Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Wiseman n'omet rien des difficultés, des fêlures, des plaies de l'histoire nationales, toujours vivaces. (...) Au fond, "At Berkeley" parle surtout du monde contemporain, de ses idéaux, de ses impasses, mais aussi de ce qui tient encore, de ce qui émerveille, de ce qui fonctionne (...).
Critikat.com
par Benoît Smith
Avec sa patience lui autorisant la collecte avant l’épure, son sens de l’écoute sachant composer un tout à partir d’un tout, et surtout une totale honnêteté dans sa restitution du monde, Wiseman rend le meilleur des hommages à une institution qui continue d’être de son temps en assurant une fonction non écrite mais essentielle : un vivier toujours bouillonnant de la démocratie américaine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C'est donc aussi à une exaltante symphonie de la connaissance que nous invite ce très beau film qui passe d'un débat sur le rôle de la nature chez Henry David Thoreau à l'étude des supernovas. "At Berkeley", document épique consacré à la célébrissime université du même nom, résonne de bout en bout d'une question ont dépend l'avenir de la démocratie (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Quel sera l’avenir de la culture dans une civilisation occidentale en plein déclin économique ? C’est tout le débat qui agite ce film salutaire et stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Vincent Thabourey
La brillante institution n'échappe pas au sourire ironique du cinéaste (...). Une belle leçon d'histoire et de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Transfuge
par Damien Aubel
Une fascinante leçon d'anatomie sur la prestigieuse université californienne.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
L’université est montée comme un immense château de discours (…). Cette logorrhée est à double tranchant : fascinante par sa fluidité et son insistance (…), elle conduit parfois Wiseman à délaisser certains aspects de ses meilleures œuvres.
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
La vision holiste de Wiseman, sa façon de donner une image du macrocosme par le microcosme, n'a jamais été aussi efficace puisque le discours des étudiants de Berkeley coïncide évidemment avec l'idée qu'ils se font de l'Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
L'éducation comme source d'épanouissement offrirait quatre heures de rêves si Wiseman ne révélait aussi bien les écueils de la guerre économique qui les menacent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par La rédaction
Long et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Bruno Icher
Par petites touches (...), il met au jour la discordance voulant que cette université, usine à élite, fournisse à la nation précisément les dirigeants qui privilégient leur carrière en or massif au détriment d’un système éducatif qui leur a permis d’accéder aux sommets de la féroce chaîne alimentaire qu’est la société américaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
Fidèle à un style qui n'inclut aucun commentaire, le cinéaste capte avec brio le mouvement de la pensée et la circulation de la parole au sein d'un espace démocratique (...).
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Grâce à sa dimension-fleuve et à la précision du regard de Wiseman qui, par simple juxtaposition d’idées, sans l’aide d’aucun commentaire ni carton informatif, filme cette microsociété comme un passionnant miroir de l’Amérique contemporaine, c’est aussi un beau film sur la démocratie en marche parasitée par la loi du marché et par la force d’inertie du capitalisme, menaces que Wiseman n’incarne jamais tant elles sont dangereusement enracinées.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Fidèle à son style, le cinéaste capte de longs plans-séquences, puis construit son film en juxtaposant des scènes qui doivent prendre sens les unes par rapport aux autres (...). Sans commentaires ni interviews, pour que revienne à chacun sa lecture, son jugement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Berkeley (...) se laisse ici observer par Frederick Wiseman, maître du documentaire engagé sans commentaires. Long et sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Frederick Wiseman poursuit son œuvre rêvée, et livre un documentaire riche et intransigeant, quelque peu desservi par un montage qui manque de mordant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TF1 News
par Romain Le Vern
Le chantre du "cinéma direct" radiographie une fois encore l'Amérique dans tous ses états et donc le fonctionnement d'une institution, s'attache à ceux qui la composent, multiplie les points de vue avec humanisme et raconte beaucoup avec des associations d'idées et des images, plus fortes que les mots.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) les quatre heures de projection se font parfois sentir. Cela tient, pour une grande part, aux discours des enseignants, certes brillants... mais qui ont tendance à utiliser cinq phrases quand une seule aurait suffi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Charlie Hebdo
Wiseman n'omet rien des difficultés, des fêlures, des plaies de l'histoire nationales, toujours vivaces. (...) Au fond, "At Berkeley" parle surtout du monde contemporain, de ses idéaux, de ses impasses, mais aussi de ce qui tient encore, de ce qui émerveille, de ce qui fonctionne (...).
Critikat.com
Avec sa patience lui autorisant la collecte avant l’épure, son sens de l’écoute sachant composer un tout à partir d’un tout, et surtout une totale honnêteté dans sa restitution du monde, Wiseman rend le meilleur des hommages à une institution qui continue d’être de son temps en assurant une fonction non écrite mais essentielle : un vivier toujours bouillonnant de la démocratie américaine.
Le Monde
C'est donc aussi à une exaltante symphonie de la connaissance que nous invite ce très beau film qui passe d'un débat sur le rôle de la nature chez Henry David Thoreau à l'étude des supernovas. "At Berkeley", document épique consacré à la célébrissime université du même nom, résonne de bout en bout d'une question ont dépend l'avenir de la démocratie (...).
Les Inrockuptibles
Quel sera l’avenir de la culture dans une civilisation occidentale en plein déclin économique ? C’est tout le débat qui agite ce film salutaire et stimulant.
Positif
La brillante institution n'échappe pas au sourire ironique du cinéaste (...). Une belle leçon d'histoire et de cinéma.
Transfuge
Une fascinante leçon d'anatomie sur la prestigieuse université californienne.
Cahiers du Cinéma
L’université est montée comme un immense château de discours (…). Cette logorrhée est à double tranchant : fascinante par sa fluidité et son insistance (…), elle conduit parfois Wiseman à délaisser certains aspects de ses meilleures œuvres.
Chronic'art.com
La vision holiste de Wiseman, sa façon de donner une image du macrocosme par le microcosme, n'a jamais été aussi efficace puisque le discours des étudiants de Berkeley coïncide évidemment avec l'idée qu'ils se font de l'Amérique.
L'Humanité
L'éducation comme source d'épanouissement offrirait quatre heures de rêves si Wiseman ne révélait aussi bien les écueils de la guerre économique qui les menacent.
Le Figaroscope
Long et passionnant.
Libération
Par petites touches (...), il met au jour la discordance voulant que cette université, usine à élite, fournisse à la nation précisément les dirigeants qui privilégient leur carrière en or massif au détriment d’un système éducatif qui leur a permis d’accéder aux sommets de la féroce chaîne alimentaire qu’est la société américaine.
Première
Fidèle à un style qui n'inclut aucun commentaire, le cinéaste capte avec brio le mouvement de la pensée et la circulation de la parole au sein d'un espace démocratique (...).
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Grâce à sa dimension-fleuve et à la précision du regard de Wiseman qui, par simple juxtaposition d’idées, sans l’aide d’aucun commentaire ni carton informatif, filme cette microsociété comme un passionnant miroir de l’Amérique contemporaine, c’est aussi un beau film sur la démocratie en marche parasitée par la loi du marché et par la force d’inertie du capitalisme, menaces que Wiseman n’incarne jamais tant elles sont dangereusement enracinées.
La Croix
Fidèle à son style, le cinéaste capte de longs plans-séquences, puis construit son film en juxtaposant des scènes qui doivent prendre sens les unes par rapport aux autres (...). Sans commentaires ni interviews, pour que revienne à chacun sa lecture, son jugement.
Le Journal du Dimanche
Berkeley (...) se laisse ici observer par Frederick Wiseman, maître du documentaire engagé sans commentaires. Long et sérieux.
Les Fiches du Cinéma
Frederick Wiseman poursuit son œuvre rêvée, et livre un documentaire riche et intransigeant, quelque peu desservi par un montage qui manque de mordant.
TF1 News
Le chantre du "cinéma direct" radiographie une fois encore l'Amérique dans tous ses états et donc le fonctionnement d'une institution, s'attache à ceux qui la composent, multiplie les points de vue avec humanisme et raconte beaucoup avec des associations d'idées et des images, plus fortes que les mots.
Télérama
(...) les quatre heures de projection se font parfois sentir. Cela tient, pour une grande part, aux discours des enseignants, certes brillants... mais qui ont tendance à utiliser cinq phrases quand une seule aurait suffi.