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    The Lost City of Z
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    471 critiques spectateurs

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    Mike M
    Mike M

    3 abonnés 145 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2020
    L ’histoire vraie de Percival Harrison Fawcett, un des plus grands explorateurs du XXe siècle.
    Percy Fawcett est un colonel britannique reconnu et un mari aimant. En 1906, alors qu’il s’apprête à devenir père, la Société géographique royale d'Angleterre lui propose de partir en Amazonie afin de cartographier les frontières entre le Brésil et la Bolivie. Sur place, l’homme se prend de passion pour l’exploration et découvre des traces de ce qu’il pense être une cité perdue très ancienne. De retour en Angleterre, Fawcett n’a de cesse de penser à cette mystérieuse civilisation, tiraillé entre son amour pour sa famille et sa soif d’exploration et de gloire…
    RamiValak
    RamiValak

    7 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2020
    Romantisme

    Le film de James Gray le plus romantique, il délaisse les dilemmes profondément humains pour quelque chose de plus grand (pas au sens noble), et filme cela magistralement. Le film est traversé par la grâce à de nombreuses reprises, la dernière scène dans la jungle est totalement hypnotisante, quand le personnage s'est intégralement fait rongé par sa quête de l'aventure. Le plan sur sa fille courant derrière la voiture quand il part pour sa dernière expédition est absolument déchirant. Les scènes dans la jungle sont admirablement filmées, et d'une façon assez originale, car elle n'est jamais montrée comme destructrice, malgré les dangers que bravent les personnages, Gray ne filme jamais la jungle de manière angoissante. Le film n'est que rarement un survival, ce n'est pas le but du réalisateur, il ne semble pas vouloir faire son Fitzcarraldo. Le film est aussi porté par d'excellents comédiens, Robert Pattinson est vraiment génial dans le film, Charlie Hunnam évidemment et Tom Holland montre qu'il a un certain potentiel d'acteur. Film envoûtant en tout point, malgré que je comprenne pas le sens de son dernier plan, c'est un film réussi en tout point, j'en retiens juste quelques longueurs qui auraient pu être évitées.
    Kico S.
    Kico S.

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mars 2020
    j'ai trouvé ce film extrêmement soporifique. beaucoup de scène bâclé et incohérente. je m'attendais à mieux. très décevant.
    perle de rosée
    perle de rosée

    70 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2020
    Ce film m'a ennuyé. Il manque de rythme. Dommage car la thématique est excellente. J'ai préféré Brad Pitt dans "7 ans au tibet".
    Daeriss W.
    Daeriss W.

    21 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2020
    Le gout et le talent des britanniques pour explorer des contrées inconnues n'est plus à prouver. Leur talent de narrateur, d'acteur est franchement grandiose. Hélas, cette production à je ne sais quoi d'irréel. Malgré le thème hautement intéressant, le réalisateur n'a hélas pas su créer l'ambiance adéquate. Le groupe d'explorateurs se promènent dans une Amazonie propre, quelques piranhas voraces, 1 panthère égarée mais pas de gibiers et encore moins de moustiques et autres animaux qui peuplent cette jungle. La faune et la flore semblent plutôt sortie du jardin botanique de Kew Garden tellement tout semble être bien ordonné. Pour faire couleur locale sans doute, on voit quelques tribus avec lesquelles les explorateurs prennent contact, mais même ces passages sont d'une platitude navrante. Ce film ne parvient hélas pas à convaincre et c'est dommage car le thème est lui, prenant mais la narration n'est pas à la hauteur de la grandeur du personnage dont la vie est narrée
    gniolf
    gniolf

    1 abonné 39 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    Film envoûtant à bien des moments mais je n'ai pas été convaincu par le jeu d'acteur de Charlie Hunnan...
    Alain D.
    Alain D.

    604 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 décembre 2019
    Un très bon film d'aventure historique adapté et magnifiquement mis en scène par James Gray. Son scénario nous conte une véritable odyssée humaine et édifiante. Gros budget aidant, il nous offre une admirable reconstitution de la jungle Brésilienne et une importante figuration de tribus amazoniennes.
    Outre une très belle photographie, cette réalisation nous offre également de bons jeux d'acteurs avec un excellent Charlie Hunnam dans le rôle principal du véritable Colonel et explorateur Percival Harrison Fawcett. Il est très bien entouré par Sienna Miller (sa femme dans le film), Tom Holland (Jack le fils du Colonel) et Henry Costin le compagnon fidèle de l'explorateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    ça fini comme inception et la toupie
    le film m'a captivé de bout en bout, avec une pause à chaque fois il(s) tente(nt) de trouver cette cité !






    on voit rien de cette cité , mais on est absorbé par l'histoire
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 décembre 2019
    L'histoire et la moralité est bonne. Bon film même si je m'attendais à plus d'aventure en Amazonie. J'ai eu un peu de mal parcontre avec le jeu d'acteur de Charlie Hunman...
    Marc L.
    Marc L.

    47 abonnés 1 611 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 septembre 2019
    Ce fut l’un des flops les plus coûteux de 2017. Comme le veut la règle, ce fut aussi l’un des plus injustes, celui d’une oeuvre brillante qui ne sut pas rencontrer son public, sans compter qu’on tenait là un des ultimes représentants de la grande épopée à l’ancienne, en opposition frontale des Destruction-porn aux vagues effluves de science-fiction et Marvelleries bariolées qui trustent les sommets du box-office contemporain. Il est tout aussi exact que ‘The lost city of Z’ fut pensé, écrit et réalisé par un réalisateur new-yorkais très “européen”, dont les films n’ont jamais convaincu outre-Atlantique et, en outre, c’est la première fois que James Gray délaissait le cadre new-yorkais, même si le héros de l’heure partage un certain nombre de points communs avec les autres figures de l’univers du cinéaste. Pourtant, il mériterait tellement qu’on s’attarde à ce qu’il raconte, ce récit des explorations du major Percival Fawcett, dont les nombreuses expéditions en Amazonie soulevèrent l’enthousiasme des foules durant les premières décennies du 20ème siècle, et qui disparut corps et âme dans le Mato grosso en 1925, alors qu’il recherchait une mystérieuse cité perdue dont il était convaincu de l’existence et qu’il avait baptisée “Z”. Quoique de nombreuses expéditions de secours aient été mises sur pied dans les années qui suivirent pour découvrir ce qui lui était arrivé, Fawcett tomba dans un relatif oubli avant de connaître un regain d’intérêt inattendu pour avoir servi d’inspiration probable à la création du personnage d’Indiana Jones. ‘The lost city of Z’ débute sous des auspices classiques, et ne cherche d’ailleurs pas autre chose qu’à se faire une place au sein des classiques du cinéma américain : insatisfait de sa position sociale et professionnelle, Fawcett accepte une longue mission de topographie en Amérique du sud, sans se douter que c’est au plus profond de la jungle qu’il va rencontrer sa véritable raison d’être. On suit les périples de Fawcett et de ses hommes à travers les zones inexplorées de l’Amérique du sud, les dangers qu’ils affrontent, les contacts délicats avec des indigènes qui n’ont jamais croisé d’hommes blancs, la conviction qui se forge peu à peu chez lui que l’Amazonie n’est pas la terre primitive que tout le monde voit en elle et qu’elle a pu autrefois abriter des civilisations prospères. Au fil des voyages, c’est à la métamorphose totale d’un homme qu’on assiste, celle d’un militaire pétri des a-priori de son temps qui quittait sa famille la mort dans l’âme à un aventurier qui finit par s’abandonner de manière obsessionnelle à sa quête de vérité et à la recherche d’une forme d’utopie dont il trouve par comparaison son milieu social et géographie tristement dépourvu : Fawcett trouve dans l’enfer vert le défi qu’il attendait, le cadre idéal pour le dépassement de soi et le triomphe de ses idées et de sa volonté de vaincre et de réussir l’impossible. La dernière expédition se déroule presque dans une atmosphère mystique, où le mythe et l’épopée qu’il croit être en train d’écrire avec son fils lui semblent plus essentiels que les contingences réelles. En filmant la jungle au plus près, sans épate, de manière presque minimaliste, sans chercher les panoramas monumentaux qui imposeraient son immensité au spectateur, sans céder à l’envie d’exagérer les menaces qui pèsent sur les explorateurs mais sans jamais recourir à l’humour ou au second degré pour dédramatiser la progression, Gray réussit un coup de maître : peu de réalisateurs ont réussi à capter la dangerosité de la forêt tropicale, sa moiteur qui s’insinue partout, sa chaleur qui plonge peu à peu les hommes dans une transe proche de la folie. Des gens comme Francis Ford Coppola, Werner Herzog en font partie : il n’est d’ailleurs pas difficile de mettre en parallèle ce voyage fluvial et celui d’Apocalypse now, en direction d’un lieu mythifié où les normes humaines ont été abolies, qui se double d’une véritable odyssée intérieure pour ses participants...et il n’est pas davantage impossible de voir l’orgueil et la démesure qui animent Fawcett faire écho à ceux de Aguirre ou de Fitzcarraldo, à qui la jungle a insufflé sa démesure avant de les briser. Que Gray se rassure : échec au box-office ou pas, il l’a clairement tourné, son classique du cinéma américain….et a trouvé sans difficulté sa place auprès des maîtres.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 septembre 2019
    «  A man’s reach should exceed his grasp ». Formidable leçon de vie que James Gray s’efforce de nous offrir au fil du superbe The Lost City of Z, nouvelle fresque du réalisateur qui remet les récits d’aventure au goût du jour, dans laquelle il nous raconte, en véritable romancier amoureux de la découverte, comment l’eldorado d’un explorateur signifie bien plus qu’une simple découverte. Tellement plus.

    Entre biopic éthérée et récit d’aventure romanesque à la saveur Indiana Jones et aux décors Coppoliens (d’inspiration Apocalypse Now), James Gray se mue en cinéaste-magicien audacieux, et redonne ses lettres de noblesse à un genre trop injustement tombé en désuétude ces dernières années.

    C’est par fierté familiale et en quête d’un honneur dont sa généalogie l’a injustement privé que l’officier Percy Fawcett se promet de redorer le blason de son nom en se muant en apprenti explorateur qui s’élance alors dans l’inconnu de l’Amazonie. On suit alors l’équipage à travers un bateau miteux, un train bondé aux odeurs d’épices... et on se retrouve alors à leurs côtés, sur un fragile radeau, au beau milieu d’une jungle menaçante au parfum exotique. On déambule dans les recoins hostiles de cette masse broussailleuse comme dans un mirage. La magie des décors sème en nous cette sensation volatile que les premiers explorateurs ont du ressentir à la découverte d’un monde encore inexploré. Cette sensation d’aventure. Si sa mission était d’abord de seulement dresser une carte fiable de l’endroit visité, Fawcett découvre quelques vestiges d’une civilisation. Obnubilé, son intuition - celle qu’une cité perdue se trouverait au milieu de l’immensité de la jungle - se transforme lentement en une irrépressible obsession.

    De retour au pays, il se heurte au scepticisme ambiant de ses pairs. Les récits fantasques de l’explorateur ne conviennent pas aux petits esprits conservateurs de l’aristocratie anglaise. L’existence d’une civilisation avancée autre que celle occidentale dépasse leur imagination étriquée. Fawcett repart néanmoins, et le film se construit alors au rythme de ses allers-retours. Entre odyssée dans l’inconnu et retour à la mère patrie aux côtés de sa famille - seulement entrecoupé d’un bref passage sur le champ de bataille lors de la Première Guerre Mondiale, où, confronté à d’occultes prophéties qui lui confirmeront que son destin s’écrira sous l’égide de l’aventure, Fawcett comprend que la finalité de son existence ne réside que dans la découverte de la cité d’Or.

    À mesure que chaque scène s’agence lentement et silencieusement (la bande-son est quasi absente du film), on découvre la profondeur du récit orchestré par James Gray. The Lost City of Z regorge d’enjeux, tous abordés avec une sobriété apparente mais une efficacité redoutable. Il est question d’honneur, de famille, de paternité difficile, de la société méritocratique de l’époque, d’amitié, de détermination et de découverte de soi selon le rapport à « l’autre ». À mesure que le récit continue, on se plaît à se perdre sur les rivages des rivières, où la nature troque son apparente hostilité pour une étonnante tranquillité, avant que 2-3 coups de flèches d’indigènes viennent nous rappeler que l’Homme blanc n’est jamais le bienvenu sur ces terres. Entre quelques mouvements de caméras épurés où l’on distingue des visages apeurés, on comprend vite que la nature n’est pas un endroit que l’occidental peut librement appréhender.

    Les années passent. Fawcett repart en expédition, cette fois accompagné de son fils, animé par la même foi inexorable que son père. Cette détermination sans faille de mener à bout cette entreprise peut être taxée de psychose maladive par certains, mais la quête qu’un père et son fils entreprennent ici doit se lire par le prisme du symbolisme : c’est la recherche d’un sens à la vie qui est ici dépeinte. L’existence ou non de cette cité est bien peu importante. Et le mystère doit rester complet. Jusqu’à l’ultime plan qui laisse une silhouette doucement s’éloigner dans les nébuleux recoins de la jungle et ses secrets
    Adrien J.
    Adrien J.

    112 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 août 2019
    C'est beau, puissant et hypnotisant. James Gray signe ici un immense film qui propose aux spectateurs un expérience sublime, un voyage cinématographique des plus réussi.
    Shirokuromelt
    Shirokuromelt

    25 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2019
    Le film raconte l'histoire émouvante et exaltante du major Fawcett, (dont la trajectoire est plutôt remarquable, c'est une histoire, une vie à connaître), et il le fait bien, cela suffit à rendre le film très prenant et très beau.
    La réalisation restant cependant très classique, c'est un film qui ne gagne pas spécialement à être revu, mais son premier visionnage vaut largement le détour.
    Valentino B
    Valentino B

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 août 2019
    J'ai trouvé ce film génial, magnifique, poétique. Emporter de la première à la dernière minute.
    Ce film m'a même fait m'intéresser à Percy Fawcett. Un personnage que je ne connaissais pas.
    Fabien S.
    Fabien S.

    568 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2019
    Un très bon film d'aventures et de guerre de James Gray . Un bon long métrange intense rempli de bravoure.
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