AlloCiné
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Votre avis sur Red Sparrow ?
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La bande annonce annonçait un film très prometteur et au final la pilule à du mal à passer. Je m'attendais à de l'action durant ce film et au final c'est très plat, il y' a un manque d'intensité flagrant. Le film est tourné sur la manipulation la stratégie et l'espionnage. Jennifer Lawrence nous montre tout l'étendue de son immense talent et campe parfaitement bien le rôle et fait le boulot. Mais un peu trop facile niveau scénario une ballerine qui arrive manipuler tout le monde et qui apprend le métier aussi très facilement.
Dans cet univers glauque des renseignements où tout n’est que tromperie, manipulation, trahison, brutalité, voire torture, l’ironie fait que parfois, la seule source de fidélité et de loyauté vienne de l’ennemi.
Film d’espionnage qui se laisse regarder. Si vous supportez que les traditionnels méchants viennent forcément de l’est de l’Europe et que les traditionnels gentils de l’ouest de l’Atlantique. Si vous supportez l’accent russe atroce en VO (j’insiste, atroce) des acteurs qui bien entendu ne sont pas russes, car il est évident qu’on ne trouve aucun acteur russe qui voudra jouer le rôle du méchant russe (ouf, ça fait beaucoup de russes). Si vous supportez que Jennifer Lawrence arbore le même masque figé glacé pendant 2h20. Si vous supportez que l’idylle (on ne vous dira pas entre qui et qui) ne vous semble pas franchement plausible ni palpable.
Une mention particulière, quand même, pour la prestation de Matthias Schoenaerts (pardon encore une fois pour l’accent russe et aussi pour sa ressemblance avec certain chef d’état … russe !). Et pour le choix du concerto de Grieg qui sert de seul lien d’attache, ténu et fin, si fin, aussi fin et fragile qu’un cheveu.
Film d’espionnage qui se laisse regarder. Si vous supportez que les traditionnels méchants viennent forcément de l’est de l’Europe et que les traditionnels gentils de l’ouest de l’Atlantique. Si vous supportez l’accent russe atroce en VO (j’insiste, atroce) des acteurs qui bien entendu ne sont pas russes, car il est évident qu’on ne trouve aucun acteur russe qui voudra jouer le rôle du méchant russe (ouf, ça fait beaucoup de russes). Si vous supportez que Jennifer Lawrence arbore le même masque figé glacé pendant 2h20. Si vous supportez que l’idylle (on ne vous dira pas entre qui et qui) ne vous semble pas franchement plausible ni palpable.
Une mention particulière, quand même, pour la prestation de Matthias Schoenaerts (pardon encore une fois pour l’accent russe et aussi pour sa ressemblance avec certain chef d’état … russe !). Et pour le choix du concerto de Grieg qui sert de seul lien d’attache, ténu et fin, si fin, aussi fin et fragile qu’un cheveu.
Pas mal mais pas génial non plus.
Un film d'espionnage mais sans grand suspens ni rebondissement. On ne ressent pas vraiment la souffrance de notre délicieuse espionne. Et ne comptez pas être scotché à votre siège par de l'action...
Une bonne base donc pour un film qui aurait dû faire le choix d'un style plus tranché.
Un film d'espionnage mais sans grand suspens ni rebondissement. On ne ressent pas vraiment la souffrance de notre délicieuse espionne. Et ne comptez pas être scotché à votre siège par de l'action...
Une bonne base donc pour un film qui aurait dû faire le choix d'un style plus tranché.
ManoCornuta
Un film d'espionnage au parti pris esthétisant, jouant avec le charme comme avec la violence, mais qui se trouve un peu trop plombé par ses réflexes caricaturaux sur la Russie et ses longueurs étirées à l'excès. Symbole de cette vision, Jennifer Lawrence qui campe une espionne venue du froid à l'expression monolithique terriblement convenue. Lorsque l'on sait la source d'inspiration du film, on ne s'étonne guère du résultat, lequel n'apporte rien au genre, si ce n'est quelques bonnes séquences dans ses éclats de fureur.
Thibault F.
Red Sparrow replonge dans les failles de l'espionnage entre les Etats-Unis et la Russie. La guerre froide est alors terminée. Pourtant, les symptômes de cette dernière perdure de nos jours et la méfiance réciproque entre les deux grands de l'hémisphère nord ne cesse de perpétuer dans les rouages de la discrétion et du secret. Sauf que le film offre un axe inédit à ces enjeux en analysant la pratique, l'envol et la déchéance de la jeune Dominika Egorova forcée par son oncle (Ivan Egorov) à devenir un moineaux rouge, une arme de séduction au service de l'Etat. Rapidement, Red Sparrow va devenir un jeu de regard, d'expérience psychologique particulièrement violent pour l'obtention de la vérité; l'information devient une arme exploitable contre l'autre. A ma connaissance, le roman de Jason Matthews est fictif mais son réalisme mis à l'image par Francis Lawrence - un habitué de Jennifer - est éblouissant. La mise à l'image est particulièrement saisissante notamment dans les décors ; surtout les intérieurs qui ressemblent à s'y méprendre aux appartements de l'Union soviétique. Côté casting, Joel Edgerton est convaincant tout comme Jennifer Lawrence - qui semble multiplier les rôles identiques depuis Hunger Games - en mode "badass" qui, depuis les photos de son intimité publiées sur internet, se dénude de plus en plus à l'écran. On est alors, loin, très loin des aventures de Katniss Everdeen ou de Mystique. Néanmoins, c'est le rôle de l'Oncle - un belge, Matthias Schoenaerts qui m'a le plus convaincu - froid, toujours avec une distance d'avance mais qui progressivement va perdre son endurance pour voir laisser s'échapper le contrôle du jeu. Red Sparrow aurait pu obtenir une meilleure note si ce dernier ne devenait pas rébarbatif, long (2h20) avec un 2/3ème acte qui frôle parfois le ridicule et l'incohérent. Reste un début et la partie " entrainement" tout simplement excellent ne laissant alors rien au spectateur médusé.
La mise en scène pompe de manière éhontée certains grands classiques et côté femme forte, on repense à des films mieux troussés comme « Nikita » ou « Au revoir, à jamais ». En plus, il y a pas mal de longueurs et un montage plus serré aurait été le bienvenu. Le casting international (des américaines, un anglais et une anglaise, un irlandais et un belge) pour jouer des russes qui parlent anglais est assez surprenant ! N’y avait-il aucun acteur russe disponible ? Ne pouvaient-ils pas parler russe entre eux ? Quant à l’américain de la CIA, il est campé par un acteur australien. Allez comprendre… A part ça, il y a quelques scènes sympathiques et un certain suspense sur la fin. Mais je préfère, et de loin, dans le style, un vieux film comme « Sens Unique » (No Way Out, 1987).
un petit film d 'espionnage avec parfois des allures néo-retro . on a du mal à s’attacher aux personnages car leurs mises en scène est un peu lisse
un classique sans prétention avec un scénario on ne peu plus convenu .
un petit gout de naphtaline qui peut s 'apprécier ou pas
un classique sans prétention avec un scénario on ne peu plus convenu .
un petit gout de naphtaline qui peut s 'apprécier ou pas
des longueurs, de la violence gratuite,, un scenario alambiqué, des clichés maintes fois éculés, un jeu d'acteurs assez plat, bref, je n'ai pas aimé
Quand j'ai lu dans les critiques que le principal défaut de ce film était surtout d'être "old school", ça ne m'a pas posé de problème. J'aime bien justement les films d’espionnage à l'ancienne et même s'il ne risquait pas de renouveler le genre, je me faisait un plaisir de voir Jennifer Lawrence dans le rôle d'une espionne russe...
Malheureusement, et ce malgré la bonne performance de l'actrice principale, le film se révèle être un film de propagande anti-russe dans notre période artificielle de "néo guerre froide" ! le problème est que s'il était agit d'un film traitant de l'époque du mur de Berlin et du KGB, cela aurait été jouable, mais là vouloir a tout pris faire des russes actuels des affreux sans âme et des agents de la CIA, de gentils humanistes, c'est soit ridicule, soit écœurant ! Ajouter à cela une atmosphère parfois franchement malsaine et violente... J'ai quitté la salle ce qui m'arrive presque jamais !
Malheureusement, et ce malgré la bonne performance de l'actrice principale, le film se révèle être un film de propagande anti-russe dans notre période artificielle de "néo guerre froide" ! le problème est que s'il était agit d'un film traitant de l'époque du mur de Berlin et du KGB, cela aurait été jouable, mais là vouloir a tout pris faire des russes actuels des affreux sans âme et des agents de la CIA, de gentils humanistes, c'est soit ridicule, soit écœurant ! Ajouter à cela une atmosphère parfois franchement malsaine et violente... J'ai quitté la salle ce qui m'arrive presque jamais !
Un film réalisé par des américains, naturellement pro américains où les gentils espions sont de la CIA et les méchants russes pratiquent la torture pour parvenir à leurs fins. Vision de guerre froide manichéenne et tronquée. C'est un peu stéréotypés... On frise le ridicule lorsque les agents russes, qui sont des acteurs européens, prennent l'accent russe. On est atterré quand un agent de la CIA décide de faire diversion en prenant l'accent britannique dans l'hôtel. Malgré que les personnages soient assez charismatiques. Rien à retenir de très sensationnel.
Fêtons le cinéma
D’une ouverture magnifique où se croisent les points de vue et les temporalités, portée par la partition de James Newton Howard et la grâce d’une Jennifer Lawrence en danseuse classique, nous attendons – en vain, puisque cela n’arrivera jamais – qu’une si belle virtuosité se transmette de scène en scène, jusqu’à atteindre la bouleversante interdiction d’un amour naissant. Il y a, dans Red Sparrow, quelque chose qui sonne faux, un surplus de démonstration qui vient alourdir une intrigue inutilement retorse où les corps se dénudent et les cadavres s’amoncellent sur réglage automatique. La chair n’est pourtant pas triste ici, mais commune. Et l’ambition sulfureuse ne bénéficie pas d’un cinéaste à la hauteur d’un tel dessein : Francis Lawrence se limite aux formes de la sexualité et de la barbarie – toutes deux indissociablement liées dans une Russie de Guerre Froide – sans jamais se risquer à quitter le formalisme pour pénétrer ces corps violentés, ces corps meurtris par des apprentissages déshumanisants. Et en refusant cela, il conforte le système qu’il entend dénoncer, un système qui se plaît à robotiser ses citoyens. Lorsque nous regardons le film, nous avons l’étrange sensation de glisser à la fois sur les enjeux intrinsèques, mais également sur les lieux et leurs occupants. Nous traversons les scènes, nous sautons d’une chambre à un bureau, d’un âge à un autre, sans vivre ce long et périlleux processus d’aliénation. Manque ce vertige, celui qu’éprouve au quotidien une jeune femme coupée de sa passion et de son foyer ; ce vertige d’errer au milieu de bourreaux, d’espions et de morts, tout en s’efforçant de garder la tête froide. Red Sparrow n’a pas d’ailes et reste cloué au sol.
AZZZO
Jennifer Lawrence a un très beau visage et de très belles fesses. Grâce à ce thriller, nous savons désormais qu'elle a aussi de magnifiques cheveux... longs... très longs... très très longs... si longs que l'on peut les tirer pendant plus de 2h pour nourrir l'intrigue. C'est sûr, cette oeuvre marquera davantage l'histoire de la coiffure que celle du cinéma.
J'aurai aimé voir un film plein d'actions, d'intrigues et de rebondissements, mais je me suis pal mal ennuyé pendant les 2h20 ! Le début n'est pas mal ficelé avant que le personnage rentre chez les moineaux, puis je me suis détachée de l'intrigue. Ça devenait un supplice, d'autant plus qu'il y a de nombreuses scènes de viols, de violences complaisantes qui étaient particulièrement difficiles à digérer...
Ça faisait longtemps que je ne me suis pas fais berné par les commentaires positifs. Mais avec ce film ce fut le cas.
C’est beaucoup trop long, et la longueur n’apporte rien.
Les motivations des personnages sont extrêmement simplistes et sont survolés. L’intrigue est décousue et mal racontée.
La phase d’apprentissage est pas assez condensé et on ne comprend pas comment elle peut avoir des talents en seulement 3 mois. Ridicule.
C’est pas une catastrophe mais à éviter.
C’est beaucoup trop long, et la longueur n’apporte rien.
Les motivations des personnages sont extrêmement simplistes et sont survolés. L’intrigue est décousue et mal racontée.
La phase d’apprentissage est pas assez condensé et on ne comprend pas comment elle peut avoir des talents en seulement 3 mois. Ridicule.
C’est pas une catastrophe mais à éviter.
Très déçu. Assez violent et plutôt scabreux pour pas grand chose. C'est le premier film avec Jennifer Lawrence que je n'aime pas. Je n'ai pas accroché à l'histoire.
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