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Palo Alto, de Gia Coppola:
Sur un thème alléchant (le désœuvrement de la jeunesse dorée de la Silicon Valley, et ses plongeons répétés dans la trilogie sexe, alcool et cannabis pour tromper l'ennui) maintes fois utilisés dans la littérature et le cinéma, il y avait un superbe film à réaliser. Hélas, celui de Gia Coppola (Petite-fille de Francis et Nièce de Sofia) sombre dans une banalité ennuyeuse, sans profondeur, sans message, sans structure. Une chose est de filmer des ados en train de vomir, l'autre est de savoir toucher le spectateur. Je crains que Mlle Coppola ne soit obligée de redoubler sa classe de cinéma pour apprendre que l'art est fait pour toucher l'individu. A moins qu'elle ne reçoive, non pas une Palme d'Or, mais une Gerbe d'Or pour les vomis répétés qu'elle met en scène.
Sur un thème alléchant (le désœuvrement de la jeunesse dorée de la Silicon Valley, et ses plongeons répétés dans la trilogie sexe, alcool et cannabis pour tromper l'ennui) maintes fois utilisés dans la littérature et le cinéma, il y avait un superbe film à réaliser. Hélas, celui de Gia Coppola (Petite-fille de Francis et Nièce de Sofia) sombre dans une banalité ennuyeuse, sans profondeur, sans message, sans structure. Une chose est de filmer des ados en train de vomir, l'autre est de savoir toucher le spectateur. Je crains que Mlle Coppola ne soit obligée de redoubler sa classe de cinéma pour apprendre que l'art est fait pour toucher l'individu. A moins qu'elle ne reçoive, non pas une Palme d'Or, mais une Gerbe d'Or pour les vomis répétés qu'elle met en scène.
Cette chronique adolescente pas franchement originale mais touchante et plutôt réussie est portée par un jeune casting très convaincant.
Gia Copolla n'est pas arrivée a me faire décoller, je ne me suis pas ennuyé non plus. Un film vraiment moyen en somme.
Lu34s
Dans la famille Coppola je demande la petite fille. Vous l'aurez compris, ce nouveau film de la "Coppola family" n'est autre que celui de la petite fille de Francis Ford et de la nièce de Sofia et Roman. La petite Gia décide donc d'adapter trois nouvelles du premier recueil semi-autobiographique, intitulé Palo Alto Stories, signé par l'acteur James Franco, également à l'affiche du film. Ce dernier traite donc de la vie et des déboires adolescents durant la vie de tous les jours. On ne peut donc qu'observer les différentes similitudes avec le premier film de Sofia Coppola, traitant lui aussi de déboires adolescents de manière tout de même différente. En ne faisant qu'un ensemble de ces trois nouvelles, le film présente alors une trame scénaristique tout à fait classique mais en aucun cas déplaisante se contentant d'observer avec précaution les péripéties de cette jeunesse actuelle, les rendant alors attachants ce qui nous permet de s'identifier facilement à eux, à condition de partager le même âge bien entendu. Gia sait donc rendre ses personnages attachants en les développant tour au long du film rendant l'intrigue alors moins lassante et répétitive. Et comme sa tante, elle adopte un style similaire dans sa réalisation, très sage et posée, avec une bande originale en parfait accord avec son univers et d'excellents acteurs. Donc en ce qui concerne James Franco, il possède un rôle secondaire plutôt majeur dans la vie du personnage d'Emma Roberts, nièce de Julia, parfaite en adolescente en quête d'identité amoureuse et Jack Kilmer, fils de Val également au casting du film, devient un jeune acteur à suivre. Au final, Palo Alto marque un bon début pour la jeune réalisatrice Gia Coppola, très certainement inspirée par sa tante, possédant un scénario assez simpliste mais porté par un jeune casting impeccable.
Test réussi pour Gia Coppola. Beaucoup de maîtrise et d'inspiration dans la mise en scène du mal être des adolescents, souvent traité ailleurs. La réalisatrice se focalise avant tout sur quatre personnages et dose parfaitement l'attention cinématographique qu'elle leur porte. Le spectateur passe de l'indifférence agassée face aux frasques de ces jean-foutre à une compassion parentale instillée par la justesse des acteurs et la finesse d'observation du cinéaste. A voir.
"Palo Alto" est le film qui consacre le talent d'Emma Roberts, nièce de Julia et fille d'Eric. L'inoubliable Nancy Drew nous le montre depuis longtemps maintenant, mais elle prouve là que c'est n'est pas qu'une actrice pour enfants. Elle est ici resplendissante, grande, émouvante, belle. Elle joue même foot, c'est dire. Elle est bien le seul attrait de cette histoire vide et convenue qui nous explique que les adolescents sont désoeuvrés. Quelle découverte !
Palo Alto est le premier film de Gia Coppola, inspiré du recueil de nouvelles éponyme de James Franco. A seulement 27 ans, elle a de qui tenir, étant la petite fille de Francis Ford Coppola et la nièce de Sofia Coppola.
On suit les aventures d'adolescents à Palo Alto, au sud de San Francisco. Ils sont un peu paumés, testent leurs limites et expérimentent alcools, drogues, sorties nocturnes, etc.
La discrète et solitaire April (Emma Roberts) est attirée par son coach de soccer interprété par James Franco. Elle est aussi proche de Teddy (Jack Kilmer - le fils de Val Kilmer qui est également présent dans le film) qui traîne souvent avec le déjanté Fred. Emily couche avec beaucoup d'hommes, mais elle ne semble pas heureuse ...
La bande originale qui accompagne le film de Devonté Hynes est planante. Elle est disponible via Spotify sur le site d'Allociné.
Ce film est plutôt réussi. Le duo Emma Roberts / Jack Kilmer est touchant.
Emma Roberts s'éloigne des comédies romantiques qui l'ont fait connaître pour un rôle plus en délicatesse. Gia Coppola a d'ailleurs déclaré qu'elle aimerait tourner de nouveau avec elle.
Jack Kilmer, pour sa première apparition à l’écran, est convaincant en adolescent qui se cherche, qui commet des erreurs mais a bon fond et une grande sensibilité.
Gia Coppola parvient à filmer les adolescents dans une veine qui n'est pas sans rappeler les films de Sofia Coppola (Virgin Suicides, The Bling Ring), les ralentis et la lumière si particulière en moins à mon avis.
On suit les aventures d'adolescents à Palo Alto, au sud de San Francisco. Ils sont un peu paumés, testent leurs limites et expérimentent alcools, drogues, sorties nocturnes, etc.
La discrète et solitaire April (Emma Roberts) est attirée par son coach de soccer interprété par James Franco. Elle est aussi proche de Teddy (Jack Kilmer - le fils de Val Kilmer qui est également présent dans le film) qui traîne souvent avec le déjanté Fred. Emily couche avec beaucoup d'hommes, mais elle ne semble pas heureuse ...
La bande originale qui accompagne le film de Devonté Hynes est planante. Elle est disponible via Spotify sur le site d'Allociné.
Ce film est plutôt réussi. Le duo Emma Roberts / Jack Kilmer est touchant.
Emma Roberts s'éloigne des comédies romantiques qui l'ont fait connaître pour un rôle plus en délicatesse. Gia Coppola a d'ailleurs déclaré qu'elle aimerait tourner de nouveau avec elle.
Jack Kilmer, pour sa première apparition à l’écran, est convaincant en adolescent qui se cherche, qui commet des erreurs mais a bon fond et une grande sensibilité.
Gia Coppola parvient à filmer les adolescents dans une veine qui n'est pas sans rappeler les films de Sofia Coppola (Virgin Suicides, The Bling Ring), les ralentis et la lumière si particulière en moins à mon avis.
Chiens fous perdus sans collier
Teddy, April et Fred représentent ces ados qui ont beaucoup sans avoir fourni le moindre effort : permis de conduire, voiture, argent,...qui cherchent les limites d’une éducation absente, au travers de l’alcool, de la drogue et du sexe.
« La crème de la crème » avait proposé les occupations d’une jeunesse dorée française, sans repères, livrée à elle-même et en quête de sensations fortes.
Sofia Coppola nous en livre une version californienne, issue des nouvelles de James Franco, également acteur, dans le rôle d’un prof de sport.
Comme dans la version française, les jeunes acteurs issus de ce casting sont remarquables !
Teddy, April et Fred représentent ces ados qui ont beaucoup sans avoir fourni le moindre effort : permis de conduire, voiture, argent,...qui cherchent les limites d’une éducation absente, au travers de l’alcool, de la drogue et du sexe.
« La crème de la crème » avait proposé les occupations d’une jeunesse dorée française, sans repères, livrée à elle-même et en quête de sensations fortes.
Sofia Coppola nous en livre une version californienne, issue des nouvelles de James Franco, également acteur, dans le rôle d’un prof de sport.
Comme dans la version française, les jeunes acteurs issus de ce casting sont remarquables !
Bon premier film (meilleur que les derniers de Sofia), un très bon casting, une bonne B.O. C'est plutôt prometteur...
Les 4 protagonistes s'ennuient et le spectateur aussi. Gia Coppola a probablement voulu filmer l'innocence d'une jeunesse paumée mais c'est raté, elle n'a pas le talent de Sofia. Le texte est mou, les décors sont mous, les interactions sont molles, la bande son est hors sujet. A part pour la prestation d'Emma Roberts, n'y allez pas.
histoire fade et creuse. ennuyeux amourir. A oublier rapidement
Un très bon film, très bien réalisé et avec de bons acteurs. A voir!
Facilement impressionnable vous dites? Possible, et alors? En sortant de la salle, j'ai été très déçu, je dois l'avouer. Palo Alto était dans mes grandes attentes 2014, avec une petite nouvelle dans la dynastie des Coppola. Mais après mure et mure réflexion, ce film est une petite claque. Palo Alto parle d'une bande d'ados, énervés du petit confort de leur banlieue chic formaté "Palo Alto" (pas mentionné dans le film donc je suppose que c'est le nom de la ville) qui décident de faire bouger les choses, en découvrant la drogue, l'amour, le sexe et la délinquance pour certains. Voilà, j'ai fait de mon mieux pour décrire le film, car il n'a pas d'histoire. Il n'a pas de début, pas de fin. Il n'y a pas de fil conducteur non plus, c'est un extrait de la vie, et du mal d'être adolescent, et quand c'est bien fait, ça peut être génial. Il y a beaucoup de "fils de" (Emma Roberts, Jack Kilmer etc.) mais d'excellent "fils de", comme tout le reste du casting. La BO (un peu "bobo-branché-hipster" (il faut l'admettre) accompagne à merveille ces magnifiques scènes. On pourrait certes reprocher au film d'avoir beaucoup de longueurs, beaucoup de répétitions et une histoire d'amour avec un prof très mal amenée et totalement inutile. Les personnages sont écrits à la perfection, tantôt drôle, tantôt triste, tantôt émotif. Une palette d'émotion qui les rendent intensément humain. Malgré les reproches évidents, c'est dans l'ensemble que le film séduit : un portrait (assez réaliste finalement) sur les travers de la lutte contre le conformisme. Magnifique.
Un scénario de teen movie convenu mais l'essentiel est ailleurs, Gia Coppola révélant un style élégant et incisif.
Si le film fait penses à la patte de sa tante en moins précis et excessif, il pêche par la faiblesse du scénario. L'image est sublime et la mise en scène subtile et dense. On attend le prochain.
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