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    Mr. Holmes
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    3,3
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    136 critiques spectateurs

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    Chris58640
    Chris58640

    210 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mai 2016
    Il ne faut pas s’imaginer, comme je l’ai fait, qu’on va assister devant ce film à une énième enquête de Sherlock Holmes car « Mr Holmes », le film de Bill Condon, c’est tout autre chose. Il a choisit d’adapter le roman de Mitch Cullin montrant en 1947 un Sherlock Holmes rattrapé par l’âge, la solitude et la maladie. C’est dire si on est loin d’un Sherlock perspicace, alerte, malicieux et pétri d’humour british comme on l’a tous en mémoire. Du coup, le film déconcerte d’emblée et met, en tous cas pour ce qui me concerne, un peu mal à l’aise. Montrer un Holmes quasi grabataire et quasi gâteux, quel crève-cœur. C’est une souffrance que d’assister à la déchéance d’une quasi idole, et tout le mérite en revient à l’immense acteur Ian MacKellen qui, à travers chaque geste lent et difficile, chaque parole, chaque trou de mémoire, chaque regard dans le vide, parvient à rendre presque palpable et troublante la vieillesse et le désarroi. Il est accompagné de deux seconds rôles très bien tenus et très attachant : Laura Linley en gouvernante un peu souffre-douleur et le petit et adorable Milo Parker en gamin curieux et admiratif. L’Angleterre de 1947 est plutôt bien reconstituée mais comme le vieux Holmes ne sort pas beaucoup de sa jolie ferme, ce sont surtout les autres reconstitutions qui font bonne impression : celle du Londres de l’entre-deux guerre et celle de Japon de 1947. Oui, car le scénario jongle avec les flash back récents (voyage à Hiroshima) et les flash back plus anciens (la fameuse enquête), du coup on change régulièrement de décor et d’époque. Ce court passage à Hiroshima, à la recherche d’un arbrisseau très résistant qui est censé éloigner la sénilité, est particulièrement fort et réussi. Dans l’ensemble, Bill Condon rend une copie assez propre dans le genre « académique », pas de plans super créatifs ni d’effets particuliers, on est parfois proche de la réalisation des séries anglaises que l’on peut voir le dimanche soir sur France 3, avec les quelques longueurs et faux rythmes qui vont avec ! A part quelques jolis plans, le film brille peu dans sa forme, il tire même étrangement en longueur sur la fin. Je regrette aussi qu’il m’aie fallu un bon quart d’heure pour dater avec exactitude l’intrigue en 1947, tant c’était peu évident à l’image : quelques indications en bas de l’écran d’emblée aurait pu éviter que je me pose pendant de longues minutes la question « On est après quelle Guerre Mondiale au juste ? ». C’est en voyant des soldats US dans les rues de Tokyo que j’ai enfin pu lever mes derniers doutes. Quant au scénario, il n’est pas évident de le suivre car comme je l’ai dit, le film voyage sans cesse entre le présent vers les falaises de Douvres (elle est quand même très belle, la campagne anglaise !) où Holmes perd la mémoire et tombe de son lit, le passé récent avec son voyage un peu étrange au Japon et son passé plus ancien avec cette enquête qui l’obsède. Cette enquête, justement, va décevoir tous ceux qui étaient habitués et aimaient les enquêtes imaginées par Conan Doyle tant elle est d’une banalité confondante. Elle n’est pas au centre du film, comme on pourrait l’imaginer de prime abord, elle ne sert qu’à expliquer la solitude et la déchéance dans laquelle se trouve ce héros aujourd’hui. Elle joue sur des ressorts plus émotionnels qu’intellectuels, plus psychologiques que rationnels, elle est démonstrative bien plus que passionnante, pour tout dire. Je l’avoue j’ai eu un peu de mal avec ce scénario un poil confus, qui essaie de démystifier le mythe de cette manière, spoiler: qui tend à montrer que l’intelligence est aussi incompatible avec le bonheur que le sont ensemble l’huile et l’eau
    . En revanche, ce qui est astucieux et très réussi, c’est le décalage entre le vrai Holmes et le Holmes des romans que son ami Watson à rendu célèbre, ce décalage source d’un humour décalé efficace qui trouve son point d’orgue dans la meilleure scène du film. Le vrai Holmes se rend incognito dans une salle de cinéma qui projette un film de Sherlock Holmes ! Ce qu’il voit à l’écran est tellement artificiel, guidé et peu crédible que ça le fait rire nerveusement, l’homme « ordinaire » face à son double phantasmé, une rencontre savoureuse. Reste que cette scène très maline ne suffit pas à faire de « Mr Holmes » le meilleur film du moment. Je trouve même qu’il manque un tout petit peu d’humour anglais, cet humour que j’affectionne et qui aurait pu à lui seul faire basculer le film de « moyen » à «pas mal ».
    Mortred
    Mortred

    15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mai 2016
    Quand on parle de Sherlock Holmes, on ne s'attend pas vraiment ça. On attend plutôt une enquête avec fausses pistes et rebondissements. La partie "enquête" occupe seulement une partie du film et ce n'est pas forcément le plus important. On peut être contrarié par cela mais malgré tout on se laisse prendre et on s'attache au personnage principal principalement grâce au jeu de Ian McKellen car je ne suis pas sûr qu'avec un autre, l'effet aurait été le même.
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mai 2016
    Je n’ai pas lu le roman "Les Abeilles de Monsieur Holmes" de Mitch Cullin, publié en 2005 dont s’inspire le réalisateur pour retrouver l'univers créé par Sir Arthur Conan Doyle. Un monde quelque peu chahuté par la retraite de son héros qui malgré tout reviendra sur sa dernière affaire jamais élucidée. Un échec dont il ne se remet pas : cette histoire du passé liée à son exil volontaire s’imbrique joliment, mais ne sort pas de son cadre victorien. Ça joue d’abord à fond sur les clichés du personnage, sa légende qu’il va lui-même détruire en assurant que tout est de la faute de Watson et de ses affabulations sur un personnage qu’il n’a jamais été. Un point de vue original qui n’est pas suivi des faits, tant la direction d’acteurs est assez fade et la réalisation conforme à un certain style britannique du sépia.
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    Ryuka92
    Ryuka92

    9 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juin 2016
    En 1947, le plus grand détective est désormais à la retraite loin de l'agitation de Londres et aspire à vivre paisiblement dans sa petite maison de campagne entouré de sa gouvernante et de son fils. Le vieil homme est cependant toujours hanté par l'une de ses dernière affaires mais sa mémoire lui fait défaut. Il va essayer par tout les moyens de se remémorer celle-ci qui concernait un mari inquiet au sujet de son épouse fragile. Le jeune garçon de la gouvernante sera peut-être la clé du retour de ses souvenirs.
    Mr Holmes est en fait l'adaptation du roman "Les Abeilles de Monsieur Holmes" de Mitch Cullin, publié en 2005. Respectant scrupuleusement l'univers et les personnages crées par Sir Arthur Conan Doyle le film est un véritable hymne aux fans. Voilà donc le mythe dans sa retraite, sa vieillesse et sa fin de vie, un homme comme un autre fatigué, en fin de parcours écrasé sous le poids des années et sa mémoire qui peu à peu s’efface. On ne le reconnait presque plus, un homme ordinaire de l'extérieur qui accuse le poids du temps et qui malgré ses absences et pertes de mémoire reste d'une intelligence, d'une déduction et d'une logique implacable. Cela fait bizarre de voir un tel personnage en situation de telle faiblesse, on en sent un véritable pincement au cœur d'autant plus que Ian McKellen joue merveilleusement bien le vieillard sénile. Le contraste saute de suite aux yeux avec le jeune Roger, des yeux d'enfant confrontés à l'expérience de Mr Holmes. LE gamin va être pris sous l'aile du détective et leur relation va apporter une touche humaine au grand homme qui parait bien froid au début. Et au fil du temps il va s'attacher à cet enfant et c'est lui qui va faire avancer l'histoire en débloquant des bribes de souvenirs du vieil homme. Les scènes du présent s’enchaînent et s'avèrent tour à tour touchantes, émouvantes et mettent en lumière l'homme plutôt que la légende. Un regard bien différent des nouvelles de Doyle et des derniers films hollywoodiens avec Robert Downey Jr qui fait souffler un vent de fraîcheur revigorant. Les cadrages et la mise en scène sont fort classiques mais la structure même du film dynamise le tout par le système de flashs vers le passé ingénieux. Dans de nombreux films ce procédé s'avère bancale et casse généralement le rythme du film mais ici il est utilisé avec maestria. Tout est clair, rien n'est confus, les trois époques sont bien distinctes et cela rend passionnant le récit et le suivi de l'affaire policière. Un magnifique récit maîtrise, touchant, émouvant où la logique de Holmes se voit bousculer par ce qu'il ressent, lui et les autres. Le changement entre le vieux Holmes et le plus jeune est impressionnant et c'est là que l'on salue la formidable performance d'acteur de Ian McKellen qui rajeunit et redevient le fin limier vif d'esprit d'antan à la classe dévorante. Jongler entre les deux époques de sa vie n'a pas dû être simple à jouer et même simuler la dégradation de sa santé n'a pas du être de tout repos. Le film s'attarde donc sur l'homme et non la légende pour révéler ses erreurs, ses regrets, ses ressentiments. Un Sherlock Holmes sur qui la solitude pèse et qui pense que se rend compte que sa logique et son intelligence ont aussi nuit à certaines personnes. C'est comme si au seuil de sa vie il fait un bilan et commence à en comprendre le sens, se réveille et éprouve des sentiments qu'il n'avait pas saisit avant. Tout son entourage est mort et ses plus proche comme sa gouvernante de Baker Street et le Dr Watson sont mort, et on ne voit pas leur visage du film. De dos, ou leurs mains ect pour renforcer cette idée de solitude et de dire que finalement même en étant des compagnons qu'ils étaient peut-être plus des inconnus. La fiction des livres écrit par Watson se mêle aussi à la réalité du film et se joue de celle-ci en niant le deerstalker et la pipe, des éléments propres au mythe de l'oeuvre originelle du véritable auteur. Sur une forme assez classique on a là un film remarquable qui respecte l'oeuvre originale et s'avère des plus passionnant si on s'intéresse un tant soit peu au légendaire détective anglais. Mais surtout un Holmes inédit dans un rôle encore jamais vu pour lui, d'une homme ordinaire se battant contre la vieillesse et la solitude et qui découvre son humanité. Une performance de haut niveau pour Mckellen qui rend le tout véritablement touchant et poétique tout cela renforcé par de bien belles compositions musicales.
    Marvelll
    Marvelll

    87 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2016
    Mr. Holmes n’est pas la nouvelle extraordinaire aventure de Sherlock Holmes. Il s’agit au contraire de son enquête la plus intimiste. Le tout sur un rythme lent (parfois trop), mais poétique et avec un superbe Ian McKellen. Le long-métrage de Bill Condon a réussi à m’entourer d’une aura joyeuse comme seuls quelques rares films arrivent à faire, allant même jusqu’à me toucher au point de me fait lâcher quelques larmes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 avril 2016
    Film intéressant qui aborde un thème jamais traité pour Sherlock Holmes, la vieillesse.
    De bons acteurs et un suspens qui se tient.
    tibelnet
    tibelnet

    4 abonnés 149 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 avril 2016
    Ultra désirable sur le papier,ce récit sur la dernière enquête & la fin de vie pathétique du célèbre détective,intéresse mais déçoit & ennuie...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 avril 2016
    Présenté hors compétition à la Berlinale 2015, Mr Holmes est une nouvelle incarnation d’un personnage mondialement connu… mais aussi l’adaptation d’un roman très différent de ce qu’on connait déjà…malheureusement sans grand intérêt ♥♥

    En 1947, Sherlock Holmes, depuis longtemps à la retraite, vit paisiblement dans le Sussex, avec sa gouvernante et son fils, un détective amateur. Mais la quiétude recherchée n’est que de façade… Une affaire vieille de 50 ans le hante encore et toujours. Malheureusement seuls quelques fragments sont encore vivaces : une altercation avec un époux en colère, un lien profond mais mystérieux avec son épouse fragile. Si son légendaire pouvoir de déduction n’est plus intact, et si Watson n’est plus là, Holmes va se lancer dans son ultime enquête, la plus compliquée de sa longue carrière…

    Nouvelle adaptation…qui, hasard du calendrier, sort le même jour qu’une autre, celle de Madame Bovary… Quelques mois seulement après le Journal d’une femme de chambre, cela commence véritablement à faire beaucoup. Certes, pour ces nouvelles aventures de Sherlock Holmes, c’est en fait l’adaptation d’une nouvelle de Mitch Cullin, « A Slight trick of the mind » qui imagine le héros anglais comme un être vivant (entendez par là réel) et dont les aventures ont en fait été retranscrites dans des romans à succès…Mais passées les premières minutes de découverte du scénario (le roman tout comme le film s’intéresse au personnage, à ses écrits ainsi qu’à plusieurs histoires fantasmées), force est de constater que la sauce ne prend jamais vraiment…

    Doit-on blâmer l’adaptation du scénario, la réalisation ou même l’interprétation des personnages ? A vrai dire un peu de tout cela…y compris des acteurs tels qu’Ian McKellen ou Laura Linney (méconnaissable) qui peuvent s’avérer excellents à une minute et trop poussifs la minute suivante. La preuve qu’en étant mal dirigés, des comédiens aussi grands soient-ils peuvent décevoir.

    Les minutes se suivent avec le désintérêt du spectateur et ce petit drame policier qui aurait pu faire le bonheur de la Grande Bretagne finit par perdre la Grâce Britannique…Bill Condon à qui l’on doit deux Twilight mais également Dreamgirls, n’est certes pas anglais, mais il aurait sans doute gagné à regarder certain des films de Stephen Frears, notamment Philomena dont l’aspect bucolique apportait subtilité au personnage principal. Au lieu de cela, il ne s’intéresse qu’à ses personnages de trop prêt, jamais à leur environnement ou aspect contextuel. Après le très moyen Fifth Estate il y a deux ans, Condon semble constituer sa carrière de petites casseroles.

    Fait assez étonnant, la traduction du roman de Cullin en français est en fait « Les Abeilles de Monsieur Holmes », ce qui parait plus à propos que son titre original (« A slight trick of the mind ») et qui souhaite faire un jeu de mots entre les enquêtes et les absences de mémoire de Sherlock Holmes. .. Car dans cette adaptation cinématographique, le pari de réussir à lier le thriller et le drame s’avère vain.

    Nota Bene : Avec cette adaptation 2015, Ian McKellen est la douzième incarnation du héros de Sir Arthur Conan Doyle, six ans après Downey Jr., cinq ans après Cumberbatch et surtout quatre-vingt-treize ans après le personnage initial interprété par John Barrymore… 93 c’est aussi l’âge qu’Ian McKellen est censé avoir dans cette incarnation 2015. Clin d’œil de la production à l’œuvre littéraire originale sans doute.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 avril 2016
    Mr. Holmes (2015

    Sherlock Holmes est vieux et prend sa retraite à la campagne. Il essayera de se rappeler et de mettre sur papier une de ses dernières affaires, mais la maladie le guette et sa mémoire commence à lui faire défaut.

    Pourra-t-il encore compter sur son esprit et sur son raisonnement ?

    Le film prend le choix de mettre en parallèle trois histoires, deux enquêtes se passant à des moments et à des endroits différents, et le moment actuel, dans ce cottage anglais à la campagne. C’est intéressant car l’histoire des flashbacks est racontée au fur et à mesure de Sherlock qui se les rappels, certains bout n’arrivant que de manière abrupte, à la façon d’un rêve qui reviendrait subitement en mémoire. Et les éléments déclencheurs sont liés d’une histoire à une autre, tandis que le mystère est maintenu par le mauvais état de sa mémoire et alors qu’il a déjà résolu le problème mais n’arrive pas à s’en souvenir.

    Sherlock Holmes n’est pas celui que l’on connait, mis sur papier par son collège le docteur Watson, tel un personnage atypique, coiffée de son célèbre chapeau et de sa pipe. Non, c’est un homme normal, avec ses propres gouts et peu d’exubérance. Mais le temps passant, il est devenu acariâtre, et son magnifique esprit se perd, les souvenirs se mélangent et des détails importants de sa mémoire sont hors de sa portée. Aujourd’hui âgé, il sera confronté à un problème, bien qu’à l’impact moindre que ses précédentes affaires, il s’y investira entièrement.

    Ian McKellen est très bon dans son rôle. Il transmet et donne à son personnage une personnalité renfrognée, maussade et grincheuse, mais également la peur et le doute qui accompagne la perte de mémoire, comme si le sol se dérobait et qu’il n’était plus en contrôle de la situation.
    Le personnage de Milo Parker est intéressant, malin, et bousculant les habitudes de Sherlock. Il sera la touche de créativité, le « petit jeune qui remet en question les dires de l’ancien ». C’est classique mais la relation est sympathique.
    Par contre, Laura Linney est légèrement décevante, servant plus d’outils à l’histoire en tant que force de contradiction face à Holmes qu’à faire avancer l’histoire.

    Le film est bien filmé, avec de beaux décors et une utilisation privilégié de la nature, des images de la campagne, et des décors en extérieur, donnant une sensation de calme à l’œuvre.

    Je noterai également que la technique et l’attention apporté au maquillage de Ian est remarquable, lui faisant perdre une fois 15 ans, et dans la scène suivante lui en ajoutant 10. C’est organique et aide à nous faire plonger dans le récit.

    Un film agréable, pas exubérant, sobre et sympathique.
    7/10
    Annick D.
    Annick D.

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2016
    J'aime bien l'histoire du vieux monsieur et du petit garçon. Il se trouve que le vieux monsieur est Sherlock Holmes mais ce n'est pas le plus important.
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2016
    J'ai vu un film... très touchant sur la dernière enquête du grand Sherlock... Le film est beau et touchant car il présente un personnage sur le déclin de la vieillesse, et on vit et souffre avec ce personnage, magistralement interprété par Ian McKellen qui est vraiment un très grand comédien. Le film nous fait plonger dans le passé de Sherlock et nous replace dans son présent pour le voir passer sa vie en revue... Les relations entre Sherlock et sa légende sont vraiment très émouvant... On découvre un personnage très humain, avec sa part inconnue, ses relations proches avec Mr Watson et sa délicatesse de comportement. C'est un portrait intimiste d'un vieil homme qui a inspiré une légende... On ne se lasse pas d'en savoir plus sur Mr Holmes, et ce film apporte sa pierre à l'édifice.
    this is my movies
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    701 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2016
    Après avoir signé les 2 derniers volets de la saga "Twilight", B. Condon revient vers un cinéma plus indépendant, avec un thème bien plus adulte et bien plus profond. Pourtant, il n'est pas devenu un grand cinéaste entre temps et son film reste assez sage visuellement. Il y a pourtant de bien belles scènes et il dirige 2 grands acteurs qui donnent le meilleur d'eux même : I. McKellen, époustouflant, et L. Linney, en retrait durant une bonne partie du film et qui fait exploser son talent durant le dernier tiers. Le film progresse bien et se révèle assez prenant, explorant une face pour le moins incongrue du mythe Holmes, en le respectant tout en apportant une nouvelle pierre à la légende, preuve qu'un tel personnage, entre les bonnes mains, reste inépuisable. C'est donc un drame doublé d'une enquête policière qui ne manquera pas d'étonner et de déstabiliser parfois mais qui reste également spoiler: un poil trop conformiste et sans réel prise de risque dans son final
    , ce que j'ai moyennement apprécié. A voir toutefois pour les fans de Holmes ou de beau cinéma. D'autres critiques sur
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 février 2016
    M. HOLMES n'a pas perdu son redoutable sens de la déduction mais sa mémoire et c'est bien normal à son âge dans le film, lui joue des tours. Il parviendra tout de même à la retrouver mais pas seul. Si vous voulez le savoir, aller voir ce film qui vaut le détour. évidemment mon cher Watson.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    Une bonne intrigue, un bon jeu d'acteur mais un rythme assez lent pendant les 3/4 du film. L'accélération de la fin redonne un souffle salvateur a l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 juillet 2016
    Une petit film agréable qui développe un point de vue original sur la fin de vie du célèbre détective. So british. La simplicité de l'intrigue mêlée aux problèmes de mémoire du héros donne une aventure agréable à suivre. J'aurai aimé découvrir un Ian McKellen dans un Holmes plus punchy mais cela serait plus convenu. Là, il joue très bien sa partition de fragilité.
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