Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
La Croix
par Arnaud Schwartz
Cette nouvelle chronique – celle du départ rêvé –, superbement mise en scène, ne cache rien de l’âpreté des existences de l’époque, tout en laissant s’exprimer à l’image le romantisme allemand. Une œuvre ambitieuse et réussie (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-noëlle Tranchant
Ce deuxième épisode a la même beauté et l'ampleur lyrique et la même beauté (sic) que le précédent. Un chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un vrai sens du romanesque dans un bel écrin noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
(...) sompteuse chronique en noir et blanc d'un village allemand, à la fin du XIXe siècle.
Positif
par Eithne O'Neill
Par sa maîtrise artistique, et par l'amour du sujet, [le cinéaste] recréé l'émotion et la beauté disparues à jamais de nos univers révolus.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Elle
par Anne Diatkine
Ce qui frappe dans ce film en deux parties, qui raconte un pan de l'histoire allemande à travers un microcosme, ce sont les images fabuleuses au sens propre.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Est-il bien raisonnable de passer environ quatre heures d'un film en noir et blanc dans un trou rhénan du XIXe siècle, entouré de paysans qui crèvent la faim et de hobereaux très en retard sur leur époque ? La réponse est oui, absolument.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Éric Vernay
Tendu entre lyrisme et rigueur documentaire, (...) ce dyptique narre le quotidien âpre et funèbre d'un peuple déchiré par des aspirations contraires : quitter son heimat ( "terre natale" ) ou rester près des siens.
Télérama
par Jacques Morice
Partisan d'une fine distanciation, Edgar Reitz se refuse au spectaculaire, à la psychologie, comme si tout cela obéissait trop à une logique d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claude Rieffel
(…) une véritable symphonie de près de quatre heure, où la virtuosité peut se faire étourdissante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Le souci de la belle image en noir et blanc et la volonté de faire œuvre d’art sont manifestes. (…) C’est toute la contradiction du film : vouloir, avec force détails, restituer la vie quotidienne du 19e siècle, plonger dans le monde physique et spirituel de l’époque, tout en proposant une esthétique recherchée, solennelle et majestueuse. La forme fait ici écran.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La lumière magnifique qui se dégage de l'image en noir et blanc (où apparaissent parfois des tâches de couleurs), et le jeu âpre mais généreux des comédiens font oublier la lenteur contemplative de la narration et une musique parfois irritante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Edgar Reitz se plaît à utiliser son esthétisation pour vider les situations de leur charge dramatique, les réduisant aux stéréotypes sociaux, qu'elles décrivent, et narratifs, qu'elles utilisent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
La Croix
Cette nouvelle chronique – celle du départ rêvé –, superbement mise en scène, ne cache rien de l’âpreté des existences de l’époque, tout en laissant s’exprimer à l’image le romantisme allemand. Une œuvre ambitieuse et réussie (...)
Le Figaroscope
Ce deuxième épisode a la même beauté et l'ampleur lyrique et la même beauté (sic) que le précédent. Un chef-d'oeuvre.
Les Inrockuptibles
Un vrai sens du romanesque dans un bel écrin noir et blanc.
Marianne
(...) sompteuse chronique en noir et blanc d'un village allemand, à la fin du XIXe siècle.
Positif
Par sa maîtrise artistique, et par l'amour du sujet, [le cinéaste] recréé l'émotion et la beauté disparues à jamais de nos univers révolus.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Elle
Ce qui frappe dans ce film en deux parties, qui raconte un pan de l'histoire allemande à travers un microcosme, ce sont les images fabuleuses au sens propre.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Monde
Est-il bien raisonnable de passer environ quatre heures d'un film en noir et blanc dans un trou rhénan du XIXe siècle, entouré de paysans qui crèvent la faim et de hobereaux très en retard sur leur époque ? La réponse est oui, absolument.
Première
Tendu entre lyrisme et rigueur documentaire, (...) ce dyptique narre le quotidien âpre et funèbre d'un peuple déchiré par des aspirations contraires : quitter son heimat ( "terre natale" ) ou rester près des siens.
Télérama
Partisan d'une fine distanciation, Edgar Reitz se refuse au spectaculaire, à la psychologie, comme si tout cela obéissait trop à une logique d'aujourd'hui.
aVoir-aLire.com
(…) une véritable symphonie de près de quatre heure, où la virtuosité peut se faire étourdissante.
Cahiers du Cinéma
Le souci de la belle image en noir et blanc et la volonté de faire œuvre d’art sont manifestes. (…) C’est toute la contradiction du film : vouloir, avec force détails, restituer la vie quotidienne du 19e siècle, plonger dans le monde physique et spirituel de l’époque, tout en proposant une esthétique recherchée, solennelle et majestueuse. La forme fait ici écran.
Le Journal du Dimanche
La lumière magnifique qui se dégage de l'image en noir et blanc (où apparaissent parfois des tâches de couleurs), et le jeu âpre mais généreux des comédiens font oublier la lenteur contemplative de la narration et une musique parfois irritante.
Les Fiches du Cinéma
Edgar Reitz se plaît à utiliser son esthétisation pour vider les situations de leur charge dramatique, les réduisant aux stéréotypes sociaux, qu'elles décrivent, et narratifs, qu'elles utilisent.