Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un superbe hommage, d’une ironie tendre, à Eric Rohmer et Jocelyn Quivrin, dans un film tout de drôlerie légère et de subtilité.
Paris Match
par Kahina Sekkai
Pio Marmaï peut enfin faire montre de son humour et de son talent pour la comédie, loin des rôles sombres ou de grincheux auxquels il est habitué. Il forme un duo très attachant avec Alice Belaïdi, à la fois complice et en concurrence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
(...) Léa Fazer en a tiré une délicieuse comédie (doublé d'un hommage) sur la transmission de la culture.
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est un véritable choc des cultures qu’orchestre Léa Fazer dans Maestro. Pio Marmaï et Michael Lonsdale y sont respectivement remarquables.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Cathy Bernheim
(...) film lumineux sur un beau garçon subjugué par la poésie et la délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Léa Fazer signe un film aérien et pétillant, très souvent drôle. Michael Lonsdale est épatant, plein d'autodérision, lui qui a tant donné dans le cinéma d'auteur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Tour à tour nimbé d’une fraîcheur ou d’une poésie exquise, cette œuvre toujours plus délicieuse à mesure qu’elle avance, dit beaucoup sur l’éveil d’un être à lui-même et à un univers poétique auquel il n’avait pas encore eu accès.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Cette impeccable comédie sur la transmission et la culture séduit d'emblée grâce à des dialogues et à des situations enlevées et pleines d'humour. "Maestro", quel régal !
Le Monde
par Thomas Sotinel
C'est un drôle de film, très charmant, qui parle d'un cinéaste et d'un cinéma singuliers (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
par Vladimir De Gmeline
Lonsdale, barbu, chevelu et voûté, n'est pas Rohmer, sec et droit, et Pio Marmaï est aussi brun que Quirvin était blond. C'est en partie là que réside l'intelligence de "Maestro" : ne pas coller aux modèles originaux, pour mieux cerner l'essence de cette rencontre, son caractère universel (...)
Première
par Christophe Narbonne
Plus il avance, plus ce "petit" film révèle l'air de rien sa nature, profonde et résolument positive.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Juste, drôle, subtil et émouvant, un feel good movie cinéphile littéralement porté par la grâce de ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
C'est un épatant récit d'apprentissage. La réalisatrice franco-suisse y croque avec brio un certain milieu cinématographique cloisonné
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Remanié par Léa Fazer, le scénario de cette comédie - écrite par le regretté Jocelyn Quivrin - perd sans doute en authenticité ce qu'il gagne en légèreté. La distribution enlève partiellement le morceau.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Parce que Maestro demeure toujours un peu à la surface des choses, tout amateur de Rohmer et des mystères de la création restera sur sa faim : on n’y apprend pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Vincent Thabourey
On regrette que le récit s'égare parfois dans une bluette un peu trop fade au regard des enjeux principaux. Mais (...) le regard porté par Léa Fazer sur un certain cinéma français est d'une belle empathie.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le sujet de "Maestro" est magnifique : c’est l’histoire d’une conversion, d’un changement de point de vue. Pas facile de mettre en scène un changement de point de vue, c’est-à-dire incarner l’un, puis l’autre, et faire valoir les deux. De cette difficulté, le film ne se sort pas.
Le Parisien
par Alain Grasset
La mise en scène de la réalisatrice suisse Léa Fazer manque d'envergure et de rythme. Même les acteurs semblent se demander ce qu'ils sont venus faire dans ce "Maestro"...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Dauphiné Libéré
Un superbe hommage, d’une ironie tendre, à Eric Rohmer et Jocelyn Quivrin, dans un film tout de drôlerie légère et de subtilité.
Paris Match
Pio Marmaï peut enfin faire montre de son humour et de son talent pour la comédie, loin des rôles sombres ou de grincheux auxquels il est habitué. Il forme un duo très attachant avec Alice Belaïdi, à la fois complice et en concurrence.
Télé 7 Jours
(...) Léa Fazer en a tiré une délicieuse comédie (doublé d'un hommage) sur la transmission de la culture.
20 Minutes
C’est un véritable choc des cultures qu’orchestre Léa Fazer dans Maestro. Pio Marmaï et Michael Lonsdale y sont respectivement remarquables.
Femme Actuelle
(...) film lumineux sur un beau garçon subjugué par la poésie et la délicatesse.
Franceinfo Culture
Léa Fazer signe un film aérien et pétillant, très souvent drôle. Michael Lonsdale est épatant, plein d'autodérision, lui qui a tant donné dans le cinéma d'auteur.
L'Express
Voir le site de l'Express.
La Croix
Tour à tour nimbé d’une fraîcheur ou d’une poésie exquise, cette œuvre toujours plus délicieuse à mesure qu’elle avance, dit beaucoup sur l’éveil d’un être à lui-même et à un univers poétique auquel il n’avait pas encore eu accès.
Le Journal du Dimanche
Cette impeccable comédie sur la transmission et la culture séduit d'emblée grâce à des dialogues et à des situations enlevées et pleines d'humour. "Maestro", quel régal !
Le Monde
C'est un drôle de film, très charmant, qui parle d'un cinéaste et d'un cinéma singuliers (...).
Marianne
Lonsdale, barbu, chevelu et voûté, n'est pas Rohmer, sec et droit, et Pio Marmaï est aussi brun que Quirvin était blond. C'est en partie là que réside l'intelligence de "Maestro" : ne pas coller aux modèles originaux, pour mieux cerner l'essence de cette rencontre, son caractère universel (...)
Première
Plus il avance, plus ce "petit" film révèle l'air de rien sa nature, profonde et résolument positive.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Juste, drôle, subtil et émouvant, un feel good movie cinéphile littéralement porté par la grâce de ses acteurs.
Télérama
C'est un épatant récit d'apprentissage. La réalisatrice franco-suisse y croque avec brio un certain milieu cinématographique cloisonné
Les Fiches du Cinéma
Remanié par Léa Fazer, le scénario de cette comédie - écrite par le regretté Jocelyn Quivrin - perd sans doute en authenticité ce qu'il gagne en légèreté. La distribution enlève partiellement le morceau.
Les Inrockuptibles
Parce que Maestro demeure toujours un peu à la surface des choses, tout amateur de Rohmer et des mystères de la création restera sur sa faim : on n’y apprend pas grand-chose.
Positif
On regrette que le récit s'égare parfois dans une bluette un peu trop fade au regard des enjeux principaux. Mais (...) le regard porté par Léa Fazer sur un certain cinéma français est d'une belle empathie.
Cahiers du Cinéma
Le sujet de "Maestro" est magnifique : c’est l’histoire d’une conversion, d’un changement de point de vue. Pas facile de mettre en scène un changement de point de vue, c’est-à-dire incarner l’un, puis l’autre, et faire valoir les deux. De cette difficulté, le film ne se sort pas.
Le Parisien
La mise en scène de la réalisatrice suisse Léa Fazer manque d'envergure et de rythme. Même les acteurs semblent se demander ce qu'ils sont venus faire dans ce "Maestro"...