Mon compte
    Men, Women & Children
    Note moyenne
    3,2
    982 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Men, Women & Children ?

    105 critiques spectateurs

    5
    4 critiques
    4
    24 critiques
    3
    49 critiques
    2
    21 critiques
    1
    4 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Kermit O
    Kermit O

    10 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 décembre 2014
    un film un peu trop didactique aux scène initiale et finale superflues comme la voix-off. Le sujet est passionnant. Son traitement réussi notamment grâce a un montage dynamique et des histoires prenantes remarquablement servies par des interprètes concernés. mention spéciale à Adam Sandler dans un contre emploi. Quand au personnage incarné par Jenifer Gardner, il vous fera plus froid dans le dos que Freddy Krugger ou le tueur au masque de hockey. Un film qui donne à réfléchir ça ne fait pas de mal malgré un côté moralisateur appuyé et quelques situations caricaturales.
    cdf80
    cdf80

    8 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2014
    Une chronique chorale vraiment intéressante bien que plutôt désespérante. Ici plusieurs générations avancent dans la vie, sont bien entendues "connectées" comme il se doit en 2014, et c'est au scalpel que le cinéaste dissèque les situations, les conséquences du virtuel, du diktat de l'image. Si certains trouveront le film un peu trop "américain" et parfois folklorique (middle class, foot US, pom pom girl...), on peut malheureusement transposer pas mal de choses dans nos vies, surtout quand on est parent. C'est parfois effrayant pour qui, comme moi, peut se muer parfois en "regretteur d'hier, qui trouve que tout ce qu'on gagne on le perd", comme le chante l'ami Souchon...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    Le dernier film de Reitman Junior se voudrait une implacable radiographie des moeurs contemporaines à l'époque des sites de rencontres, de twitter, Facebook et autres technologies dont nos vies seraient dépendantes. Je dois confesser ici que le film m'a paru tellement mauvais durant ses trois premiers quarts d'heure que j'ai cru un instant qu'il était signé Jake Kasdan, dont le souvenir durable de Sextape m'épouvante encore. Comme je m'ennuyais beaucoup tout au long de la projection, je me suis demandé alors ce qui m'avait guidé dans cette salle, avant de réaliser mon erreur et que le metteur en scène qui enfonçait sous mes yeux incrédules des portes ouvertes sur la solitude 2.0, sur l'incommunicabilité, la pornographie triomphante et la déroute des sentiments, était le même réalisateur qui m'avait bouleversé avec son magnifique Labor day, sorti il y a peu chez nous, dans l'indifférence générale. Du coup j'ai repris un peu de courage et de patience (Y'-a t-il un film américain d'envergure de moins de 2 heures sur nos écrans depuis la rentrée?). Il allait bien subsister quelque chose de sa délicatesse, de cette manière si personnelle qu'il a de jouer avec les clichés pour mieux les subvertir...
    Effectivement dans sa dernière demie heure, le film s'anime et émeut un peu, car il s'approche vraiment de la souffrance de ses personnages, il se pose un peu (se recentre sur une poignée de caractères) et l'émotion affleure, timide, sous les poncifs, le didactisme, l'interprétation terne et la forme ingrate du film. Mais il est trop tard, j'ai beau partagé le constat, la vision de notre époque, on est ici au cinéma (enfin si peu finalement) et ces conversations apprêtées (dieu que le film est bavard), ce scénario scolaire, ce filmage très prude, cette volonté de ne jamais empoigner la rudesse et la laideur de son sujet nous renseignent très vite sur l'inutilité du film. Heureusement il y a des grands comiques ou des grands amnésiques chez les critiques qui osent citer en référence le Altman de Short Cuts. Certains journalistes devraient apprendre le cinéma en voyant des films pas en faisant semblant d'en avoir entendu parler. Ils nous éviteraient bien des étranglements. J'ai vu Short cuts, il y a plus de 20 ans et les interprétations de Moore, Modine, Waits, Downey jr font encore partie de mon imaginaire. Voilà 5 jours que j'ai vu Men, women and children et je dois faire un effort pour citer plus de 2 interprétations qui ne soient pas, elles aussi, complètement "poncifiées".
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2014
    Internet et ses addicts. Mais aussi, une mère trop protectrice. Une autre qui veut pour sa fille, une carrière dont elle rêvait pour elle-même. Des adolescentes anorexiques. Un couple en panne qui tente de se libérer via des sites libertins ou carrément pornographiques. Quantité de jeunes qui ne communiquent plus que via sms. Autant de sujets qui sont bien le triste et pâle reflet de notre monde d'aujourd'hui, de nous-mêmes, aussi.

    Le réalisateur plonge le spectateur au milieu toutes ces nouvelles technologies, dont la dernière annihile toutes les précédentes. Plus toujours plus, mais dans le même temps un grand saut dans la solitude. Dans le vide.

    Est-ce l'effet miroir que le film renvoie à notre propre existence qui dérange ? Peut-être un peu. Pas toujours facile de reconnaître que toute cette technologie pénètre dans l'inimité de nos vies personnelles. Jason Reitman n'impose pas son point de vue. Le film n'est en rien moralisateur et reste un constat. Aux spectateurs de se situer, dans le réel ou le virtuel. Exercice difficile.

    En tête du casting, Ansel Elgort confirme, après Nos étoiles contraires, un talent certain.

    Le réalisateur a déclaré : "Avec un peu de chance, ce film poussera le spectateur à réfléchir sur son identité, sur sa place dans la société et sur ses rapports à son entourage".

    Puisse son message passer et remettre, pour certains, les pendules à l'heure.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 décembre 2014
    bon début de film ( assez drôle et humoristique ) avec une idée de scenario interessante sur la transformation des relations sociétales depuis l'arrivée des "bienfaits" des nouvelles technologies. Malheureusement le film est gaché par une paresse de reflexion véritable sur les nouveaux enjeux du présent comme du futur !, gaché a mon sens par des trucs déja vu dans d'autres films récents (effets sms par ex ), gaché par beaucoup de prises de têtes et de bla_bla, alors qu'il fallait traiter l'ensemble du film
    comme les 10 premieres minutes, c'est a dire par la dérision...
    T-rhy
    T-rhy

    78 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 décembre 2014
    Coup de coeur....... Simple, intelligent, brillant, touchant, émouvant, réaliste, captivant, drôle, fin,... Les mots me manquent.... Le sujet est tellement bien compris et mis en scène.... La réalisation est sobre et subtile. Les acteurs sont bons voir très bons pour certains (Jennifer Garner est parfaite en mère surprotectrice, et même le côté désabusé de Adam Sandler ne fait pas tâche). Là bande son est discrète et efficace (sachant se faire oublier et revenir nous titiller dans ses thèmes aux bons moments). Bref, une belle surprise en cette fin d'année... Une petite bouffée d'air.... Un bon moment !
    Jorik V
    Jorik V

    1 272 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    Jason Reitman alterne pépites (“Juno”, “Thank you for smoking” ou le sublime “Last days of summer” sorti cette année) et films plus dispensable (“Young Adult” ou “In the air” malgré sa réputation de films à Oscars). Celui-ci se situe un peu entre les deux : ce n’est pas le film rate annoncé un peu partout et coupable d’un énorme revers au box-office américain mais ce n’est pas inoubliable non plus, juste une agréable chronique sur les rapports humains à l’ère 2.0. Le metteur en scène se focalise sur un lycée américain, ses élèves et leurs parents pour nous présenter un panel plus ou moins représentatif de l’humain élevé au smartphones, tablettes, chats et cie. Cela fait parfois un peu catalogue pour ce film choral cependant bien agencé. Mais pourtant le contenu n’est pas exhaustif : manque une personne n’ayant aucun rapport avec la technologie pour contrebalancer tout cela et quelques dérives non traitées comme celle, abominable, consistant à filmer n’importe quoi avec son téléphone, jusqu’à l’immoral, et le poster sur la Toile. Mais le long-métrage finit par faire entendre sa petite musique grâce à un groupe d’acteurs (principalement d’illustres seconds rôles dans d’autres films) bien trouvé, des inserts sur l’écran censés représentés nos conversations sur le Web pertinents et une acuité certaine sur ce monde Internet qui nous entoure et les conséquences que cela implique. Cela aurait pu être davantage poil à gratter ou à charge mais dans l’ensemble ça se regarde avec plaisir et c’est loin d’être bête !
    Fritz L
    Fritz L

    183 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2014
    Jason Reitman, cultive depuis ses débuts (on se souvient de l’adorable “Juno” ou du surprenant “Thank you for smoking”) le goût de la comédie sociale. Sous une apparente légèreté, il dénonce, avec plus ou moins de bonheur, les travers comportementaux de la société américaine. « Men, women and children » ne faillit pas à la règle, s’attaquant à l’omniprésence et les exactions du numérique dans la vie quotidienne. La focale retenue est intéressante, puisqu’il ne stigmatise pas seulement les adolescents, mais également leurs parents tout aussi concernés à un degré plus indirect toutefois. Seulement, même si l’habillage général est convaincant (les écrans à l’écran), il réside dans ce film un certain manichéisme qui finit par être lassant. Certes l’ambition de Reitman est bien de démontrer ce que chacun sait, on ne subit que ce que l’on consomme… C’est un peu court. Toutefois, il faut reconnaître qu’un certain nombre de scènes sont particulièrement bien ciblées et provoquent rires ou émotions intrinsèques. L’interprétation joue renforce également le capital sympathie que provoque le film. Ce n’est pas le pamphlet qu’on aurait aimé voir, en se fiant au pitch, tant la critique sociale un poil caricaturale repose sur des poncifs, d’où une certaine facilité. En bref, « Men, women & chlidren » ne dépasse guère la stade de la petite comédie dramatique calibrée plaisante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 décembre 2014
    Men, Women & Children est une très bonne comédie dramatique américaine réalisée par Jason Reitman qui est d'après le roman de Chad Kultgen qui décrit la vie de lycéens et de leurs parents.... Mais aussi leur relation (plus ou moins ambigus) avec les technologies de multimédia (Internet ou les Portables)... Un très bon film choral (très superieur au très prétentieux Puzzle de Paul Haggis (voir ma critique) très bien interprété par des acteurs confirmés Adam Sandler qui prouve qu'il peut un très bon acteur (voir les excellents Punch-Drunk Love de Paul Thomas Anderson et Funny People de Judd Apatow pour s'en rendre compte), Rose-marie DeWitt (excellente en épouse en manque d'amour), Jennifer Garner (qui joue de mieux en mieux (elle formidable en mère castratrice) surtout chez Jason Reitman voir Juno), Judy Greer (excellente en mère qui essai de faire de sa fille une star...), J. K. Simmons (très bon acteur fétiche du cinéaste), Dean Norris (excellent en père dépassé par les événements) et sans oublié la narration de la grande Emma Thompson... Mais aussi par des jeunes acteurs très justes comme Ansel Elgort (Divergente et Nos étoiles contraires) qui joue le jeune qui abandonne le Foot alors qu'il en est la vedette... Olivia Crocicchia (Palo Alto de Gia Coppola) qui joue la fille qui veut devenir une starlette a tout prix... Kaitlyn Dever (Loretta McCready dans la très bonne série Justified), qui joue le fille castrè par sa mère qui espionne ses communications (Facebook ou son Smartphone), Elena Kampouris (excellente, elle fait a l'excellente Elle Fanning) qui joue la fille très mal dans sa peau (elle est anorexique) et Travis Tope qui joue le jeune obsédé sexuel (tel père tel fils... voir le film pour comprendre)... Un très bon film (snobé par la presse ???? ont ils compris le film ????) qui parle de problème de communication entre adultes et adolescent a l’ère de l'informatique ( les Connexions Internet ou Smartphones) quel paradoxe c'est ce qu'on appelle l'ultramoderne incommunicabilité... A voir absolument en faisant abstraction des mauvaise critique car elles sont (très) injuste.
    Alice025
    Alice025

    1 668 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    Un film pas très bien accueilli, mais qui mérite tout de même d'être connu. Ce sont des histoires d'hommes, femmes et adolescents, qui ont chacun leurs problèmes, en lien avec la technologie. Presque toutes les histoires sont intéressantes et arrivent à se mêler sans problème. Elles abordent différents sujets (la tromperie, les jeux vidéos, l'abandon, la mère qui surveille trop sa fille, les sites pornographiques, l'anorexie...), on suit simplement l'histoire de parents et d'enfants, des histoires dont tout le monde peut être touché. Les acteurs et actrices montrent leurs talents, tantôt humoristiques, tantôt touchants. Le scénario est assez bien mené, avec une morale (faire attention à tous les dangers d'internet, et nombreux soient-ils, sachons le), en bref un film qui mérite d'être vu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 décembre 2014
    Après avoir vu Men Women Children, on se dit qu'il aurait été intéressant de faire réaliser le film en parallèle par des réalisateurs de différents pays et différentes sensibilités. J'aurais été intéressé de comparer ce qu'un anglais, un français, un italien, un espagnol, un australien et un japonais auraient pu produire sur le même sujet...
    Reste que nous n'avons que cette version américaine qui, par moment, frise un peu trop le catalogue des situations liées à l'usage d'internet et des smartphones. Reste que certains passages sont poignants et que le tout cherche à démontrer, sans surprise, que ni le libéralisme total ni l'abus de contrôle ne sont des solution idéales et idéalisables et que, parce que nous sommes humains, rien ne remplace le contact réel, le bienfait de se parler en direct, de se toucher, d'être ensemble...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 décembre 2014
    J'ai vu la critique du film sur une Emission a la télé, où ils disaient leurs mécontentement a propos du film
    j'en reviens, et pourtant j'ai trouvais le film assez bien dans l'ensemble, les acteurs jouent très bien, spoiler: En particulier Jennifer Garner dans son rôle de mère protectrice ;)
    .
    En clair, il faut souvent pas croire les différentes critiques rabaissantes.
    Céline C.
    Céline C.

    12 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2014
    Film moralisateur qui démontre a quel point la technologie nous déconnecte de la réalité et des vrais valeurs
    Un peu longuet au début puis on rentre dans ces différentes histoires ados - familles
    A voir
    lancelo25
    lancelo25

    31 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2014
    Un film qui n’a pas froid aux yeux, qui montre toutes les dérives et les excès des nouveaux media de communication sur nos vies intimes mais aussi les conséquences que peut avoir l’excès de méfiance, ou quand la technologie permet de se pirater elle-même et que les humains en viennent à ne plus croire en l’Autre même ses plus proches (enfants, parents, conjoints).
    C’est un film choc qui montre la déliquescence du respect, de la morale dans un monde virtuel où l’égo est porté en étendard au détriment des sentiments, de l’écoute, de la compassion, de l’amour.
    Les nouveaux êtres humains deviennent « bioniques » et se jettent dans le vide hi-tech qui les déshumanise et ne leur laisse plus que leur instinct animal et narcissique.
    Le réalisateur ne donne pas de leçon de morale, il ne fait que montrer ce que nous sommes devenus, en nous laissant un espoir, montrant que l’on peut encore conserver son humanité dans ce monde de brutes…
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    134 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2014
    Avec Men, women and children, le réalisateur offre une étude intelligente et universelle de nos sociétés médiatiques. Pour ce faire, il va mettre en lumière des cas personnels, certes stéréotypés, afin de montrer d'une part, la transformation du lien social avec l'apparition des réseaux sociaux et d'autre part, le conflit intergénérationnel dans l'utilisation de ces outils. Aussi, si tout parait complexe, rien n'est manichéen.

    Chaque histoire est réfléchie. Elle met en avant une problématique particulière qui touche chacun des spectateurs. Qu'on soit parent, enfant, utilisateur des réseaux sociaux ou réfractaire à ces outils, on se sent tous concernés par les conflits de chacun des personnages.

    À l'écran, le casting émerveille grâce à une direction parfaite. Ensel Elgort apporte encore un peu plus d'éclat à sa palette dramatique. Il sublime sa partenaire Kaitlyn Dever. Dans les acteurs plus confirmés, on retrouve l'étonnante Jennifer Garner qui confirme son talent pour les rôles forts et profonds. Enfin, le couple Adam Sandler et Rosemarie Dewitt est totalement crédible, l'un apportant fraicheur tandis que l'autre amène son coté touchant.

    Fin et artistique, le film est une base solide pour avoir un débat sérieux sur l'impact des nouvelles technologies dans la vie de tous les jours. Une œuvre utile...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top