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Un visiteur
3,5
Publiée le 22 mai 2017
The Lost City of Z possède de magnifiques visuels et raconte une belle aventure. Malheureusement, l'un des problèmes de ce film est que l'on arrive pas à ressentir des émotions envers le personnage principal, incarné par un Charlie Hunnam convainquant. En effet, quand ce dernier est face au danger, nous ne ressentons rien pour lui, on regarde juste le film en attendant de voir ce qu'il va lui arriver et c'est dommage car le film n'est pas assez prenant pour le spectateur. Malgré cela, les visuels du film sont vraiment sublimes et le jeu des acteurs est satisfaisant. Le film se laisse bien évidemment regarder et n'est pas ennuyant à suivre.
Tout simplement : du grand cinéma. À l’image du travail du chef opérateur, Darius Khondji, qui apporte à cette œuvre en pellicule 35 mm une extrême finesse et beauté, The Lost City of Z est un film d’une grande délicatesse. Même si la construction du récit risque d’en ennuyer plus d’un, c’est un long-métrage admirable, aussi rare dans le paysage cinématographique que son cinéaste.
Nanar intergalactique ! que de lenteurs ! ce n'est pas un cité Z mais juste une Série Z ! comment la critique a pu mettre cette note ? et les spectateurs aussi ? je ne comprends pas ! abracadabrantesque, erreurs, sujets effleurés, incohérences sur l'âge des enfants et les temps d'absence... en fait, rien ne va... sauf les violions a l'unisson des bon sentiments ;) ! heureusement j'ai la carte pass gaumontpathé ! bon courage si vous vous décidez et pas besoin de mouchoirs... ca sera deja ca d'economisé ;) !
En voyant cette affiche j'ai pensé directement au tableau de Courbet l'origine du monde,car comme dans l'oeuvre du peintre on voit une fente qui ouvre sur le monde,ici c'est par cette fente que cet homme pénètre dans ce monde qu'il va découvrir. Un monde qui va le fasciner et le happer une fois sur la piste de celui-ci. Le classicisme avec lequel James Gray déroule son histoire tient tout ce parcours qui reste fort simple mais efficace,quoique que certains passages frôlent allègrement le ridicule,comme les instants dans lesquels l'explorateur se retrouve à crier devant une court d'hommes sa découverte. Il cri mais n'apporte avec lui aucune passion,c'est pourtant ce que voudrait Gray mais c'est raté. Cet homme parti à la quette d'une cité perdue semble plus fuir sa famille à l’autre bout du monde en cherchant à trouver cette fameuse cité. Il semble avoir trouver le bonheur quand son fils veut s'embarquer avec lui dans cette folle aventure.
Le film est loin d’être génial d'un point de vue scénaristique,mais comme c'est bien mené ça marche,même s'il y a des choses notamment dans la gestion du temps des personnages qui sont mal menées,on passe ainsi du début de l’expédition à plusieurs années sans vraiment le comprendre. La somme de défauts du film n’empêche pas de rester accrocher au récit qu'en fait James Gray.
Une fois de plus le metteur en scène compense vide et mauvais jeu d'acteur par longueur, lenteur et violons. Rien, vraiment rien dans ce film. Même la jungle est ennuyeuse et répétitive, les piranhas fidèles à leur légende de micro requins, les indiens primitifs... Tout cela se veut profond grace aux accords puissant du concerto La mer de Debussy et de moult violons, et du ton conspirateur des dialogues. Histoire vide (bien sûr inspirée de faits réels....), jeu médiocre, mise en scène fade et sans aucune originalité. Gardez votre argent pour autre autre chose
Mise en scène envoûtante, casting impeccable, photographies superbes... Entre épopée grandiose et conte intimiste, James Gray nous transporte aux confins de la psychologie humaine avec virtuosité. "The Lost City of Z" est assurément la bombe cinématographique de la semaine !
La jaquette somptueuse m'a attirer vers ce film. Mais c'est tout le contraire a ce que j'avais imaginer : ca raconte une histoire barbant, personnages barbants et ternes, jai vraiment atendu/esperer jusqu'a la fin que quelque chose se passe, bah rien... Bref on s'ennuie du debut a la fin. Je le deconseille.
comment mettre une autre note..???pas de scénario, ni de jeux d'acteurs, pas d'intrigue, pas de suspens..Juste une accumulation de scènes dans la jungle non crédible... Alors que l'on m'explique la note des cahiers du cinéma ou telerama....si quelqu'un peut m'expliquer la crédibilité de ce film je suis preneuse..
Quel ennui !!!! 02h20 où rien ne vient susciter l'intérêt du spectateur ! Des scènes totalement ridicules, invraisemblables ! Un navet ! minable tout simplement !
Fade! Comme un excellent met attendu, mais il manque un épice déterminant ! Une histoire, des personnages, une quête de l'absolu.... et pour moi il y manque Le sel de l'enthousiasme, la rugosité des événements, La violence de la nature... À aucun moment j'ai ressenti la violence de la jungle et de l'environnement ! Pas meme dans la photographie ou les mouvements de caméra ! La mise en scène la photographie de Revenant excellaient sur ces 2 points. Silence de Scorcese narrait une introspection spirituelle.... Je n'ai rien vu ressenti de cela dans Z. La distribution est de grande qualité et les interprétations sont présentés...mais à mon sens la métaphore entre la quête humaine et la recherche de z ne se dessine pas suffisamment clairement, et trop fadement et trop académique ! Je préfère donc le James Grey urbain et à l'introspection intime!
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4,0
Publiée le 18 septembre 2018
L'obsession d'un explorateur britannique par la quête d'une civilisation ancienne au fin fond de la forêt amazonienne! Le vrai dèfi de cette critique aurait ètè de ne pas comparer le film de James Gray avec celui de Werner Herzog, "Aguirre", mais le destin de Percy Fawcett reste tellement semblable à celui de Lope de Aguirre que cela ètait quasiment mission impossible. "The Lost City of Z" est une oeuvre sidèrante de beautè, l'une des meilleures, des plus maîtrisèes de son auteur qui marque une nouvelle ètape pour le cinèaste new-yorkais! Avec une rèelle science du montage, c'est aussi l'une des plus mèlancoliques où l'aventure mentale et le grandiose s'harmonisent le mieux! Dans cette quête folle et èpique, Charlie Hunnam est remarquable dont la vie èclate dans des images inoubliables! C'est dire que sa prestation est admirable, apportant une authenticitè à ce qui pourrait n'être que romanesque! C'est parfaitement rèussi par un rèalisateur hyper talentueux que l'on avait un peu perdu de vue depuis "The Immigrant". Une expèrience sensorielle à ne manquer sous aucun prètexte...
6ème long métrage pour le grand James Gray qui n'a jamais franchement trébuché jusqu'ici. Le cinéaste signe un biopic trop sage, trop linéaire, trop académique pour nous plonger pleinement dans la psychologie de Percy Fawcett et donc dans son aventure. Le fait que l'explorateur croit dur comme fer à l'Eldorado est résumé de façon simpliste, jamais le récit d'approfondit un peu le pourquoi du comment de ce personnage obnubilé par l'Eldorado à une époque pas si lointaine. James Gray signe un film qui méritait plus de folie, de passion, de souffle épique, de réflexion géo-archéologique...
Cinéaste plutôt habitué au genre urbain, James Gray s'est lancé dans une folle aventure avec "The Lost City of Z". Une folle aventure qu'il rêve de faire depuis déjà plusieurs années alors que Brad Pitt était attaché au projet en tant qu'acteur. Désormais producteur, Pitt laisse sa place à Charlie Hunnam pour jouer Percy Fawcett, major de l'armée britannique, cartographe et explorateur obsédé par la cité de Z, une cité qu'il s'imagine exister au fin fond de la jungle amazonienne, une cité qui permettrait d'en découvrir plus sur une civilisation perdue. La jungle donc, nouvel environnement pour James Gray qui a choisi de tourner directement sur place pour vivre l'enfer vert tel qu'il a été vécu par Fawcett et ses compagnons de voyage à trois reprises. Mais si "The Lost City of Z" a tout du film d'aventure, ce n'est clairement pas cet aspect qui intéresse James Gray. Le cinéaste a beau filmer la jungle avec talent et nous offrir quelques moments de tension qui font parfois penser à Werner Herzog, la thématique principale de son récit s'articule autour de Fawcett, personnage qui cherche à trouver sa place dans une société qui l'a longtemps rejeté et qui se jette à corps perdu à la recherche de cette cité, devenant drogué par la perspective de la découverte qui l'attend et dont il est persuadé d'en avoir vu des preuves. C'est donc dans tout le traitement du film que l'on reconnaît bien James gray qui glisse en Fawcett ses préoccupations habituelles tout en dissimulant le tout dans un récit d'aventure se déroulant sur plusieurs décennies. Sublimé par la photo de Darius Khondji, "The Lost City of Z" ne cesse de surprendre dans le déroulement de son scénario qui ne va jamais où on l'attend et ce jusqu'à sa toute fin, aussi sublime que déroutante. Parfois frustrant, le récit n'en demeure pas moins passionnant par toutes les thématiques qu'il développe, allant du goût de l'aventure au besoin de reconnaissance sociale. Toujours sublime et toujours subtil, le film est dominé par la présence charismatique de Charlie Hunnam qui trouve ici son meilleur rôle au cinéma, celui qui devrait définitivement l'imposer comme une valeur sûre. Remarquons aussi la présence plus discrète d'un Robert Pattinson barbu qui poursuit sa carrière de façon intéressante et qui trouve ici un solide second rôle étonnant. Saluons donc la prise de risque de James Gray qui s'impose définitivement avec ce film comme l'un des cinéastes les plus brillants de sa génération dont chaque film, même les moins bons ("The Immigrant") regorgent d'éléments passionnants. Et Dieu que la jungle lui a réussi !
Oyé, Oyé, J. Gray quitte enfin l'urbanisme new-yorkais et troque la jungle des villes pour la vraie, celle qui sent la sueur, le sang, la boue et la Nature pour signer un film d'aventures qui ne ressemble à aucun autre, entretenant forcément un cousinage avec les quelques fleurons du genre tout en s'imposant comme une nouvelle pièce majeure à la fois de ce cinéma là mais aussi du cinéma tout court. Ce qui le distingue de ses illustre aînés, c'est donc son sujet, celui qui nous narre la quête d'un homme admirable (bien que nanti de quelques défauts), qui ira à contre courant des pensées étriquées de son époque, portant son passé comme une malédiction l'empêchant d'aller plus haut tout d'abord (magnifique scène) avant de vivre son présent en dépit de sa vie de famille puis de lier son futur à une quête aussi folle qu'importante. Les acteurs sont magistraux, les lumières de D. Khondji sont absolument majestueuses, les décors naturels sont à couper le souffle, le scénario est d'une belle précision, le souffle épique offre quelques scènes incroyables bref, c'est un grand film, un de ceux qui marquent la rétine, le cerveau et les tripes, un film au style classique formellement tout en recelant de nombreuses audaces stylistiques bref, c'est à voir impérativement en salles pour profiter des images sublimes de ce grand film humaniste qui ne vous laissera pas indifférent. D'autres critiques sur
ce film, pourtant salué par la critique journalistique, m'a plutôt déçu. Tiré, semble-t-il d'une histoire vraie, je l'ai trouvé ennuyeux avec ses expéditions réitérées qui se suivent et se ressemblent : pirogues, attaques d'indiens, pertes de la nourriture et ses invraisemblances : descendre le courant pour remonter uen rivière. Les cènes intimistes (avec l'épouse de l'explorateur) ou publiques (session de l'académie de géographie) sont mieux filmées que celles de la forêt amazonienne, les scènes de guerre de- 14-18, sans doute indispensables pour coller à la réalité et illustrer le temps qui passe, ont un air de déjà vu