qu'on voit un adolescent embrasser un vieil homme. Mais l'ensemble ne néglige ni l'humour ni la tendresse, fait exploser bien des hypocrisies et provoque une réflexion salutaire sur notre façon figée d'appréhender l'image du corps.
Les Inrockuptibles
Plus « sage » que d’habitude, le réalisateur dégaine un beau plaidoyer antipréjugés.
Libération
Bruce LaBruce dépouille "Gerontophilia" de quelques-uns des éléments visuels typiques de son cinéma : les scènes de sexe et l’image DIY. Ici, c’est un cadre net, travaillé, joli comme celui d’une comédie romantique indé. Serait-ce un assagissement ? A peine, puisque le réalisateur canadien fait d’un thème jugé choquant (les relations intergénérationnelles) une fausse bleuette.
Positif
Sans être un revival de Harold et Maud, le film revisite l'érotisme sénéscent et sa déliquescence physique sous un jour humain. Si la vieillesse est un naufrage, elle emprunte des rivages peu houleux chez LaBruce.
Première
Bruce LaBruce adopte ici un style sobre pour raconter l'inhabituelle histoire d'amour entre un jeune homme et un séduisant monsieur de 82 ans. Une romance attachante dont la facture élégante et classique n'empêche ni l'humour acide ni l'esprit de subversion. Bien au contraire.
TF1 News
Le cinéaste se réinvente avec son film le plus doux et le plus accessible. (...) Les deux personnages masculins (le jeune et le vieux) sont des projections de lui : ce qu'il a été et ce qu'il va devenir. On n'attendait pas une telle mélancolie.
TéléCinéObs
La transgression, marque de fabrique du cinéaste, cède ici à une délicatesse d’écriture qui s’offre quelques jolis dérapages, pimentant à merveille cette bouleversante histoire d’amour abordée sans honte ni perversion.
Télérama
Pour couronner ce tableau délicat des amours alternatives, un beau personnage féminin, l'ex-petite amie du héros, littéraire et un peu gothique (...).
aVoir-aLire.com
Pied de nez aux convenances stériles et aux chapelles sociales, "Gerontophilia" est une comédie romantique chaste et pudique où l’amour revêt de nombreux masques.
Cahiers du Cinéma
Les excès ainsi remplacés par la tendresse d’un regard aussi vorace qu’accueillant, "Gerontophilia" se fait plus malin que militant.
Le Journal du Dimanche
Sans sexe explicite, avec ce qu'il faut de dialogues savoureux et de situations inatendues, LaBruce met en scène l'amour naissant entre deux hommes (...). Joué par le grand Walter Borden, (...) ce personnage abandonné par les siens mais toujours capable de légèreté illumine le film.
Les Fiches du Cinéma
Loin de son agressivité coutumière, Bruce LaBruce signe un film doux et tendre. Son scénario est hélas un peu trop léger.
Metro
Ce qui aurait pu devenir une œuvre sordide et glauque se transforme ici, contre toute attente, en feel-good movie lumineux. Il fallait tout le savoir-faire du cinéaste canadien Bruce Labruce, militant pour la cause homosexuelle, pour faire passer la pilule.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.