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Un visiteur
0,5
Publiée le 3 avril 2017
Quel ennui !!!! 02h20 où rien ne vient susciter l'intérêt du spectateur ! Des scènes totalement ridicules, invraisemblables ! Un navet ! minable tout simplement !
je ne comprend pas les critiques des magazines !! meme telerama . film d'une platitude sans nom tout est mièvre convenu a l'image de la musique. je n'aime pas critiquer et puis il faut de tout pour faire un monde mais la que l'ensemble de la presse soit unanime pour encenser ce film est d'un ridicule !
Comment rendre un sujet potentiellement intéressant ennuyeux ? Le film raconte donc la vie de l'explorateur percival fawcett
La première scène de chasse est pourtant bien réalisée mais après c'est le plat total, il se permet même quelques scènes de transitions qui n'ont pas grand intérêt (je pense à celle où un officier annonce à Perceval qu'il doit se rendre au centre national de géographie
Les acteurs ne suscite aucune émotion chez le spectateur, on est pas embarqué dans son coup de cœur pour l’Amazonie et encore moins dans ces histoires de famille. on arrive a un point où à la fin aspoiler: vant de mourir, il dit à son fils "je t'aime"... c'est censé être triste et t'émouvoir, et au final sur mon siège je n'ai rien ressenti, aucune détresse pour les deux protagonistes.
La réalisation n'apporte rien, il y a quelques beaux éclairages en intérieur mais le rythme est trop lent pour nous immerger dans l'histoire. Les expéditions sont semblables et n’accélère même pas le rythme du film. Les décors de jungle ne sont pas marquants et les effets sonores des plus classiques. deux fois les personnages ont la même réplique avant de se faire attaquer par les tribus indiennes "oh mais une barque a disparu"... d'ailleurs on apprend absolument rien des tribus rencontrées hormis le fait qu'une soit cannibale.
Au final, peu de passages marquants et j'ai eu vraiment l'impression de passer 40 ans au cinéma comme percival fawcett
Excellent film, une histoire et un destin incroyable que le réalisateur, qui prend le temps de bien nous faire découvrir chaque personnage,, nous permet de nous plonger dans des endroits inconnus, au cœur de l'Amazonie, où la nature règne sans partage. Touchant er beau
Oyé, Oyé, J. Gray quitte enfin l'urbanisme new-yorkais et troque la jungle des villes pour la vraie, celle qui sent la sueur, le sang, la boue et la Nature pour signer un film d'aventures qui ne ressemble à aucun autre, entretenant forcément un cousinage avec les quelques fleurons du genre tout en s'imposant comme une nouvelle pièce majeure à la fois de ce cinéma là mais aussi du cinéma tout court. Ce qui le distingue de ses illustre aînés, c'est donc son sujet, celui qui nous narre la quête d'un homme admirable (bien que nanti de quelques défauts), qui ira à contre courant des pensées étriquées de son époque, portant son passé comme une malédiction l'empêchant d'aller plus haut tout d'abord (magnifique scène) avant de vivre son présent en dépit de sa vie de famille puis de lier son futur à une quête aussi folle qu'importante. Les acteurs sont magistraux, les lumières de D. Khondji sont absolument majestueuses, les décors naturels sont à couper le souffle, le scénario est d'une belle précision, le souffle épique offre quelques scènes incroyables bref, c'est un grand film, un de ceux qui marquent la rétine, le cerveau et les tripes, un film au style classique formellement tout en recelant de nombreuses audaces stylistiques bref, c'est à voir impérativement en salles pour profiter des images sublimes de ce grand film humaniste qui ne vous laissera pas indifférent. D'autres critiques sur
Fade! Comme un excellent met attendu, mais il manque un épice déterminant ! Une histoire, des personnages, une quête de l'absolu.... et pour moi il y manque Le sel de l'enthousiasme, la rugosité des événements, La violence de la nature... À aucun moment j'ai ressenti la violence de la jungle et de l'environnement ! Pas meme dans la photographie ou les mouvements de caméra ! La mise en scène la photographie de Revenant excellaient sur ces 2 points. Silence de Scorcese narrait une introspection spirituelle.... Je n'ai rien vu ressenti de cela dans Z. La distribution est de grande qualité et les interprétations sont présentés...mais à mon sens la métaphore entre la quête humaine et la recherche de z ne se dessine pas suffisamment clairement, et trop fadement et trop académique ! Je préfère donc le James Grey urbain et à l'introspection intime!
The Lost City of Z est bien plus qu'un film d'aventure, il met en lumière le conflit intérieur de son personnage principal, le fascinant Fawcett brillament interprété par Charlie Hunnam, fasciné par les secrets de la jungle amazonnienne. James Gray signe un film subtile, qui se balade intelligemment dans des étapes primordiales de la vie de son personnage sans jamais ennuyer malgré la durée du long métrage. Voir la critique complète sur mon blog :
bon film. de magnifiques images. On se croirait vraiment en plein coeur de L Amazonie. Quelques longueurs notamment sur sa présence pendant la 1ère guerre. Pattinson joue vraiment bien. l'acteur principal moins connu est bon mais physiquement trop lisse et bien loin du vrai Fawcett. même remarque pour sa femme l'actrice Sienna Miller qui n'est pas renversante. le film aurait vraiment été excellent avec un casting plus british.
Retour en grâce à mes yeux d’un James Gray plus convaincant que le précédent The Immigrant. Biographie apparemment fidèle de l’explorateur, il s’agit d’un film d’aventures, pour lequel l’écran large est indispensable. Mais aussi, une fresque sociologique sur la période toujours fascinante de l’Angleterre à l’aube du XXè. La première puissance du monde déclinante affiche simultanément les sociétés savantes masculines et les premières femmes indépendantes, futures suffragettes. Découverte de l’acteur Cunnam incarnant l’énergie débordante d’un Fawcett aussi intrépide pour explorer l’Amazonie que pour revenir retrouver sa famille ou mener un bataillon au combat. Gray ne nous assomme pas d’épisodes aventuriers mais reconstitue le parcours psychologique de chacun des protagonistes avec finesse et les décors de l’époque avec précision (les intérieurs sont souvent sombres). La fin du parcours devient quasi-onirique et ne manquera pas de rappeler celle légendaire d’Apocalypse now avant d’arriver dans le camp du colonel Kurtz. Quand l’explorateur quitte la civilisation, les explications rationnelles deviennent obsolètes. Entre-temps, Fawcett aura, épisode inattendu et significatif, fréquenté la « sauvagerie » des tranchées de la Somme en 1916 (le temps d’une courte séquence aux images superbes, déjà vues certes mais toujours poignantes), et cogité sur la définition de ce qu’est un « sauvage » aux yeux de la Société de Géographie qui le sponsorise. Un beau voyage historique. Vo cinéma avril 2017
Beaucoup d'attentes mais malheureusement pas au niveau où je l'aurais espéré. Grand fan des films d'aventures qui ont bercé mon enfance (il en sortait beaucoup plus dans les 80'-90'), j'espérais revoir un film qui me ferait rêver, qui soit un total dépaysement, avec tous les clichés du genre, la quête, les obstacles, la mort d'un proche, les doutes, la camaraderie, le succès final mais avec son prix, etc... Au final, l'aventure occupe moins de la moité du film et comme elle se divise en plus en trois expéditions, elle est assez largement survolée!... On se retrouve avec un film qui couvre trente ans de la vie d'un homme par petites touches, tout en faisant le grand écart entre sa vocation d'aventurier et son rôle de père et de mari. Alors, c'est une approche choisie, que je respecte, mais moi ce n'est pas ce que je voulais voir. Moi, je voulais de l'Aventure avec une grand A, je me retrouve avec de l'aventure avec un petit a, couplée à un film biographique. Beau film malgré tout.
Délaissant à la fois New York et ses récits centrés sur des immigrants de l’Europe de l’Est, James Gray prend ses quartiers dans l’Angleterre édouardienne et suit Percy Fawcett jusqu’en Amazonie. Sur les traces de cet explorateur en quête de respectabilité et d’un ailleurs disparu, le cinéaste américain tente l’aventure d’un autre cinéma. Au risque de déboussoler certains de ses aficionados, il modifie la cartographie de sa filmographie et livre The lost city of Z, film d’une aventure obsessionnelle mais raisonnée. Plus de détails sur notre blog ciné :