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Pascal I
752 abonnés
4 120 critiques
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2,5
Publiée le 12 mai 2018
Partagé ! Un scénario déjà vu, un déroulé terriblement classique, une machination des plus classiques dans l'espionnage etc, etc, etc ... Reste les acteurs où j'ai une forte retenue sur l'insipidité de leur personnage : plat ! Un cocktail de stars et pourtant, c'est sans réelle saveur. Un mélange assez indigeste (surtout le dernier chapitre) de scènes qui n'apporte des éléments qu'uniquement sur la dureté (formation, moyens, objectifs) pour marquer les esprits. Prestation inégale, les acteurs ne se lâchent pas certainement du à une mise en scène trop guidée. Au final, moyen ! 2/5 !!!
Ce n’est vraiment pas le meilleur film de JL. On tombe un peu dans l’érotisme gratuit et la violence pas beaucoup plus chère. Dommage, le film ne rend pas hommage au livre.
Déception pour ce film d'espionnage. Violence gratuite, réalisation lourde, et longueurs nuisent à cette œuvre dont le scénario est pourtant intéressant. Des rebondissements à répétition et une fin américaine larmoyante finissent par tuer l'intérêt décroissant du spectateur navré.
Depuis le succès des Hunger Games et de sa popularité montante au sein de la profession, notamment grâce à ses exploits chez David O. Russell, on assiste petit à petit à la naissance d'un genre, le "Jennifer Lawrence movie". Des films presque totalement tourné à la gloire de l'actrice et qui n'ont en dehors de ça presque rien d'autres à raconter. Une pente dangereuse où O. Russell à malheureusement glissé avec ces derniers films là où Darren Aronofsky avait habile su contourner ce piège avec le marquant Mother!. Avec Red Sparrow, il semble clair que Francis Lawrence succombe aussi au charme de l'actrice et n'arrive pas à imposer une vision de cinéma assez forte pour éviter de se faire happer par elle.
Francis Lawrence s'est toujours imposé comme un faiseur des plus corrects mais son cinéma à considérablement perdu de son efficacité au fil des ans surtout lors de son passage par les Hunger Games. Et ceux qui espère le retrouver en forme avec Red Sparrow vont vite déchoir. Fidèle à lui-même, il signe un film trop long et au rythme vacillant qui engendre des longueurs soporifiques. Après une première partie plutôt intrigante et efficace, le tout va vite s'effondrer comme un château de cartes. Et plus que les défauts d'un scénario prévisible, peu profond et aux personnages stéréotypés, c'est la représentation de celui-ci qui dérange le plus. Se voulant presque comme un rape & revenge où l'on suit l'affirmation d'une jeune femme sur sa vie et sa sexualité face à une masculinité qui tente de l’asservir, le film coche sur le papier les cases hollywoodienne du "film féministe" mais s'impose dans un écrin qui s'apparente plus à un sexisme daté.
Car c'est dommage de voir un film à la réalisation impeccable, photo léchée et un vrai travail sur l'ambiance qui n'est pas sans rappeler la belle époque de Brian De Palma, au service d'un rendu final misogyne et maladroit. La sexualité est censé représenté un malaise car elle est ici utilisé comme une arme, où le corps de la femme se retourne contre elle et se voit utilisé pour le profit d'autrui. Sauf qu'au lieu d'avoir un regard oppressant sur la chose, Francis Lawrence tombe dans un voyeurisme beauf en filmant le corps de son actrice comme une jolie attraction. Il confond trop souvent le subversif avec le vulgaire et déroule son film avec une mise en scène plate et sans prise de risque notamment sur une violence censé être percutante mais qui se révèle incroyablement propre et peu montrée. Jamais poisseux comme il voudrait l'être ou même dérangeant, Red Sparrow crée juste un malaise gênant face à sa direction des plus douteuses.
Après le film ne fait pas de cadeaux à son actrice et veut vraiment la mettre à l'épreuve mais par ce manque de regard et de sophistication il échoue souvent dans l'entreprise. Ce n'est pas vraiment la faute d'une Jennifer Lawrence qui s'investit totalement dans son rôle et qui se montre encore une fois très convaincante. Même si elle a tendance à répéter un certain style de jeu et qu'elle peine parfois à sortir de sa zone de confort. Chose qui pourra très vite lui porter préjudice. Mais elle est ici soutenu par un très bon casting entre un Joel Edgerton impeccable et un Matthias Schoenaerts trouble et nuancé. Il est juste dommage qu'ils soient au service de personnages peu intéressants dans une histoire qui tourne en rond. De plus, on reste sur une vision très américanisé de la Russie et qui ne se prive pas d'accumuler des éléments très caricaturaux et des discours involontairement drôles dans leur exubérances.
Red Sparrow est une des représentations les moins concluantes de ce que pourrait donner les "JLaw movie". L'actrice est devenue un modèle de marque et est ici vendue comme tel dans un film à sa gloire mais qui finalement la desserre dans une représentation beauf et voyeuriste. De plus Francis Lawrence n'a pas la capacité ni le regard pour sortir le film de ses rails et d'imposer un vrai regard, finissant même par accumuler les maladresses. On notera quand même un travail sur l'ambiance plutôt réussi, un premier tiers correct et un très bon casting mais Red Sparrow reste une oeuvre plate et sans envergure qu'on aura vite fait d'oublier.
"Red Sparrow" est à la fois un film aussi enivrant que parfois choquant. En effet, Jennifer Lawrence est brillante dans son rôle d'espionne "moineau rouge", entrainée au combat physique, mental ou sexuel mais le blockbuster se distingue surtout par des scènes ultra-violentes. Un thriller post-Guerre Froide avec un casting 5 étoiles qui ne convainc que partiellement mais qui vaut la peine d'aller au boutspoiler: pour un épilogue savoureux (la trahison du nom de la taupe) .
Avec la bande annonce je ne m'attendais pas à que ce soit aussi trash... Le film est bien dans son style et la fin est vraiment bien mais ça ne reste pas mon style de film.
Alors un jeune de 14 ans nous dit que ce film n'est pas si violent. Pour info nous avons une scène d'agression en plein acte sexuel dans un vestiaire, deux scènes de viol, une scène d'égorgement, une scène d'étouffement, un cadavre dans une baignoire remplie de sang sac sur la tête, deux séquences de torture, et des mecs qui se prennent des balles dans la tête tout cela comme si on était intégrés dans les scènes. effectivement c'est vraiment soft... Et je ne parle pas des scènes d'action ou graveleuses à côté... Revenons au film. l'actrice n'a pas le physique d'une danseuse étoile ( ça commence mal pour la crédibilité) , bon elle n'a pas le physique non plus pour de l'action. Reste le rôle de moineau. Ok dommage qu'on sache très vite qui est la taupe et que le plan russe est diablement foireux: envoyer en première mission une fille qui avait 100% de chance de se faire démasquer en 45 secondes les obligeait à la rendre capable d'être agent triple (en gros faire semblant d'être agent double devant les gentils américains) . Pas risqué du tout évidemment pour une fille qui a été obligé de rejoindre le SVR... Le plan de l'héroïne est tout aussi foireux, ou disons suspendu à des événements dont elle n'a aucune maîtrise ( que Nat ne fasse pas la vaisselle, que son oncle arrive sans prévenir, qu'il laisse son manteau, qu'il aille à Vienne...) Bon bref c'est un plan qui ne pouvait pas échouer que dans le script... Le tout est d'une longueur abominable, mention spéciale aux passages dans la pseudo école dont le projet pédagogique est tellement risible qu'il en devient peu crédible. (mon avis, ces moineaux n'ont pas du réussir grand chose, surtout que tout le monde est au courant, encore une fois c'est idiot) . On attend le dénouement avec impatience d'autant plus que contrairement aux protagonistes, on a tout compris après une heure et on sait ce qui va se passer. Ah si l'oncle n'avait pas autant ressemblé à Vladimir avec des cheveux... Divertissement passable.
"Red Sparrow" commence assez laborieusement, avec sa mise en scène clinique et ses accents russes forcés. Le film s'apprécie finalement dans son dernier tiers, plus relevé grâce à un scénario joliment retors.
film lent, compliqué et ennuyeux. jennifer est très belle mais semble se forcer à jouer. les acteurs n'ont aucun charisme et jouent tous sur le même ton. quelques scènes violentes et inutiles. bref, pas trop aimé, sauf elle.
Francis Lawrence signe un film trop long et au rythme vacillant qui engendre des longueurs soporifiques. Après une première partie plutôt intrigante et efficace, le tout va vite s'effondrer comme un château de cartes. Et plus que les défauts d'un scénario prévisible, peu profond et aux personnages stéréotypés, c'est la représentation de celui-ci qui dérange le plus. Se voulant presque comme un rape & revenge où l'on suit l'affirmation d'une jeune femme sur sa vie et sa sexualité face à une masculinité qui tente de l’asservir, le film coche sur le papier les cases hollywoodienne du "film féministe" mais s'impose dans un écrin qui s'apparente plus à un sexisme daté. Car c'est dommage de voir un film à la réalisation impeccable, photo léchée et un vrai travail sur l'ambiance qui n'est pas sans rappeler la belle époque de Brian De Palma, au service d'un rendu final misogyne et maladroit. La sexualité est censé représenté un malaise car elle est ici utilisé comme une arme, où le corps de la femme se retourne contre elle et se voit utilisé pour le profit d'autrui. Sauf qu'au lieu d'avoir un regard oppressant sur la chose, Francis Lawrence tombe dans un voyeurisme beauf en filmant le corps de son actrice comme une jolie attraction. Il confond trop souvent le subversif avec le vulgaire et déroule son film avec une mise en scène plate et sans prise de risque notamment sur une violence censé être percutante mais qui se révèle incroyablement propre et peu montrée. Jamais poisseux comme il voudrait l'être ou même dérangeant, Red Sparrow crée juste un malaise gênant face à sa direction des plus douteuses. Même si les acteurs sont convaincants, avec une Jennifer Lawrence soutenu par un très bon casting entre un Joel Edgerton impeccable et un Matthias Schoenaerts trouble et nuancé, il est dommage qu'ils soient au service de personnages peu intéressants dans une histoire qui tourne en rond. De plus, on reste sur une vision très américanisé de la Russie et qui ne se prive pas d'accumuler des éléments très caricaturaux.
Après les calamiteux Hunger Games le duo Francis et Jennifer Lawrence reviennent avec le très laborieux Red Sparrow. Laborieux parce que tout semble poussif dans ce film, lourd. Des accents russes à couper au couteau alors que tout le monde s’exprime en anglais, la première partie du film et la formation est interminable. La suite ou on peut se poser des questions sur ce que va réellement faire le personnage de Jennifer Lawrence voit son « suspens » constamment désamorcé par un sérieux a toute épreuve alors que pas grand chose ne paraît crédible. Même dans sa violence qui se veut très frontale le film est pénible et trop insistant. Oui c’est bien ça on est face à un film de gros lourd.
Film d'espionnage féminin, à l'accent russe, avec des notes charnelles. Ce sont les éléments clés du film qui n'est en rien désagréable mais devient vite banal par les angles choisis. Tout est déjà-vu, mais ce n'est pas très grave. Le récent Anna de Luc Besson travail sur la même ossature de scénario. Tout est question de fidélité à sa patrie, de trahison, d'agent-double et de meurtre gratuit. Malgré ce casting international, on note que Jennifer Lawrence et Matthias Schoenaerts sont des soviétiques crédibles. Charlotte Rampling en femme frigide et autoritaire est assurément un rôle qu'il lui va bien. Il manque une vraie audace de forme pour être pertinent.
Certes Jennifer Lawrence est toujours aussi excellente mais le film, violent et malsain, beaucoup trop long, peine à convaincre. L’intrigue d'espionnage est tordue à souhait mais la sauce ne prends pas vraiment. Qui utilise encore des disquettes de nos jours et pourquoi avoir affublé les acteurs de ce ridicule accent russe ? Mouais...Bof...