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    Palo Alto
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    Critique de Monique Pantel dans Europe 1
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1

    77 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2014
    [Gia Coppola, ] c'est la petite-fille du grand Coppola. Elle n'a pas le talent de sa tante, mais ça va venir, sûrement. C'est l'éveil à la sexualité d'une bande de riches en Californie. Ils sont riches, ils picolent, mais ils baisent comme tout le monde. On a l'impression d'avoir vu ce film 450 fois.
    brunetol
    brunetol

    189 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2014
    Candidat au titre du film le plus dispensable de 2014, "Palo Alto" n'est pas pour autant une purge. Mais on y trouve rien de neuf au pays des pauvres petits enfants riches de Californie. Quelque part entre "The Bling Ring" mais sans l'humour, "Kids" mais sans la noirceur dérangeante, "Paranoid Park" mais sans le style, ou encore la série "Girls", mais sans l'énergie et l'abattage de Lena Dunham (et l'environnement magnétique de New York), ce teen-movie dépressif est une énième déclinaison sur le thème de la jeunesse perdue, mais pas la plus inspirée. Recherche de sensations fortes, sentiment de vacuité absolue, sex & drugs mais très peu de rock'n roll. Gia Coppola et James Franco parlent probablement de ce qu'ils connaissent, mais ça ne suffit pas pour être intéressant. On les envie parfois mais on les plaint la plupart du temps. L'absence effarante de véritables adultes pour encadrer la croissance de ces jeunes sauvageons reste le trait le plus marquant. Correctement filmé et interprété, "Palo Alto" s'oublie néanmoins dès la porte de la salle refermée, et donne envie de revoir les sus-cités, voire le génial "Springbreakers" d'Harmony Korine, autrement décoiffant.
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2014
    Une petite nouvelle dans la famille Coppola, Gia, s'essaye à un genre déboisé par Sofia avant elle. On retrouve donc les mêmes clichés et une sensation d'ennui qui s'installe vite. Mais là où Sofia avait su poser sa patte et m’intéresser à cette jeunesse américaine, le message de Gia ne me touche que très peu. Les acteurs se débrouillent bien mais ne sauvent un film qui ne sait pas où aller. Espérons qu'elle nous montrera autre chose pour son second film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 juin 2014
    "Something in the way" est la dernière piste de l'album "Nevermind" : avec cette ballade simple, réduite à deux accords, Kurt Cobain enterrait toute la révolte grunge dont il fut, bien malgré lui, le symbole. Il y a "quelque chose sur le chemin", disait le refrain, et il est difficile de ne pas y repenser en voyant les derniers plans - magnifiques - de Palo Alto : un garçon roulant à contresens sur une autoroute, tandis qu'un autre s'enfonce, à pied, dans la nuit. Le film de Gia Coppola, qui paraît d'abord très doux, presque fade, s'achève dans les mêmes limbes que celles de Last days ou Paranoïd Park : le chemin sombre qu'emprunte Teddy (Jack Kilmer) et l'autoroute sur laquelle fonce Fred (Nat Wolff) sont de nouvelles images de la ballade de Cobain et du teen spirit dépressif qu'elle porte. Sur la route, il y a quelque chose qui gêne. Et tout le film de vouloir saisir cette gêne de l'adolescence, toujours la même, celle du premier baiser, de la première expérience sexuelle, du premier chagrin d'amour. Rien de neuf donc, dans Palo Alto, si ce n'est la surprise de découvrir que c'est toujours aussi beau. Le film n'est pourtant pas sans défauts: à force de privilégier les ellipses (notamment dans les scènes de sexe), il peut paraître trop doux, trop délicat, on pourrait presque dire qu'il est lui-même gêné. Lorsqu'il s'agit par exemple de raconter le dépucelage d'April (Emma Roberts), la séquence se découpe en très gros plans presque abstraits, lorsqu'Emily fait une fellation à Teddy, on ne voit que les cheveux de Jack Kilmer et le plan suivant nous montre Emily se faisant un bain de bouche. Le moment sexuel est désinvesti, ramené à des détails insignifiants (une culotte en coton, un pendentif), comme si toute sensation en était perdue. On pourrait donc reprocher au film de refaire, après Spring breakers et Nymphomaniac, le constat d'une chair éternellement triste, s'il ne s'intéressait, sous ses apparences de petit bonbon un peu fade, à quelque chose de plus essentiel: loin d'être réduit aux scènes de sexe, le "no feelings" passe aussi par le langage. Tous les personnages parlent une langue qui rappelle beaucoup celle des filles de Springbreakers: une langue où tout est fun. Lorsque Fred sort du lit d'Emiliy après qu'il aient fait l'amour, il conclut: "It was fun". Même chose lorsqu'April rappelle à Teddy le moment où, ensemble, ils ont gravé sur un arbre: "It was fun". Ce fun, le cinéma de Sofia Coppola n'a jamais cessé d'en contempler la surface, en le nimbant d'une tristesse affectée, transformant ses coquilles vides (Scarlett Johanson dans Lost in translation, Elle Faning dans Somewhere) en petites poupées mélancoliques. La grande qualité de Palo Alto - au regard des films de Sofia Coppola - est de faire fondre peu à peu ce vernis pour donner à voir quelque chose de glacé et d'amer. Et si le dernier mouvement du film est si beau, c'est parce que les personnages sembler se lasser eux-mêmes de la petite musique qu'ils ont jouée, révélant enfin leurs angoisses et leur solitude. Des liens superficiels qui se sont tissés entre eux, il ne reste rien à la fin de Palo Alto, malgré le "I love you" que Teddy a enfin le courage d'adresser à April. Les mots semblent avoir perdu leur pouvoir performatif, ils sont devenus aussi absurdes que le dilemme que se pose Fred ("to be a gay or a girl") avant de fondre en larmes. Libéré du fun, de son langage comme de son imagerie, le film peut alors foncer dans le noir.
    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juin 2014
    Quand on parle dynastie dans le cinéma on pense Coppola est sûrement la plus talentueuse. Voici donc le premier film de la nouvelle, Gia Coppola. La petite nouvelle semble bercé par les mêmes prérogatives puisque son premier film se penche sur l'adolescence, comme Francis a pu le faire sur "Outsiders" (1983) et Sofia sur le chef d'oeuvre "Virgin Suicides" (2000). Un bon film mais qui n'a pas cette touche personnelle que ses ainés ont eu l'intelligence d'ajouter pour démarquer leur prénom.
    Alice025
    Alice025

    1 668 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juin 2014
    La petite dernière Coppola s'en tire pas mal du tout ! Certes, c'est un sujet vu et revu, mais cela n'empêche de passer un agréable moment et de suivre avec entrain l'histoire de ces jeunes ados. Le film n'a pas réellement d'histoire, c'est plutôt une courte partie de la vie de quatre ados, avec détails et réalisme. Les acteurs sont tous attachants, dans leur quête d'identité. Un premier film qui n'a rien de spectaculaire, mais qui est un bon démarrage.
    Alisson G
    Alisson G

    19 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2014
    On ne peut pas se tromper, ce film appartient bien à la famille Coppola. Du déjà vu, donc. "Palo Alto" n'est cependant pas à la hauteur des films du genre, et en reste à l'état de brouillon, sans aller au fond des choses, sans nous marquer comme on aurait aimé l'être. En allant voir le film, on ne peut s'empêcher d'espérer tomber sur un excellent "teen movie" à la Larry Clark (Ken Park, Kids, Billy...), maître du genre. Mais il n'en est rien pour Palo Alto. Ce sont des bribes d'histoire, des bribes de vie mises bout à bout, et on reste clairement sur notre faim. Même si on aime les ados. Et même si ces ados-là sont 100% crédibles dans le rôle qu'il leur est accordés.
    Myene
    Myene

    18 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2014
    Le début m'a laissé sur ma faim et désintéressée par la succession itérative des comportements trash de domination d' ados enfants gâtés. insupportables..Heureusement la réalisatrice gère mieux par la suite son suivi de ces âmes en dérive ce qui évite la caricature et nous encourage à l'indulgence pour cette première , dont le casting est bien choisi .
    Dunno The Movie
    Dunno The Movie

    65 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2014
    Troublant mais beaucoup trop lunaire, le premier film de Gia Coppola s’intéresse à la langueur adolescente et observe un quatuor indécis et paumé entre l’enfance et le monde adulte. Autour de ces destins croisés, Palo Alto se perd dans la contemplation passive, laissant filer ses bonnes idées à peine percevables gâchées par les nombreux effets de style inutiles qui viennent alourdir et étirer la trame jusqu’à l’ennui. Clairement inspirée par le cinéma de sa tante, Gia Coppola se perd dans l’evanescence trop vague et non aboutie de son film, pourtant agréable, mais vide de substance.
    Sylvain P
    Sylvain P

    336 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juin 2014
    La jeunesse désœuvrée, riche et parfois inconsciente est un terreau fertile pour les cinéastes qui en viennent – ils sont nombreux dans ce cas. Palo Alto est une tranche de vie dont rien ne ressort particulièrement, mais qui laisse le spectateur baigner dans une atmosphère authentique et entêtante.
    btravis1
    btravis1

    108 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 juin 2014
    Film creux au scénario paresseux, qui suit l'errance de quelques ados, écervelés, aussi peu attachants les uns que les autres, le tout filmé sans grande originalité. On a déjà vu la même chose en mieux ces dernières années. A éviter.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 juin 2014
    Palo alto n'est pas sans défaut mais offre des personnages intéressants et des parcours hors normes qui n'ont pas de mal à nous garder face à l'écran.
    raz98
    raz98

    10 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juin 2014
    Wow! Je ne m'attendais pas a ca. Quand je suis alle le voir j'ai pense: un film comme the bling ring avec des passages inutile qui rime a rien. Et des les premiers minute je vois que c'est pas le cas, oui d'accord il y a quelques passages inutiles mais le film reste interessant, bref rien a voir avec the bling ring que j'ai pas du tout aime. J'ai ete ebloui par ce film et je le recommande.
    Chris Art
    Chris Art

    78 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2014
    Un nouveau membre de la famille Coppola rejoint le cercle assez fermé du cinéma. Il s’agit de Gia Coppola, petite fille de Francis Ford, le réalisateur du désormais culte, Le parrain. Gia nous offre, pour sa toute première réalisation, une critique de la jeunesse américaine avec quatre adolescents, Teddy, April, Fred et Emily. Nous suivons leur parcours à la découverte du monde et de ses limites où l’alcool, la drogue et le sexe trompent leur ennui.
    (...) nous pouvons tout d’abord faire un rapprochement totalement justifié avec une, si ce n’est la meilleure œuvre de sa tante, Sofia Coppola, Virgin suicides, qui critique également la jeunesse américaine avec une adolescente souffrante et dépressive à laquelle nous pouvons rattacher April, le personnage joué par la juste et sublime Emma Roberts. Toutefois, la comparaison s’arrête là, le film étant une adaptation d’une nouvelle de l’acteur James Franco, jouant à merveille, comme d’habitude le rôle assez ingrat d’un professeur de football attiré par ses joueuses lycéennes.
    (...)Gia Coppola ne cherche pas la facilité avec son premier long métrage malgré la comparaison inévitable avec la technique scénique de sa tante, dont elle s’inspire sur beaucoup de points. Nous retrouvons en premier plan le spleen des ados des classes aisées, thème récurant dans les longs métrages de Sofia Coppola (...) mais aussi à des films de son grand père Francis Ford, où l’exemple le plus approprié serait Outsiders, même si le contexte est différent.
    Nous en restons au final intrigué, quelque fois abasourdi ou repu, notamment lorsque le récit devient malheureusement trop stéréotypé pour être apprécié (...)
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 juin 2014
    "Déja vu" C'est mon impression en sortant de la salle. " Les grand ados à la dérive" sur grand ou petit écran, c'est toujours aussi désespérant, même avec des "têtes d'ange", même avec des circonstances atténuantes, même dirigés par "une fille" Coppola, S'il n'y avait pas Emma Roberts dont le jeu est vraiment juste j'aurais bien encore enlevé une étoile. Ce film rend mélancolique et anxieux, ça n'est pas vraiment le but du cinéma.
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