Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Première
par Bernard Achour
Fragile danseur contemporain, le héros prend cette violence de plein fouet dans une chronique à l’intensité un brin diluée mais digne, et même joliment érotique quand il le faut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le propos est trop simple, les scènes de danse sont trop longues. Ça n'empêche pas ce film de Chris Mason Johnson d'émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Portraits émouvants du passage à l’âge adulte d’une jeunesse rattrapée par la tragédie du sida, en 1985, lors des premiers tests du virus. La conclusion finale justifie à elle seule tout le film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Isabelle Régnier
Le film se concentre moins sur les ravages physiques de la maladie que sur les effets induits par la menace qu'elle représentait et la peur panique qu'elle suscitait alors.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clémentine Gallot
Ce second effort de bonne tenue est signé par l’Américain Chris Mason Johnson. Cet ex-membre de ballet n’a pour l’instant ni la patte feutrée de la caméra d’Ira Sachs ou d’Andrew Haigh ni l’ampleur de la minisérie Angels in America du grand Mike Nichols, ses modèles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
Fragile danseur contemporain, le héros prend cette violence de plein fouet dans une chronique à l’intensité un brin diluée mais digne, et même joliment érotique quand il le faut.
Télérama
Le propos est trop simple, les scènes de danse sont trop longues. Ça n'empêche pas ce film de Chris Mason Johnson d'émouvoir.
aVoir-aLire.com
Portraits émouvants du passage à l’âge adulte d’une jeunesse rattrapée par la tragédie du sida, en 1985, lors des premiers tests du virus. La conclusion finale justifie à elle seule tout le film.
Le Monde
Le film se concentre moins sur les ravages physiques de la maladie que sur les effets induits par la menace qu'elle représentait et la peur panique qu'elle suscitait alors.
Libération
Ce second effort de bonne tenue est signé par l’Américain Chris Mason Johnson. Cet ex-membre de ballet n’a pour l’instant ni la patte feutrée de la caméra d’Ira Sachs ou d’Andrew Haigh ni l’ampleur de la minisérie Angels in America du grand Mike Nichols, ses modèles.