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    The Lost City of Z
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    471 critiques spectateurs

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    Alexandre P.
    Alexandre P.

    5 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mars 2017
    Très moyen... Scénario mal ficelé. Je ne me suis jamais fait emporter par l'histoire. Quelques scènes intéressantes.
    halou
    halou

    125 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2017
    James Gray et son grand talent pour nous faire vivre des histoires originales réussit une nouvelle fois à nous tenir en haleine. Inspirée d'un livre qui retrace la vie atypique d'un explorateur, le film y arrive grâce d'abord au déroulement lent mais minutieux de l'histoire (ce qui conduit certains spectateurs à décrocher), ses décors soignés qui rend l'atmosphère unique, ses personnages attachants et dense. Une aventure profonde et humaine à l'ambiance parfaitement réussie à découvrir.
    Richard L.
    Richard L.

    15 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 mars 2017
    Petit film assez nul et plein d'invraisemblances comme lorsque les explorateurs sont censés vouloir atteindre la source d'un fleuve en descendant le courant.. Dans la lignée des films de série B, on ne croit pas un seul instant à cette histoire pourtant inspirée de faits réels selon les auteurs du scénario. Passez votre chemin.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 mars 2017
    C'est assez simple: je suis allé voir ce film au cinéma car je pensais voir des images spectaculaires de l'Amazonie, de la jungle, et de l'aventure de façon assez rythmée. Il n'en est rien, déception. Pas assez de belles images luxuriantes, d'épopée, l'apparition des indiens est finalement assez fugace. Les héros sont tous très beaux (Charlie Hunnam, Sienna Miller, Robert Pattinson), le méchant est assez vilain. Finalement ce que j'en retiens c'est l'atmosphère si particulière qui règne chez nos voisins britanniques, un vrai régal, et le jeu tout en retenue de Charlie Hunnman que je ne connaissais pas et qui est à surveiller.
    theyoguishow
    theyoguishow

    7 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mars 2017
    Quel ennui ! Zzz..... (et pourtant j'adore les films d'aventure). A un moment donné faudrait peut-être arrêter de filmer comme dans les années 50. C'est plan-plan, il ne se passe presque rien pendant tout le film à part spoiler: une pauvre petite attaque des indigènes à un moment donné (c'est le summum du film en terme d'action et c'est en plein milieu, il reste encore 1h20
    ... crier au génie devant ce film, c'est abusé (j'étais avec un pote, il a encore plus pris cher que moi) : des films comme "Mission" sont bien plus prenant. Bon j'y étais aussi parce que j'adore l'acteur, mais il peut pas sauver les meubles devant tant de lenteur
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    47 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2017
    Un très film ou il est très intéressant de voir combien en 1906 il est difficile de faire comprendre à la bonne société britannique et surtout des hommes l'importance de cartographier ses endroits si peu hospitalies pour ses hommes en proie aux Indigènes aux animaux aux insectes et du manque de nourriture pour découvrir cette fameuse city Z excellent.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    186 abonnés 1 090 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2017
    Un film d'aventures intéressant et beau mais manquant de souffle.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur
    Franz A
    Franz A

    28 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2017
    Série Z pas perdue.

    Bien loin de moi la volonté de mettre en cause le talent de James Gray dont je partage le plébiscite critique et public en dépit de réserves face à de possibles accents mélodramatiques à mes yeux excessifs comme par exemple ceux de Two lovers. Il ne faudrait pas pour autant, au nom de ce talent attesté par la qualité majoritairement reconnue à la plupart de ses films, que James Gray reçoive un traitement particulier comme d'autres avant lui pour des raisons analogues. Ce traitement est l'impunité critique.
    Tout se passe comme si réussir plusieurs fois abritait de tout échec. Se met en place un bouclier de bienveillance protecteur renforcé par l'usage de lunettes compassionnelles qui empêcheraient désormais toute objectivité. Tim Burton, Woody Allen, Clint Eastwood, Night Shyamalan (que la constance dans le ratage a fini par être sanctionnée -avant une actuelle miraculeuse renaissance ?-), Pedro Almodovar... sont quelques représentants de ces artistes protégés par la grâce d'indéniables réussites.
    On peut expliquer cette irrationalité apparente par la difficulté de lutter contre la passion idolâtre que le cinéma excelle à nourrir ou de faire simplement l'aveu qu'un amour pour un réalisateur a été trahi. Cette difficulté se complique chez les critiques de la presse officielle d'enjeux et d'intérêts économiques croisés qui ne favorisent pas la liberté d'opinion.

    Ce préambule libère le cri qui m'enrage : Quel film raté que "The lost city of Z" ! Quel insurmontable ennui que le visionnage de cet interminable objet indigeste. Je ne vois rien qui puisse être sauvé tant s'accumulent les traits d'un navet parfait. Les acteurs d'abord. Tous sans exception semblent atteints d'une paralysie partielle qui empêcherait la manifestation d'expressivité émotionnelle ou de tout geste doté d'une mobilité à peu près ordinaire.
    Le scénario ensuite. La métamorphose de cet officier avide de réussite en explorateur porteur d'une mission civilisatrice universelle est complètement invraisemblable. L'indifférence portée au fondement historique de cette fameuse city of Z ôte à l'intrigue même du film toute plausibilité et tout intérêt. De là, un écueil de fond plus redoutable encore : L'impossibilité de toute compassion vis-à-vis de ce héros. Son sacrifice d'une vie de famille décrite comme idyllique au nom d'un invraisemblable motif devient le symptôme d'une insondable stupidité, doublée d'une profonde irresponsabilité paternelle (3 enfants l'attendent toute leur vie) et couronnée par une ambition sociale indéfendable. Dès lors, l'abdication de l'épouse pourtant portraiturée comme une féministe d'avant garde renforce le ridicule de l'ensemble.
    Par malheur, le spectacle ou l'action ne fournit aucune compensation à moins de s'extasier devant l'apparition éphémère de quelques bébêtes et de paysages dignes d'un banal jardin exotique.
    Enfin, il y a la mise en scène. Là, le traitement linéaire de 2h20 est intellectuellement pénible et physiquement épuisant. Dès lors, l'ambition artistique pourtant estimable de certaines reconstitutions échoue à séduire pour s'épuiser dans le ridicule. En outre, et paradoxalement la traduction de la durée de l'action réelle, étendue sur 20 ans, est un échec. Certes, les acteurs se rident mais uniquement sous l'effet du maquillage, car le temps, interminable dans la salle de cinéma est absent à l'écran. Trois expéditions successives en Amérique du sud sont restituées comme on fait ses courses à l'épicerie du coin et leur immatérialité les fait sombrer dans l'abstraction. La dernière de ces expéditions, censément, l'acmé, l'apogée, l'apothéose sensible et esthétique du film m'a trouvé dans la plus parfaite indifférence endormie. Je peine à choisir le terme le plus propre à qualifier la fin qui mêle père et fils dans une destinée commune. Je vous laisse donc le choix du terme : 1) stupide 2) irresponsable 3) ridicule 4) tristement risible. Ci et là, vous pouvez tromper votre ennui si vous êtes joueur, en relevant d'autres symptômes de ce film malade : l'application invraisemblablement scolaire de certains raccords, le piteux "twist final", la pesanteur d'incrustations de texte en guise de label "histoire vraie". Symptômes que le marteau, outil avec lequel ce film semble avoir été fabriqué n'est pas le plus indiqué.

    Allez, de la légèreté pour finir : laissons la city of Z à sa perdition pour s'écrier : si elle est morte, vive le roi, le roi (pas si) Kong !
    "Kong : skull island", autre film d'aventure mais dans la catégorie "blockbuster" si souvent déconsidérée, demande bien moins de bienveillance pour en apprécier la réussite formelle et finalement, par comparaison, l'intelligence. Vive le cinéma ! Franz | latlas.paris
    Henning P
    Henning P

    65 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2017
    Le destin d'un homme qui force l'admiration. Empli de courage et de convictions, cet aventurier va faire passer son obsession avant sa famille. Si le film privilégie le réalisme au détriment du spectaculaire, ce long métrage recrée bien l'atmosphère de la jungle et c'est avec plaisir que j'ai suivi les aventures de cet explorateur.

    Les scènes en Europe nous plongent dans l'Histoire et sont loin d'être superflues.

    Le jeu des acteurs est sobre mais proprement interprété. Ce n'est pas un chef d'oeuvre mais un film intéressant. Il manque un souffle épique mais ce film se veut réaliste,,ce qu'il est et les 2h passent vite.

    A voir. 17/20
    Requiemovies
    Requiemovies

    212 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mars 2017
    (...) Premier film épique de James Gray, « The Lost city of Z », délivre une vraie leçon de cinéma en même temps qu’un respect authentique quant à l’épure constante de ses longs-métrages. Si d’aventure il est question, c’est en parfait contrepoint d’un regard posé sur la famille, l’obsession cinématographique de James Gray, et de nos racines. (....) tous les instants filmés sont d’une richesse incroyable. James Gray veut prendre son temps, maîtriser les mouvements à défaut de prendre en main une nature sauvage dont il ne veut que s’imprégner. Pari risqué mais pleinement réussi sur une œuvre qu’il a mis des années à bâtir (après de nombreux échecs de financements) comme ci la réalité se faisait écho de la fiction, ou l’inverse (l’histoire est basée sur la vraie vie de Percival Fawcett). (...)
    Rares sont les réalisateurs comme James Gray qui savent encore aujourd’hui donner le « C » majuscule au 7ème art. Il prouve une nouvelle fois et de la plus belle des manières que tourner un film est une épreuve en soi pour un résultat sachant mêler émotion et aventure. Bien au-delà de ces deux pans, il procure à travers son histoire la justesse métaphysique que son récit demandait comme la pincée émotionnelle et passionnée nécessaires. Obsessionnel et contemporain, avec les notes classiques qui ont construit le cinéma d’hier, « The Lost city of Z » semble être l’aboutissement hors des murs new-yorkais de l’ensemble de l’œuvre de James Gray. Là où le film par son récit semble faire écho à la vie personnelle de son auteur face à la création de son œuvre.
    THE LOST CITY OF Z : Le nouveau James Gray ressemble une fois de plus à son auteur, dans l’humidité et la chaleur amazonienne cette fois, il semble enfin avoir trouvé le récit majeur de l’ensemble de son œuvre. La touche métaphysique conjuguée à son obsession du récit familial, entre autre, et des « origines », donnent naissance à un film épique, personnel et émotionnel. Captivant.
    Le film d'Ariane
    Le film d'Ariane

    80 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2017
    Après avoir sillonné New York en long, en large et en travers, il s’exile enfin et pose ses caméras en Angleterre puis dans la jungle sud-américaine pour nous conter l’histoire vraie de Percy Fawcett, un explorateur britannique du début du XXe siècle. Adaptée d’un livre de David Grann, l’histoire de ce colonel commence en 1906. Cette épopée à la fois intime et grandiose est un film d’aventure comme on n’en voit plus. Sans hystérie, presque sans bruit, James Gray fait le portrait d’un homme doux mais déterminé déchiré entre sa soif de découverte et de gloire et l’amour de sa famille. Cette fresque d’une ampleur rare, tragique, lyrique est un grand film mental et métaphysique, à l’image d’ « Apocalypse now » auquel on pense forcément. C'est flimé en 35 mm par le chef op’ franco-iranien Darius Khondji dont on reconnait immédiatement le style et l’image est somptueuse de bout en bout. Charlie Hunnam (Percy Fawcett) dont je n’avais jamais entendu parlé auparavant crève l’écran tout en finesse et Robert Pattinson, à mille lieues de ses emplois de sex-symbol, est méconnaissable derrière sa barbe hirsute. Je me suis laissée porter par la peinture inspirée et sensible de ce destin hors du commun, par le regard du cinéaste qui sonde les âmes comme personne. Le plan final est éblouissant.
    nicolas t.
    nicolas t.

    59 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2017
    une merveille de beauté et de profondeur, malgré un rythme lent et un grand classicisme.
    Charisme moyen de l'acteur principal, même s'il est joli garçon.
    janus72
    janus72

    48 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mars 2017
    Film superbe, en premier lieu pour ce scénario qui traite d'Aventures avec un grand A, mais aussi pour de la qualité des Images - ses cadrages plutôt académiques mais formidables - pour sa mise en scène au scalpel qui, pour moi, font de ce dernier James GRAY un magnifique film dépassant "Little Odessa" - "The Yards" ou "La Nuit nous Appartient" (je ne parle pas de Two Lovers & The Immigrant me laissant froid comme la glace).
    Remarquable aussi, cette Bande Son où les compositeurs "modernes" du XX siècle se taillent la part belle.
    Faire aussi l'éloge des Acteurs qui portent littéralement cette histoire.
    Comment ne pas penser aussi à cette Nature omniprésente (même au royaume uni) - cette Jungle opulente qui devient inexorablement obsessionnelle....

    On pense bien évidemment à "Aguirre, la colère de Dieu" et au "Fitzcarraldo" de Werner Herzog mais aussi un peu au "Greystocke" de Hugh Hudson, voire à "La Ligne Rouge" de Terrence Malick, et sans hésiter au magnifique Final très "Coppolien".

    Voici donc un grand film d'Aventure, doté d'une Âme, ce qui en fait un moment rare, à ne surtout pas manquer ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 mars 2017
    Mais bon sang, que devient le cinéma américain ? Entre les films de super-héros débiles, les actioners bourrins, les thrillers au kilomètre et les comédies calibrées, c’est trop demander un film d’aventures un peu intelligent qui relève le niveau sans être mou et chiant ?? Pour une fois, que quelqu’un a la bonne idée de faire revenir ce genre moribond sur les écrans ! Alors évidemment, James Gray est un auteuuuur qui s’est approprié le sujet pour nous faire comprendre que le véritable voyage est intérieur, psychologique, métaphysique… et nous parler une nouvelle fois de son obsession pour la famille.
    Oui mais voilà, là où les grands cinéastes comme David Lean parvenaient à nous parler de l’intime tout en restant épique, à brosser une galerie de personnages attachants et le foisonnement d’une époque, James Gray, lui au contraire, nous parle de son nombril, enfin disons celui de son personnage. Ceci dit, il y a des gens qui aiment. Surtout les critiques intellos européens d’ailleurs. Parce que, pour commencer, ce ne sont pas les expéditions de Fawcett qui l’intéressent. Gray expédie les passages obligés (serpents, fauve, attaque des indiens, piranhas, hommes rendus fous par la faim) en quelques scènes aussi trépidantes qu’une balade en forêt le dimanche après-midi. On commence à s’ennuyer ferme, surtout qu’il ne tient pas non plus à nous divertir avec des personnages secondaires intéressants. Non, en 2H20 on n’a pas le temps pour ces choses là. Ils sont esquissés, sauf le lourdaud qui pose problème. Mais rassurez-vous, pas trop longtemps. Ouf, on a bien failli être détournés 5mn des états d’âme du héros et de sa famille. Le problème, c’est que lorsque l’on fait tout reposer sur un seul personnage, ça passe ou ça casse. Pour moi, ça a cassé dès l’arrivée de Fawcett en Bolivie. Sa passion pour les indiens et son obsession pour une cité perdue est amenée fort maladroitement en quelques instants, alors qu'on vient de passer le premier quart du film à nous le présenter comme un arriviste plutôt soucieux de regagner son rang dans la société. Et ce ne sont ni les gros plans magnifiés par Darius Khondji, ni les dialogues, souvent déclamés sur un ton apathique, qui nous aideront à ressentir la passion qui l’anime ou les épreuves qu’il traverse.
    Bref, que vais-je retenir de ce film ? Un ennui profond doublé de la peine de voir un cinéaste, en qui l’on pouvait placer quelques espoirs, tourner en rond dans un effort louable, mais finalement désespéré, de se renouveler.
    shindu77
    shindu77

    95 abonnés 1 611 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2017
    Porté par un très bon casting globale, cette histoire nous emmène sur le terrain de la découverte et de l’aventure. Sans oublier la difficulté d’un père de famille devant concilier sa vie avec ses proches mais aussi son désir personnel d’assouvir ses rêves. La mise en scène est efficace et les passages plus rythmés intéressants.
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