Derniers Avis : Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête - Page 11

Avant de visionner ce "Sleepy Hollow" (2000), son neuvième long-métrage, je ne connaissais rigoureusement rien à Tim Burton. Son univers gothique ne m'attirais pas, ses acteurs fétiches non plus.
Quitte à n'en voir qu'un seul, cette légende du cavalier sans tête me semblait cependant appropriée : une enquête "policière", du mystère, pas d'Helena Bonham Carter à l'horizon...
Verdict dans ce contexte : "Sleepy Hollow" est une merveille de conte fantastique macabre, saupoudré de gore jouissif et d'humour noir omniprésent. Ce film incarne à la perfection l'imagerie burtonienne aux yeux d'un non-initié tel que moi, et je constate avec joie et étonnement que cet univers m'a transporté.
La réalisation en particulier est très soignée, et dégage une poésie indéniable, avec ses décors lugubres, ses teintes sombres et la musique de Danny Elfman. La mise en scène de Burton est fluide, avec un montage (très) rapide et quelques morceaux de bravoure comme la poursuite à cheval finale.
De plus, on a ici affaire à un vrai scénario bien ficelé, où chaque élément du puzzle finit par s'imbriquer habilement.
Enfin, la distribution de "Sleepy Hollow" est impeccable, avec un Johnny Depp sobre et touchant, une Christina Ricci craquante et une Miranda Richardson insondable, entourés de seconds rôles pittoresques habitués du cinéma de Burton.
Evidemment je ne prétends pas être subitement converti à cette esthétique gothique si particulière, mais je recommande sans réserve la légende du cavalier sans tête.

Tim Burton revisite à sa manière la légende du Cavalier sans tête avec ô surprise Johnny Depp dans le rôle principal, celui de l'inspecteur Crane chargé de résoudre une série de meurtre au caractère surnaturel dans le village de Sleepy Hollow. Ce film navigue à la frontière entre réalité et fiction en jouant avec notre psyché, s'amuse à nous emmener sur de fausses pistes en jonglant avec les codes du fantastique. L'image est sublimée par la touche burtonnienne, une ambiance gothique qui renforce le sentiment d'oppression. On est tenu en haleine tout au long de l'enquête de Crane, au fur et à mesure que les corps s'entassent et que les têtes disparaissent, jusqu'à la révélation finale. Un bon Burton !

Un bon Tim Burton, dont l'univers s'accommode très bien de ce type de sujet. Sombre mais également quelque peu parodique, le film bénéficie d'effets visuels assez bien travaillés et d'un Johnny Depp merveilleusement nuancé. Le scénario n'évite pas certaines facilités du genre, mais Burton mène bien sa barque, sa patte se retrouve dans chaque plan, et les révélations finales sont particulièrement bien troussées. Du beau boulot.

Interdit au moins de 12 ans, c'est un peu abusé. C'est peut être mon film préféré. Plein d'esthétisme, de l'humour dans une atmosphère gothique. c'est du grand tim burton, Christina ricci est magnifique et Johnny Depp fait le job.

Un grand film qu'est ce "Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête", long-métrage de Tim Burton avec Johnny Depp dans le rôle titre. L'histoire d'amour cinématographique que ces deux hommes partagent est connue de tous, forcément. Une magnifique histoire qui nous a donné droit à d'innombrables chefs d’œuvre : l'émouvant "Edward aux mains d'argent", le tout simplement extraordinaire "Ed Wood", l'unique "Les Noces Funèbres", le merveilleux "Charlie et la Chocolaterie" ou encore l'incroyable "Sleepy Hollow", dont on va parler aujourd’hui. J'aime bien l'art du Tim Burton jusqu'au début des années 2000. De même pour Johnny Depp, malheureusement cantonné à des rôles similaires et rébarbatifs depuis son interprétation de Jack Sparrow en 2003, campant un personnage certes novateur à cet instant-ci, mais se dénaturant au fil des épisodes. "Sleepy Hollow" date donc de l'âge d'or du duo "Burton/Depp", une période prolifique en grands films, vous l'aurez compris. Mais je me répète. Passons. Pour commencer, disons simplement que "Sleepy Hollow" est un hommage magnifique au cinéma d'épouvante anglais des années 1960, notamment des films de la Hammer. Une impression devenue certitude avec la présence au casting du mythique Christopher Lee : une apparition certes futile, mais qui n'était pas sans me réjouir. Un autre acteur fait particulièrement plaisir à voir : celui-là même qui interprète le cavalier sans tête, tout simplement parfait pour le rôle. Je ne vous dirai pas de qui il s'agit, gardez la surprise, c'est mieux. Evidemment, Johnny Depp fait des étincelles : son interprétation est incroyablement originale pour l'époque, nous fournissant l'humour qui aurait pu manquer au film en question. Un jeu d'acteur rafraîchissant et très plaisant qui nous démontre toute l'étendue du talent de l'interprète. Une prestation magistrale et mémorable. Même les seconds rôles sont parfaitement désignés. L'écriture est quand à elle du même ressort : incroyable, sans réel défaut, presque parfaite. Je la dirai même parfaite, mais rien n'est parfait, n'est-ce pas ? Le tout étant que je ne suis pas parvenu à en déceler de réel détail gênant. Les dialogues sont excellents, parfois même presque poétiques, le scénario, retors et imaginatif, est tout simplement génial. Fait d'un humour aussi bien dosé que bien pensé, doté d'un ridicule assumé et surprenant, "Sleepy Hollow" vaut surtout de part son côté fantastique qu'il revendique carrément. Au départ, j'avais peur qu'il tente de tout ratioNnaliser : que nenni, il assume son pitch comme aucun ne l'aurait jamais fait, mélangeant à la perfection fantastique et réalité, nous livrant un résultat final grandiose et impressionnant. Un film qui s'avère tout de même souvent fantasque, aspect typiquement burtonien : l'horreur du film a un côté fun, cool, la violence, presque omniprésente, est montrée de manière si amusée, et s'avère à tel point poussée qu'elle se montrera, à bien des égards, jouissive. C'est un constat purement personnel, mais je l'ai trouvée amusante, et non choquante. Les mises à mort, par exemple, sont aussi imaginatives que tournées en dérision, et il est là le génie de Burton : faire ce que peu de monde avant lui avait tenté, et réussi. Mais attention, son talent ne serait pas le même s'il ne parvenait pas également à instaurer une atmosphère réellement inquiétante, principalement causée par le talent même de Burton, et le jeu des lumières extraordinaire. La bande sonore d'Howard Shore y est également pour quelque chose, bien entendu, s'avérant au final grandiose, magnifique, presque émouvante, le genre de titres musicaux que l'on peut écouter durant des heures, à la fois hypnotisé et fasciné par le talent de l'artiste. Bref, un film totalement culte, et un grand chef d’œuvre signé Tim Burton, avec des décors, costumes et maquillages par ailleurs toujours aussi magnifiques

Très bien, un bon thriller avec du fantastique, du suspense, de l'action, de l'épouvante. Johnny Depp joue comme d'habitude à la perfection.Un bon moment à passer devant ce film.

"Sleepy Hollow" m'a traumatisé dans mon enfance. Le cavalier sans tête était l'une des figures qui m'effrayait et me fascinait le plus, m'imaginant même parfois dans mes jeux être poursuivit par un lapin sans tête (animal rendant plus doux cette monstruosité). Tim Burton a forger un univers bien à lui durant toute sa carrière, un univers baroque et gothique. Avec ce "Sleepy Hollow", il trouve la quintessence de ce qu'il aime : à savoir l'effroi et la dérision. Grâce à cette adaptation de la nouvelle de Washington Irving, Tim Burton retrouve le gothique, le macabre et le soufre qu'il avait laissé avec son précédent long-métrage : "Mars Attacks".

"Sleepy Hollow" se situe dans le début du XIVe siècle, époque où bouleversements politiques, juridiques et idéologiques s'entrechoquent. Ichabod Crane, jeune inspecteur aux méthodes scientifiques est contraint à cause de son insubordination d'enquêter sur les décapitations à Sleepy Hollow. A partir de là, les meurtres vont s'enchaîner, toujours avec originalité et morbidité. L'effroi prend de plus en plus de place, l'horreur pure est au rendez-vous. Tim Burton maitrise son film de bout en bout, apportant une atmosphère glaçante et terriblement sombre à son long-métrage. Gore et souvent choquant, "Sleepy Hollow" démontre tout le génie du Cinéaste. Avec ses forets profondes, grottes anxiogènes, luminosité faible et lugubre, "Sleepy Hollow" est un film d'horreur immersif et subversif. Complots, magie, sorcellerie, croyance biblique, guerre, expérimentation ; tout ce qui est cher à Tim Burton est retranscrit à l'écran de façon gothique et parfois malsaine. Rapprochant l'ambiance de son œuvre à celle de la Hammer (boîte de production horrifique) avec son tournage extérieur et en lumière quasi-naturelle, Tim Burton plonge dans le monde qu'il aime, nous entrainant avec lui. L'histoire est donc très bien écrite, exploitant bien ses idées malgré quelques invraisemblances. L'ennui ne se fait pas vraiment ressentir et tant mieux.

Danny Elfman contribue à cette lourde et pensante ambiance. Sa musique à une allure céleste dans ses intonations et ses cuivres, accompagnant l'ensemble du long-métrage avec froideur et stupeur. L'angoisse est présente tout le long du déroulement. Le chef opérateur des décors a aussi fait un très bon travail, formant une sorte d'expressionisme naturel pour rendre le tout plus angoissant encore. Tim Burton a surtout travaillé l'effroi sur la tête tranchée, figure à couper le souffle lorsque l'on voit le rendu à l'écran. Le réalisateur filme cette sentence de la mort tantôt gore tantôt burlesque ; le résultat est tout autant terrifiant. La réalisation est bonne, à l'instar de chacun de ses longs-métrages. Les plans sont choisis et travaillés, apportant parfois une symbolique.

D'ailleurs, la symbolique du cavalier sans tête est vraiment onirique et dans l'esprit des contes gothiques. Interprété par Christopher Walken ("Pulp Fiction"), cette âme damnée est l'un des monstres les plus effrayants de ces dernières années. Face à lui, se tient Johnny Depp ("Lone Ranger"), qui fait comme à son habitude une très bonne performance. Christina Ricci ("La famille Adams"), Jeffrey Jones ("Beetlejuice"), Michael Gambon ("Dad's Army"), Miranda Richardson ("Maléfique"), Richard Griffiths ("Hugo Cabret"), Christopher Lee ("La Vierge de Nuremberg") et Lisa Marie ("Ed Wood") sont quant à eux aussi convaincants dans leurs prestations. Chacun à son importance et est plus ou moins développé. Un beau et bon casting.

"Sleepy Hollow" est un film d'horreur inégalable, et qui plus est un grand film. Parfaitement maitrisé dans son ambiance, ses thématiques et sa puissance émotionnelle aussi bien symbolique que morale, "Sleepy Hollow" est une œuvre superbe, magnant convenablement l'horreur totale avec une touche de romantisme baroque.

Quand Tim Burton fait du Tim Burton pour les fans de Tim Burton. Johnny Depp (Ichabod Crane) est à son aise dans ce thriller fantastique à l'ambiance éminemment gothique. Quelques scènes apportent leur lot de suspense et d'horreur dans des décors typiquement... burtoniens. Et c'est un peu le problème. Il n'y a guère de surprise dans la réalisation. L'intrigue n'est pas passionnante, les évanouissements à répétition de Ichabod deviennent lassants, autant le cavalier n'a pas de tête, autant les personnages n'ont aucune consistance et certains acteurs sont moyens. Christian Ricci (Katrina), ici superbement grimée en blonde de conte de fée, possède quelques atouts qui accrochent le regard. La seule touche exotique (l'ole!). Encore une fois, on sent de suite ce qui va se passer entre la Katrina et le Ichabod. De même, on est à peine surpris de connaitre l'identité du personnage qui garde la tête du cavalier tellement l'intrigue est embrouillée et ennuyante. Mais tout n'est pas à jeter, loin de là. Outre le Johnny et quelques mises en scène grandioses (la scène finale notamment), la qualité des images et des décors ont ce style burtonien unique. Elfman fait partie de ces rares compositeurs de film à sortir des bandes son faisant facilement 50% du succès d'un film. Sans ces ingrédients salvateurs, "Sleepy Hollow" n'aurait jamais réussi à sortir de sa tombe. Loin d'être le meilleur Burton.

Conte gothique à la beauté onirique et à l'ambiance envoûtante, à ce jour toujours inégalé, et pour moi le meilleur film de tim burton.

On retrouve, dans ce film, le duo Johnny Depp et Tim Burton qui nous nous fait encore la preuve qu'il fonctionne à merveille car entre autres Johnny Depp incarne toujours aussi bien le personnage extravagant et original qui sort de l'imagination débordante de Tim Burton. Sleepy Hollow aborde et raconte à merveille la légende du cavalier sans tête en mélangeant le coté sérieux de l'histoire avec le coté humour noir que Tim Burton rajoute toujours sans débordement dans principalement tout ses films et avec une superbe fin autant originale que sérieuse. Avec une musique signée Dany Elfman, on ne peux que avoir du bon et c'est, pour notre plus grand plaisir, le cas !

Tim Burton signe ici une de ses plus belles créations. L'atmosphère gothique et inquiétante est parfaite, très travaillée, tout comme la bande-son. Les acteurs sont excellents, ils ne font qu’un avec leur personnage. Johnny Depp excelle dans le rôle de Crane. L’histoire en elle-même est captivante, construite intelligemment. Au delà du conte d'épouvante, on découvre un sombre complot. La sensuelle sorcière Katherina interprétée par la sublime Christina Ricci est un personnage qui apporte une touche de mystère et de romantisme. La musique de Danny Elfman est comme toujours parfaite. La présence de Christophe Lee apporte un certain prestige au film. Un bel hommage à la Hammer. En résumé, Sleepy Hollow est tout simplement un chef d’œuvre.

Tim Burton est un auteur que je ne connais pratiquement pas, peu attiré de base par l'image que son univers dégage de l'extérieur. Les deux seuls long-métrages de sa main que j'avais vus étaient des films de commande (Batman, La Planète des Singes), pas forcément rassurants au demeurant, mais je me suis pourtant laissé tenter par ce Sleepy Hollow au synopsis intriguant, au casting a priori solide et à la réputation flatteuse, qui le décore même comme l'un des tout meilleurs films de Burton et celui qui le symbolise le plus. Au final, je préfère oublier les maladresses récurrentes dans la mise en place de l'intrigue, trop explicative au demeurant, pour me concentrer sur l'assemblage très cohérent qu'elle finit par former, et surtout sur l'univers gothique dont Burton est l'un des maîtres. Affinée à l'aide de décors juste comme il faut fantaisistes, d'une photo à la palette chromatique restreinte, qui forme un monde d'où les nuances créatrices sont d'autant plus faciles à faire ressortir, l'empreinte visuelle de Sleepy Hollow est unique et très plaisante à l’œil. Décor et scénario, ainsi qu'une bonne pincée d'humour noir, se fondent en un conte qui rappelle ceux de l'enfance, dans une déclinaison qu'on tenterait d'apposer sur le réel pour lui donner un nouveau relief. Un cinéma éternellement rêveur, sans être pour autant naïf, où Johnny Depp, plus nuancé qu'à l'ordinaire, est visiblement très à l'aise. Christina Ricci excelle quant à elle à débarrasser son personnage de toute aspérité pour le poser en représentation même de pureté, en faire une figure de conte typique. Fait d'arme d'ailleurs rendu possible par la mise en scène de Burton, qui se charge elle-même de brouiller les contours de ce personnage quant le besoin s'en fait sentir sans que l'actrice doive elle-même dévier de ce canon de pureté, même si un deuxième visionnage serait sans doute nécessaire pour le confirmer. Mais par ailleurs, la réalisation ne se relâche jamais, pour faire de Sleepy Hollow une oeuvre techniquement très maline. Et je note avec plaisir le rôle court mais inquiétant confié à Christopher Walken, qui semble s'en donner à cœur joie. Pour quelque chose d'un genre assez éloigné de mes préférences (car sujet à certaines concessions sans que je sois trop réceptif à sa poésie), Sleepy Hollow s'en tire mieux que bien, grâce à une maîtrise impeccable et une poésie morbide indéniable.

Tout simplement époustouflant, un Johnny Depp excellent et une atmosphère parfaite, à voir, à revoir.....

Tim Burton n'a connu que peu d'échec avec ses films. L'un d'eux est sa version de "La Planète des singes" en 2001. Mais juste avant cela, il sorti un autre film à succès : "Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête". Après un petit passage dans la comédie avec "Mars Attack", Tim Burton revient aux films sombres et gothiques qui lui plaisent tant avec ce "Sleepy Hollow". L'histoire ce déroule en 1799, en Nouvelle-Angleterre (Amérique). Un jeune inspecteur, Ichabod Crane, qui ne croit qu'en la science est envoyé dans un petit village non loin de New York où plusieurs cadavres ont été retrouvés décapités, leurs têtes restant introuvables. Pour jouer le rôle de l'inspecteur, Tim Burton fait une nouvelle fois appel à son plus fidèle ami, Johnny Depp, avec qui il collabore pour la troisième fois. Depp est un acteur très talentueux et il le prouve encore avec ce personnage. Il est accompagné d'un très beau casting comportant notamment Christopher Walken, Christopher Lee, Christina Ricci, Chri... euh Michael Gambon (Dumbledore depuis Harry Potter 3) et Richard Griffiths (Vernon dans Harry Potter, oui lui aussi). Ce qui fait la force de ce film, c'est son atmosphère glauque, ténébreuse, gothique. Le réalisateur américain a su s'aider des décors pour donner à son film une aura de noirceur et de danger constant. C'est parfait pour un film d'horreur, cela permet d'amener du suspens facilement et Burton l'a bien compris. D'autant plus qu'il a la bonne idée de faire planer le doute sur la véritable identité de ce cavalier sans tête. Pourtant, cette idée aurait méritée d'être mieux développée et le doute aurait du persister plus longtemps dans le récit. Cela n'aurait fait que renforcer le mystère qui tournait autour de ce personnage et augmenter ainsi le suspens. Néanmoins, l'ambiance du film est réussie et ce en partie grâce à la bonne BO de Danny Elfman qui lui aussi accompagne souvent Burton. De plus, le réalisme de certaines scènes est impressionnant, d'ailleurs le film a dans l'ensemble bien vieillit même si certains effets spéciaux en ont pris un coup (sur la tête). Là où le film pèche, c'est dans sa résolution. L'identité du "méchant" du film est, bien que surprenante, assez décevante. "Sleepy Hollow" est un bon Burton. Grâce à son atmosphère glauque, au mystère qui l'entoure et ses bons acteurs, le film parvient à intriguer mais déçoit dans sa conclusion.

Génial ! je l'ai vu il y a deux ans et je le revois plusieurs fois encore et encore... C'est top ! Johnny Depp : parfait, comme les autres acteurs. En plus, avec la musique de Danny Elfman, on frissonne encore plus