Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ecran Large
par Christophe Foltzer
La première chose qui sidère quand on voit "La Belle Vie", c'est la maîtrise filmique de son réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Critikat.com
par Fabien Reyre
Il y a là une ambition formelle qui fait plaisir à voir, un désir de beauté dénué de tout effet de mode et qui n’exclut pas une volonté de croire en la force du récit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Sandrine Marques
Ce drame familial s'abreuve, et c'est là son originalité, à la source du western. Le genre, chez Jean Denizot, se charge d'une nostalgie spectrale qui préfigure, dès l'amorce, le tour dramatique que va prendre l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Avec ce premier film, Jean Denizot réalise une balade country - sans fausse note - sur l'éclosion de l'amour et les rapports parfois compliqués entre un adolescent et son père.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Gilles Renault
Récit initiatique très bien maîtrisé (le contexte n’est pas sans rappeler le "Mud" de Jeff Nichols), le propos cerne au plus juste les personnages dans une quête d’amour et de liberté notablement exempte de mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
"La belle vie" s'affranchit du naturalisme français pour lorgner vers une mythologie américaine fantasmée. [...] Jean Denizot réussit le délicat portrait d'un ado déchiré entre désir d'émancipation et loyauté pour son charismatique geôlier.
Télérama
par Pierre Murat
Comme Jacques Audiard dans presque tous ses films, comme François Dupeyron dans "Mon âme par toi guérie", le jeune cinéaste (c'est son premier long métrage) éprouve une vraie passion pour le cinéma américain. Ses cadrages magnifient constamment l'espace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
D’où vient le charme de ce "petit film" qui, sans chercher à bousculer un certain ronronnement du cinéma français, parvient à inscrire une forme de sentier de traverse ?
Elle
par Florence Ben Sadoun
Ce premier film réussit pourtant à se détacher du fait divers et à ne pas tomber dans l'explication psychologique en s'attachant à filmer les limites d'une certaine idée de la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Un joli film inattendu et délicat, sur l'amour paternel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Plus que des faits, c'est de la relation filiale que Jean Denizot traite dans son premier long métrage.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Sous couvert de road-movie sur les bords de Loire, Jean Denizot s’attache donc surtout à décrire une métamorphose. Il le fait avec un vrai goût du cinéma américain qui cite Mark Twain, n’est pas loin de transformer un fleuve bien français en Mississippi, et une déroute nocturne devant les flics au bord de l’eau en "nuit des chassés".
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
"La Belle Vie" est un film plein de promesses et aborde des sujets graves tout en restant dans le divertissement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Le film souffre d'une écriture trop explicite dans la plupart des scènes dialoguées, et de pesanteurs narratives (...). Surtout, il ne parvient pas à aller au coeur de cette relation mystérieuse entre un père qui a coupé ses enfants du monde (...)
Ecran Large
La première chose qui sidère quand on voit "La Belle Vie", c'est la maîtrise filmique de son réalisateur.
Critikat.com
Il y a là une ambition formelle qui fait plaisir à voir, un désir de beauté dénué de tout effet de mode et qui n’exclut pas une volonté de croire en la force du récit.
Le Monde
Ce drame familial s'abreuve, et c'est là son originalité, à la source du western. Le genre, chez Jean Denizot, se charge d'une nostalgie spectrale qui préfigure, dès l'amorce, le tour dramatique que va prendre l'histoire.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce premier film, Jean Denizot réalise une balade country - sans fausse note - sur l'éclosion de l'amour et les rapports parfois compliqués entre un adolescent et son père.
Libération
Récit initiatique très bien maîtrisé (le contexte n’est pas sans rappeler le "Mud" de Jeff Nichols), le propos cerne au plus juste les personnages dans une quête d’amour et de liberté notablement exempte de mièvrerie.
Première
"La belle vie" s'affranchit du naturalisme français pour lorgner vers une mythologie américaine fantasmée. [...] Jean Denizot réussit le délicat portrait d'un ado déchiré entre désir d'émancipation et loyauté pour son charismatique geôlier.
Télérama
Comme Jacques Audiard dans presque tous ses films, comme François Dupeyron dans "Mon âme par toi guérie", le jeune cinéaste (c'est son premier long métrage) éprouve une vraie passion pour le cinéma américain. Ses cadrages magnifient constamment l'espace.
Cahiers du Cinéma
D’où vient le charme de ce "petit film" qui, sans chercher à bousculer un certain ronronnement du cinéma français, parvient à inscrire une forme de sentier de traverse ?
Elle
Ce premier film réussit pourtant à se détacher du fait divers et à ne pas tomber dans l'explication psychologique en s'attachant à filmer les limites d'une certaine idée de la liberté.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
Un joli film inattendu et délicat, sur l'amour paternel.
Le Figaroscope
Plus que des faits, c'est de la relation filiale que Jean Denizot traite dans son premier long métrage.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Sous couvert de road-movie sur les bords de Loire, Jean Denizot s’attache donc surtout à décrire une métamorphose. Il le fait avec un vrai goût du cinéma américain qui cite Mark Twain, n’est pas loin de transformer un fleuve bien français en Mississippi, et une déroute nocturne devant les flics au bord de l’eau en "nuit des chassés".
aVoir-aLire.com
"La Belle Vie" est un film plein de promesses et aborde des sujets graves tout en restant dans le divertissement.
Positif
Le film souffre d'une écriture trop explicite dans la plupart des scènes dialoguées, et de pesanteurs narratives (...). Surtout, il ne parvient pas à aller au coeur de cette relation mystérieuse entre un père qui a coupé ses enfants du monde (...)