Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Santiago Loza, (...), apporte un ton minimaliste et gracieux au cinéma argentin. (...) une plongée d’autant plus troublante dans la psyché humaine et ses tourments qu’elle est exprimée délicatement, grâce à un travail particulièrement mesuré sur le son et l’image.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Santiago Loza offre le délicat portrait d'un homme malade, comme peint au pastel. Une belle œuvre, sensible et intelligente, qui s'attache à filmer la présence des êtres.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Loza joue des modèles attendus, dans une recherche d’un « autre chose » où le film séduit le plus, esquivant les pires écueils du minimalisme de ces dernières années (…) et ponctuant le récit de plans simples et troublants.
Positif
par Dominique Martinez
À mi-chemin entre le conte initiatique et le portrait contemplatif, le film repose sur une réalisation sobre et soignée [...] Les ressorts scénaristiques sont banals, presque convenus, mais la mise en scène révèle sobrement des arrières-plans, des personnages secondaires, des sentiments en creux.
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Depuis sa bulle contemplative La Paz, quatrième film de Santiago Loza, se tient trop loin monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film reste à la surface de ce moment, comme figé au stade de l'esquisse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Hendy Bicaise
Le sujet rappelle "Oslo, 31 août" et son protagoniste déambulant à moto. "La Paz" est cependant plus creux et draine son lot de lieux communs.
aVoir-aLire.com
par Pierre-Emmanuel Hun
Le minimalisme narratif revendiqué par Santiago Loza tourne au procédé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Mathilde Blottière
Aussi éteint que son héros falot, le film de Santiago Loza agace par son formalisme prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Santiago Loza, (...), apporte un ton minimaliste et gracieux au cinéma argentin. (...) une plongée d’autant plus troublante dans la psyché humaine et ses tourments qu’elle est exprimée délicatement, grâce à un travail particulièrement mesuré sur le son et l’image.
Les Fiches du Cinéma
Santiago Loza offre le délicat portrait d'un homme malade, comme peint au pastel. Une belle œuvre, sensible et intelligente, qui s'attache à filmer la présence des êtres.
Cahiers du Cinéma
Loza joue des modèles attendus, dans une recherche d’un « autre chose » où le film séduit le plus, esquivant les pires écueils du minimalisme de ces dernières années (…) et ponctuant le récit de plans simples et troublants.
Positif
À mi-chemin entre le conte initiatique et le portrait contemplatif, le film repose sur une réalisation sobre et soignée [...] Les ressorts scénaristiques sont banals, presque convenus, mais la mise en scène révèle sobrement des arrières-plans, des personnages secondaires, des sentiments en creux.
Critikat.com
Depuis sa bulle contemplative La Paz, quatrième film de Santiago Loza, se tient trop loin monde.
Le Monde
Le film reste à la surface de ce moment, comme figé au stade de l'esquisse.
Première
Le sujet rappelle "Oslo, 31 août" et son protagoniste déambulant à moto. "La Paz" est cependant plus creux et draine son lot de lieux communs.
aVoir-aLire.com
Le minimalisme narratif revendiqué par Santiago Loza tourne au procédé.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Aussi éteint que son héros falot, le film de Santiago Loza agace par son formalisme prétentieux.