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    High-Rise
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    106 critiques spectateurs

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    Fabien S.
    Fabien S.

    546 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    Un très bon film de science-fiction avec Tom Hiddleston. Un très bon huit-clos futuriste . Ben Weathley réalise un très bon long-métrage .
    Robrex
    Robrex

    24 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 avril 2019
    Là, la première chose que j'ai envie de dire sur ce film c'est : What the F... ! Plus sérieusement, "High-Rise", un film qui est plutôt passé inaperçu lors de sa sortie en 2016, est surtout un film vraiment, mais vraiment chaotique (pour éviter d'être grossier !). Je sais que la distribution de ce film a été compliquée en 2016, il est sorti dans très peu de salles, mais je peux comprendre, car le film est pas terrible du tout. L'histoire partait pourtant d'un principe intéressant, qui se passe au cœur des années 70, avec le médecin légiste joué par Tom Hiddleston, qui emménage dans un immeuble habité par des gens plus ou moins chtarbés... mais après, le film devient extrêmement confus, ça part dans des délires absurdes et surtout incohérents, on comprend pas vraiment où le film veut nous emmener, les enjeux sont de moins en moins intéressants et ne veulent carrément plus rien dire, et au final, on se dit : "mais qu'est-ce que je viens de voir ?! C'est quoi ce délire ?! Ça a pas de sens !". Surtout que le film accumule des dialogues nuls, des scènes nanardesques et des vieux clichés de violence et de scène de sexe sans intérêt. Le film force trop son côté violent et son côté vulgaire avec spoiler: des scènes de partouze qui rendent vraiment mal à l'aise
    , et se prend vraiment au sérieux. En plus de la musique qui est super oubliable, la BO du film ne colle absolument pas au contexte. En plus le rythme du film est ultra poussif, et malgré quelques rebondissements expédiés, on voit bien le temps passer. Alors oui, je peux quand même soulever des qualités au film : la réa est plutôt bonne, y'a quelques bonnes idées de mise en scène, des choses intéressantes même si ça part dans tous les sens, et les décors et tout l'aspect années 70 est bien retranscris, mais ça sauve pas ce film de ses problèmes pour autant. Niveau casting, en tout cas, Tom Hiddleston joue très bien, il est totalement investi dans son rôle, il est crédible et dégage quand même du charisme. Luke Evans est plutôt cool aussi même si y'a des fois où il est un peu en surjeu. Sienna Miller, par contre, en fait beaucoup trop, aussi bien sur son jeu que sur sa sexualisation (après ça peut attirer la gente masculine mais ça a ses limites aussi !). On a aussi Jeremy Irons, et honnêtement, il a l'air complètement paumé et on se demande clairement ce qu'il fait là. Elisabeth Moss joue moyennement bien et les autres acteurs, James Purefoy, Reece Shearsmith, Keeley Hawes, Peter Ferdinando... vont et viennent. En conclusion, "High-Rise" est un film que j'aimerai mieux ne pas vous recommander. Ça sait pas où ça veut aller, ça sonne creux, et limite, si le film aurait pu être un délire assumé, ça aurait pu être bon et fun, mais au final, c'est pas intéressant, ses enjeux dramatiques sont faibles, ça part dans des directions incohérentes et sans aucun lien les unes avec les autres, et ça peut devenir très rapidement ennuyeux. Après, on va me reprocher d'avoir rien capté au film, mais quand même, je maintiens le fait de dire que ça vaut pas le coup.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    113 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2018
    Ben Wheatley fait partie des réalisateurs Britanniques les plus originaux dans ses choix de scénarios et intéressants dans sa mise en scène. Il le démontre une fois de plus adaptant ce roman de Ballard qui n'a pas dû être de tout repos. Reconstituer tous les niveaux sociaux dans ce batiment ultra moderne et les faire entrer dans un conflit totalement délirant tient de l'exploit. Je le trouve un peu long à démarrer mais il ne faut pas rater le dernier chapitre qui finit en apothéose dans une orgie complète et sauvage de toute beauté! Une bonne réflexion sur l'inégalité sociale et ses conséquences...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Une mise en scène, à la fois, brillante et dérangeante !!!!!!
    La "folie" devient contagieuse et l'anarchie règne en grand maître.......
    Une "tour infernale" très métaphorique et un thème sur la lutte des classes sociales poussé à l'extrême ( avis aux âmes sensibles..... c'est un film dramatique mais il reste pour autant interdit au moins de 12 ans pour rien )
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juillet 2019
    En maquillant une trame incertaine, avec des plans très surprenants mais vains, avec des touches d’ésotérisme, mêlées à des scènes de violence extrême, avec des échanges intimistes intenses entre couples, mais un peu parachutés, Ben Wheatly est parvenu à faire passer son « Kill List » chez certains critiques comme étant une œuvre d’art. L’intrigue du Britannique est complexe, mais reste une histoire à la mord moi le nœud. Certes très stylisée, cette réalisation a, en outre, la lenteur et la monotonie d’un corbillard. Ben Wheatly n’a pas trompé les cinéphiles normalement constitués qui ont repéré sans effort la grossière entourloupe d’un cinéaste qui n’avait aucune réponse aux trous béants des ressorts dramatiques de son scénario. Le succès qu’il a remporté auprès de certains benêts de festival relevait de la prestidigitation. Mais le succès son « High-Rise » auprès des dits benêts de festival est plus inquiétant. L’histoire n’a absolument ni queue ni tête, comme dans « Kill List ». Mais cette fois, l’histoire est d’une confusion cataclysmique, avec des répliques mieux travaillées, avec des effets symboliques, qui se veulent des critiques sociétales acerbes, portées par des acteurs plus chevronnés. Mais l’ensemble est d’une totale vacuité. Faire passer autant de vessies pour des lanternes à autant de gens relève non plus de la prestidigitation mais de la pure magie noire.
    Arès
    Arès

    3 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 novembre 2017
    PLOF, ça fait un peu se bruit là quand le film se termine. On s'est forcé pendant deux heures à supporter les pulsions d'un réalisateur, qu'il n'arrivait pas à se contenir. On s'est forcé à allez jusqu'au bout, en croyant qu'il y aurait une conclusion logique à cette bouille d'idée. Puis on reprend notre vie en oubliant dans l'heure qui suit cette mauvaise baise qu'on vient de subir.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    74 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 octobre 2017
    Film très moyen. Beaucoup trop d'incohérences, de personnages inintéressants, d'actions sans aucun sens, pour un faible résultat ; le seul petit intérêt se tient sans doute dans les décors, et dans les extérieurs, d'où l'on peut voir les Tours. La première demi-heure est acceptable, le reste est souvent insupportable, et j'ai abandonné en cours...
    Hastur64
    Hastur64

    223 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2017
    La bande-annonce m’avait appâté et la présence du talentueux Tom Hiddelston finit de me convaincre de voir ce drame britannique. Hélas, j’en suis sorti passablement déçu. Je crois que c’est majoritairement parce que je n’ai pas vraiment compris ce que le scénariste et le réalisateur ont voulu dire dans leur long-métrage. Si c’est la persistance des classes sociales, la violence humaine dans des situations extrêmes, la de plus en plus grande dépendance de l’homme vis-à-vis de la technologie et l’affaiblissement des liens personnels entre les gens, franchement ce n’est pas vraiment très original, cela a été dit de nombreuses fois ces dernières années via de multiples médiums. Du coup, je ne retiens de ce film que la lente marche vers l’anarchie et la violence d’une communauté fracturée économiquement et qui s’accompagne symboliquement de la dégradation parallèle de leur lieu de vie. Très honnêtement sur deux heures cela donne un spectacle parfois abscons, souvent ennuyeux, d’anarchie qui donne une histoire pas vraiment passionnante. Le talent des comédiens (Tom Hiddelston donc, Jeremy Irons, James Purefoy, Luke Evans ou Sienne Miller) ne peut rien face à une intrigue trop cérébrale illustrée par trop d’excès, qui donne un spectacle tout simplement inintéressant et en plus longuet avec ses deux heures de durée. Franchement, le film ne donne nulle envie de lire le roman de J. G. Ballard dont il est l’adaptation. Si vous hésitiez, vous pouvez évidemment vous faire votre avis, mais je ne peux en toute conscience vous le conseiller.
    7eme critique
    7eme critique

    532 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 août 2017
    "High-rise" démarre de façon terriblement excitante avant de nous plonger dans un profond ennui. L'histoire n'arrivera pas à conserver l'intérêt du spectateur bien longtemps face à cette écriture devenant de plus en plus frustrante. La mise en scène offre de belles propositions visuelles, les acteurs sont bons, la musique est appréciable (Clint Mansell ou encore Portishead), mais le tout sera très certainement handicapé par un scénario suivi à la lettre et un montage bancal. "High-rise" est un film prétentieux qui en deviendra donc long et ennuyeux, et partira dans un délire too much, pour au final, pas grand chose.
    Taliesin
    Taliesin

    7 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2017
    Un film qui exprime sur le plan symbolique et en filigrane le mythe d'Icare.
    Excellente photo dans le film. Des plans parfois très précis, qu'on sent fortement storyboardés; ce qui donne une mise en scène avec des points de vue forts et étriqués dans un espace scénique toujours resserré même lorsque l'on est à l'extérieur de la tour. Montage conflictueux, parfois nerveux, accrocheur mais...
    ... Oui c'est vrai, ce film est morcelé et désorientant, comme si cette tour était le reflet du cerveau déjanté du personnage principal. Folies, délires et scènes ahurissantes, parfois sans queue ni tête. La première partie intrigue : on cherche à comprendre. Et puis le chaos venant, on se perd et on décroche malgré des passages abstraits, visuellement recherchés. Ce film mériterait de perdre un quart d'heure au montage. High Rise est un OVNI intéressant, mais on passe à côté du liant et du fil rouge qui auraient permis à la mayonnaise du déjanté de prendre.
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    25 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 avril 2017
    High-Rise est encore un film prétentieux avec des acteurs poseurs qui pensent tourner dans un chef-d’œuvre. Que penser de cette réalisation affectée et vide ? On reste muet de stupeur devant ce déballage de vanité. Tout cela car Tom Hiddleston et Luke Evans veulent se démarquer des productions américaines médiocres auxquelles ils participent assidûment. Mais le remède fait plus de dégâts que le mal. Qu'ils soient honnêtes avec eux-mêmes alors et qu'ils refusent désormais toutes les superproductions américaines. Autant vous dire qu'on ne comprend rien à High-Rise. Les comédiens font leur numéro d'acteurs, mais leur show de frimeurs atteint la surdose. Trop c'est trop ! L'exaspération des premières minutes fait place à la stupéfaction de voir ce déferlement de suffisance. Ce film manque de maturité et de sagesse. Il n'y a aucune audace, seulement un langage peu naturel trop recherché. Mais en cherchant un style, le réalisateur et les acteurs se perdent dans un sentiment pénible d'absence.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 février 2017
    Un film délirant et prétentieux qui ne parvient pas à maitriser véritablement son sujet ni son lien filial revendiqué jusque dans l'affiche avec "Orange mécanique". Trop long, trop confus ... il faut dire que le cinéma de Wheatley est difficile à cerner.
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2017
    Avant toute chose, pour mieux comprendre la structure éclatée du film de Ben Wheatley qui risque de laisser plus d'un spectateur sur le carreau, il convient de jeter un petit coup d'oeil sur l'oeuvre de J.G. Ballard.
    Jusqu'alors auteur d'une SF disons plus classique et rêveuse autant sur le style que sur le fond, Ballard publie en 1969 ,"La Foire aux atrocités", son livre le plus difficile à appréhender. Sans réel début ou fin, totalement expérimentale, la narration est clairement inspirée de celle fragmentée de l'auteur américain William Burroughs. Quelques années plus tard, son triptyque "La Trilogie du Béton" (dont "High-Rise" est le troisième roman) reste sous cette influence des oeuvres de Burroughs mais dans une moindre mesure, Ballard n'en conservant que certains codes de non-linéarité pour continuer de développer son propre style qui fera sa renommée.
    En ce sens, au vu de sa filmographie où le réalisateur s'amuse souvent à jouer avec la structure même de ses longs-métrages pour mieux "perdre" le spectateur dans les thématiques qu'il aborde, Wheatley apparaît comme un choix contemporain parfait pour retranscrire la narration si propre à Ballard sur grand écran.

    Écrit en plein âge d'or d'une architecture brutale où les HLM se mettaient à pulluler, "High Rise" prolonge le questionnement éternel de son auteur : jusqu'où l'Homme influence-t-il son environnement avant que ce dernier se mette à influer sur lui à son tour (et vice-versa) ?
    Ici, l'Homme va construire un immeuble se voulant utopique, un monde autonome, extrêmement haut, qui reproduit le système de castes sociales de notre monde horizontal de manière verticale en fonction des étages occupés (les plus riches dans les sommets, les plus pauvres dans les bas-fonds). Forcément, ce monde construit sur nos propres aberrations sociales et inégalités de richesse ne va pas tenir, les besoins qu'ont les riches de se distinguer des pauvres et ceux qu'ont les pauvres d'accéder à des ressources qui leur sont interdites par une élite va amener à une régression totale des habitants de l'immeuble. Cet environnement construit par la propre main de l'Homme va engendrer un retour à une société primitive où la barbarie et la violence vont être exacerbées, marquant la fin de toutes inhibitions sociales. L'utopie se transforme ainsi en complète dystopie, un régime totalitaire où l'humain revient à ses racines les plus primaires et bestiales pour améliorer sa condition à tout prix.

    Ben Wheatley épouse donc la non-linéarité partielle du récit de Ballard pour nous présenter ce microcosme, reflet de notre monde en condensé, en train de partir en vrille. Cela marche parfaitement pendant la première partie, le fonctionnement par ellipses permet de nous faire découvrir tous les contours de cette micro-société et ses déviances jusqu'au point de rupture. On observe par l'oeil d'un nouvel habitant, un médecin, Laing (Tom Hiddleston, excellent), les différents étages de l'immeuble et leurs occupants tels des rats de laboratoire avec un délicieux humour noir caractéristique de la satire voulue par Ballard.

    Mais lorsque cet environnement infernal devient littéralement un enfer, la narration choisie va perdre étonnamment de sa force sur tous les plans. La temporalité confuse, le manque de liant entre les séquences et la profusion de personnages empêchent de s'impliquer véritablement dans la montée en puissance des affrontements malgré une imagerie sur la folie bel et bien réussie, la satire perdant aussi considérablement de son mordant en se diluant dans l'ensemble. Par exemple, les habitants ne contactent jamais le monde extérieur sur leur situation et continuent d'aller au travail chaque jour comme si de rien n'était avant de revenir le soir se battre comme des animaux, ce paradoxe très drôle n'est que trop rapidement abordé dans le film et enlève une partie de sa force au propos (voire le rend aberrant auprès d'un public qui découvre cet univers par l'intermédiaire de ce film).

    Foutraque comme pas permise, cette deuxième partie fait figure de déception malgré une approche formelle convaincante et souvent sublime dans sa violence. Surtout du côté des plus riches où leurs comportements bestiaux couplés à leur amour du superficiel donnent les scènes les plus démentes du film.

    Mais quelle est la morale de "High Rise" dans tout ça ? Est-ce une banale histoire de révolution sociale où les pauvres prendraient le pouvoir sur les riches ?
    Non, bien sûr que non... "High Rise" est d'un pessimisme quasiment complet en ne remettant jamais en cause la verticalité du système qu'il démontre. Il n'y aucun idéal révolutionnaire chez les habitants les plus pauvres si ce n'est celui, médiocre, d'atteindre les étages supérieurs des riches encore bien pires. Seuls les quelques personnages les plus individualistes comme Laing et Charlotte (Sienna Miller), connaissent une évolution intérieure en restant principalement observateurs des évènements et en nous permettant à nous, spectateurs, d'assister au développement de cette régression primitive au sein d'un corps social entier.
    Au final, on se retrouve comme le concepteur de l'immeuble joué par Jeremy Irons, à rechercher dans les plans de la construction quel paramètre ou détail a bien pu engendrer une telle catastrophe alors qu'au fond de lui, il sait qu'il n'a fait que répéter les erreurs inévitables d'un monde plus vaste.

    C'est aussi un peu le cas de Ben Wheatley qui, en reproduisant fidèlement le système narratif du roman, a pu faire un long-métrage qui fonctionnait parfaitement pendant sa première moitié mais un grain de sable a grippé la machine à mi-parcours et elle n'a jamais réussi à s'en remettre, s'usant, perdant une grande partie de sa force et ne sachant plus trop quoi délivrer (en fait, la deuxième partie aurait vraiment gagné à être racontée de manière plus linéaire, la violence des actes commis n'en aurait été que plus dense et pertinente quelque part).

    Il en résulte donc une adaptation esthétiquement très réussie (on pense à Kubrick, Cronenberg, Roeg,...), à l'ambiance claustrophobe et teintée d'une folie indéniable mais boîteuse dans ce qu'elle veut tenter de transmettre au spectateur, les non-initiés à l'univers si particulier de Ballard risquent même de passer carrément leur chemin. Dommage...
    Silvere B.
    Silvere B.

    36 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2017
    Le début du film est excellent, la bande son ainsi que la photographie également, mais ensuite le film se perd dans l'absurde dans la folie le psychédélique et on décroche ! Dommage !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 janvier 2017
    Avec une certaine touche de non-sens et d’absurde, cette communauté privée d’eau et d’électricité, ou ce microcosme sociétal, s’enfonce dans une anarchie délirante la plus totale ! Cette dérive excentrique, comme « un goûter d’enfant qui aurait dégénéré », est une élégante adaptation, malgré quelques longueurs, du trip de J.G. Ballard publié en 1975. "High-Rise" est un délire qui peut surprendre mais qui accroche par sa folie et sa décadence, psychologique comme morale.
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