Avis : Toy Story 2 - Page 7

Super rigolo, tout comme le 1 et le 3 j'adore

Plus gros succès de l’animation après “Le Roi Lion” et “Aladdin”, “Toy Story” a marqué l’histoire du cinéma. Le second volet des aventures de Woody, Buzz, Monsieur Patate, La Bergère, Zig-Zag et les autres jouets marquera également l’histoire des box office puisqu’il s’agira de la première suite de film d’animation à rapporter plus que le film original. Dans ce nouvel épisode, Woody le cow-boy est kidnappé par un collectionneur sans scrupules lors d’un vide grenier. Il découvre alors qu’il fût jadis une vraie star. Une série télévisée, des posters et de nombreux objets sont à son effigie. Il rencontre alors Jessie l’écuyère, Papi Pépite le chercheur d’or et Pile-Poil son cheval. Alors que Woody hésite à profiter de sa nouvelle vie de héros, ses amis de toujours traversent la ville entière pour le ramener chez leur propriétaire, le jeune Andy. Techniquement, “Toy Story 2” est encore plus maîtrisé. Déjà présentés dans l’épisode précédent, les personnages dévoilent une âme encore plus profonde. Les gags sont plus nombreux, l’action mieux développée et les dialogues sont irrésistibles. “Toy Story 2” est une suite inévitable.
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Techniquement meilleur que le premier volet, ici le héros est clairement Buzz que je trouve moi, en tant qu'adulte, moins attachant mais qui parle sûrement plus aux enfants. Le scénario est lui aussi moi passionnant mais il reste un très bon dessin animé et inaugure le "bêtisier" pendant le générique de fin, qui deviendra de plus en plus fréquent dans les productions futures.

Sur l'exigence du premier, le second impose un scénario à la hauteur mais surtout plus, le style et l'exigence graphique. Les personnages s'enrichissent, c'est de mieux en mieux.

Golden Globe de la Meilleure Comédie Musicale. Une suite réussi toujours aussi drôle et attachant. Dans cette histoire Woody est kidnappé par un collectionneur sans scrupules, Buzz et ses amis se lance à sa poursuite pour le sauver. On découvre le personnage de Jessie, l'écuyère. On voie aussi Barbie, plusieurs Buzz l’Éclair et son ennemi Zurg. Et avec aussi des références à Star Wars, 2001, L'Odysée de L'Espace et Jurassic Park. On retrouve au casting des voix : Tom Hanks, Tim Allen, Joan Cusack, John Ratzenberger, R. Lee Ermey, Annie Potts, Andrew Stanton, Jean-Philippe Puymartin, Richard Darbois, Barbara Tissier, Henry Guibet, Patrick Prejean, Jacques Frantz et Marc Alfos.

Jonh Lasseter, réel pionnier du film d'animation, remet le couvert 5 ans après la sortie du premier volet. On reprend les mêmes personnages qui ont fait le succès de la franchise tout en les plaçant dans une histoire qui n'a pas la même portée que le premier volet mais qui demeure plaisante à suivre du début à la fin. Un humour fin et bien trouvé, des références en veux-tu en voilà, font de ce 2ème volet une nouvelle aventure qui ravira parents comme enfants.

Aussi bon que le premier si ce n’est même meilleur, ce second opus de la franchise brille autant par son graphisme que par la complexité de ses personnages. Drôle, très bien rythmé, inventif et émouvant, ce film d’animation sera apprécié aussi bien par nos chères têtes blondes que par les adultes ayant gardé une âme d’enfant nostalgique. Alors quand en plus dans le générique de fin, on trouve un bêtisier, on se dit qu’on tient-là une vraie pépite !

Suite directe du grand classique de Pixar sortie quatre ans après, Toy Story 2 prend place dans la nouvelle maison d’Andy alors que Woody et Buzz restent ses jouets favoris ainsi que la proie facile du nouveau petit chien de la famille. Lors d’une brocante, la troupe tente de sauver leur ami Sifli, un manchot asthmatique mis en vente pour cause de dysfonctionnement de son mécanisme qui lui permettait de siffler. Mais à force qu’Andy joue avec Woody, son épaule droite a commencé à se découdre et il a été déposé sur une étagère avant de se faire passer pour un jouet à vendre. Kidnappé par un collectionneur fan d’une ancienne série télévisée appelée Western Woody, il va faire la connaissance de son binôme féminin, une écuyère nommée Jessie, de son cheval Pile-Poil et du vieux chercheur d’or Papi Pépite, qui attendait sa venue depuis longtemps pour que la collection de jouets soit enfin complète.

Le thème de la désuétude est ici renforcé par celui de l’immortalisation par la collection. Conscient qu’il n’est plus un jouet tout jeune et qu’Andy finira bien par grandir, il hésite entre rentrer chez lui pour le retrouver et en compagnie des autres jouets, et rester auprès de ses nouveaux amis pour devenir une pièce rare dans un musée, évitant ainsi le risque d'être un jour délaissé par Andy. Se sentant proche de Jessie, Woody se confronte néanmoins à elle alors que l’émouvante chanson « Quand elle m'aimait » montre qu’elle avait été abandonnée par une enfant avec qui elle jouait beaucoup. Les autres chansons sont peu nombreuses mais restent sympathiques entre le générique de la série Western Woody, son interprétation de « Je suis ton ami » à la guitare et la reprise finale de Sifli avec une voix grave au timbre très masculin.

« Bonjour je suis Barbie hôtesse. Je vous prie de garder vos mains, vos bras, vos accessoires à l’intérieur de la voiture et pas de flash merci ! »

De leur côté, Buzz et les autres sont bien décidés à ramener Woody et traversent la ville pour le retrouver. Arrivés dans un magasin rempli de rayons de différents jouets, ils font la connaissance de plusieurs barbies dont une hôtesse qui monte les rejoindre dans leur voiture et devient un personnage à part entière. Buzz tombe quant à lui sur tout un étalage de Buzz l’éclair emballés, dont un qui se réveille en croyant être un vrai ranger de l’espace en mission et enferme le Buzz que l’on connaît afin de se faire passer pour lui auprès des autres. Il rencontre d’ailleurs l’empereur Zurg, le jouet censé être son ennemi juré dont on entend parler dans la premier film et que l’on voit lors de l’intro du film dans le jeu vidéo sur lequel Rex s’amuse. Les références à Star Wars se font à ce moment nombreuses, à commencer par Zurg qui lance un très inattendu « je suis ton père » à Buzz, parodiant l'aveu de Dark Vador à Luke Skywalker dans L’Empire contre-attaque.

On peut également citer la respiration de Dark Vador à l’intérieur du casque de Buzz, le bruit du laser d’un Stormtrooper quand il détruit une caméra, le bruit d’un sabre laser quand il touche l’hologramme de la pile d’énergie, ou encore l’empreinte qu’il laisse dans le jeu de sculptures en clous Pin Art qui rappelle l’enlèvement d’Han Solo. D’autres références cinématographiques sont également glissés tout au long du film. On trouve notamment le salut vulcain de Star Trek lors que les deux Buzz se séparent, les dalles sonores du repaire de Zurg imitent le thème musical de 2001, l'Odyssée de l'espace, le chapeau melon de Monsieur Patate qui bloque une porte à la manière de Goldfinger, l’évasion de Buzz du magasin de jouets en référence aux Aventuriers de l’arche perdue, et Rex qui poursuit une voiture en clin d'œil à Jurassic Park.

Pixar a même incorporé des références à ses propres œuvres, comme des extraits de courts métrages (Tin Toy, Luxo Jr., Le Joueur d'échecs) qui passent à la télé, le réparateur de jouets qui n’est autre que le vieillard de l’histoire du Joueur d’échecs, les jouets représentants de personnages de 1001 Pattes en arrière-plan dans la boutique, Tilt la fourmi et Heimlich la chenille étant également présents dans une scène supplémentaire du générique de fin lors du bêtisier. S’il ne vaut pas tout à fait le premier épisode, Toy Story 2 démontre le savoir-faire de Pixar en matière de suite, bien meilleure que la plupart de celles de Disney.

Troisième film des studios Pixar, Toy Story 2 se révèle être encore plus drôle et délirent que le premier, tant par ses situations que par les blagues elles-mêmes (idée géniale d’introduire un nouveau Buzz qui croît être ranger de l’espace). Enfin, j’ai l’impression d’aller très vite sur ce point, mais il n’y a pas grand-chose à dire de plus là-dessus. Niveau humour, ce Toy Story 2 est nettement supérieur au premier, bien que lui aussi, était hilarant. On oublie pas les très nombreuses références à des films cultes aussi géniales les unes que les autres.
On pourra également remarquer la venue de nouveaux personnages qui marqueront les spectateurs (d’ailleurs quand on voit le premier, ils nous manquent). Donc Mme Patate, Zurg, Pil Poil et surtout Jessie qui semble très appréciée, sauf par moi. Disons, qu’elle a tendance à m’énerver avec son hyperactivité.
Et un autre point très positif, c’est qu’en fait, ce volet, sans le vouloir, prépare déjà le troisième film. On nous parle des enfants et le fait qu’ils grandissent, de l’abandon des jouets, tout ce sujet qui sera en fait la base du dernier épisode. Donc c’est très bien, on prépare le terrain, surtout que lors de la scène finale, Woody et Buzz ont une discussion à ce sujet.
Et en fin de compte, à part ça, le film n’a pas grand-chose en plus. Alors, certes, c’est déjà beaucoup, mais personnellement, je le trouve assez maigre pour un Toy Story et plus particulièrement pour un Pixar. Peut-être parce que je ne lui trouve aucune morale (rare chez Pixar), ou que c’est le fait qu’aucun des personnages ne soient développés. Je veux dire, quand tu vois le premier film, à la fin, tu te rends compte qu’il y a eu un changement de caractère chez les personnages, qu’ils ont évolués. Là, cet épisode se base nettement plus sur Woody (pourquoi pas, là n’est pas le problème), alors développez Woody. Rien ne change dans son comportement. Je sais que je suis assez méchant, que je titille, mais quand je vois tout ce que le premier film avait fait en termes d’écriture de personnage, et qu’en fin de compte, dans le deuxième, il ne se passe rien. Oui, l’idée d’un Woody pièce rare, c’est génial, l’aventure de Buzz pour le retrouver, tout ça c’est super. Mais toute cette aventure n’évolue en rien les personnages et je trouve ça dommage. Parce que, à part ça, j’ai rien de plus à lui reprocher. Il y a même des choses qui s’améliorent (les graphismes surtout).
Par contre… par contre, j’allais oublier. Ce film, fait exprès de faire des incohérences, pour avoir de belles images. L’exemple le plus flagrant que j’ai, c’est lors de la scène finale quand Sifli (le pingouin) se met à chanter devant tout le monde. Il prend le micro jouet, là-dessus, aucun problème, c’est même une très bonne idée. La boule de disco ? A la limite, qu’Andy ait ça dans sa chambre, pourquoi pas non plus ? Mais que font les trois jumelles Barbie derrière Sifli ? Elles sont pas des jouets d’Andy et n’ont rien à faire là ? Tout ça, c’était simplement pour nous montrer trois jouets Barbie danser derrière un pingouin qui chante ? Qu’il chante seul ! L’équipe de Pixar se serait moins embêter à animer les Barbie et ça aurait pas fait une grosse incohérence !
Enfin bref, comme je l’ai dit, je titille. Je cherche la petite bête, mais vous allez pas me dire que j’ai tort. Donc, ce Toy Story 2 est très bon, un excellent divertissement, mais il n’est pas à la hauteur de l’excellent premier film. 4/5 Voilà qui est dit !

Après une première réussite presque totale et un deuxième film que je (re)verrais bientôt, les gars de Pixar revenaient à leur coffre à jouet pour un deuxième épisode de Toy Story dont le trailer était absolument fantastique. En fait, il est à l'image du film.

En effet, ce deuxième opus est un excellent film, largement meilleur que le premier épisode. Les doubleurs sont encore en forme, Tom Hanks encore une fois au dessus de tout le monde (même de Jim Varney, mon préféré). Mais la véritable réussite de cet opus n'est pas son casting de voix, excellent évidemment, mais sa narration. Le film est parfaitement raconté, de la scène d'ouverture assez impressionnante (démo technique, on ne va pas se mentir) à la fin (avec la seule faute de gout, ce bêtisier absolument pourri), passionnant et surtout drôle et inventif : un véritable modèle de narration.

Par contre, le défaut principal du film réside dans sa narration, et le personnage insupportable de Jessie, doublé par une fatigante Joan Cusack. Mais sans aucun doute, le film reste un excellent film, avec ou sans Jessie, et le tout est presque sans faute. Excellent.

Si Toy Story tenait du génie, en sa qualité de révolution technique doublée d’un univers foutrement original comme divertissant, il était à craindre que sa suite ne tienne pas la comparaison ; mais il n’en fut rien, John Lasseter une fois de plus à la baguette nous offrant un second opus digne en tout point de son aîné, réussi mais surtout réjouissant comme pas deux. Ce qui frappe d’entrée de jeu, c’est le visuel tout bonnement pétrifiant de qualité, comme peut en attester une séquence d’introduction renversante : avec un budget multiplié par trois, l’équipe de production s’est ni plus ni moins surpassée, pour un rendu haut en couleur mais aussi très réaliste (les figures humaines sont impressionnantes). L’univers de Woody et cie a donc rarement paru aussi vivant, et Toy Story n’aurait nullement à rougir de ses prétentions graphiques vis-à-vis de réalisations plus récentes, tandis que celui-ci se voit doter d’une BO culte de par ses chansons inoubliables. L’immersion est donc assurée, et l’on plonge de nouveau avec un plaisir certain au sein de ce monde gouverné par de simples jouets ; l’intrigue quant à elle se veut sans temps morts, inventive et complémentaire à celle du précédent film, mais sans faire mieux… Non pas qu’elle soit plus classique, ou moins captivante, ce qui n’est aucunement le cas, mais force est de constater que la majorité des péripéties font avant tout l’objet de sauvetages, ce qui était déjà le cas d’une bonne partie de Toy Story. Toutefois l’abondance de superbes rebondissements, allié à un humour encore plus percutant qu’à l’accoutumée, compose un divertissement des plus jouissifs ; et s’il convient de mentionner les innombrables références toutes hilarantes (Jurassic Park, Star Wars…), c’est de par sa profondeur accrue que ce numéro 2 de distingue avec brio de son modèle. Le destin des jouets, traité de façon légère auparavant, bénéficie donc ici d’un approfondissement proprement émouvant, tout en formulant de biens pertinentes problématiques à l’incontournable Woody, conférant par la même occasion à Toy Story 2 la marque des tous meilleurs films d’animation… On tient donc là un Pixar génial, savoureux et attendrissant, mais aussi brillant d’intérêt de par ses nombreux développements, tels que les univers respectifs de Woody et Buzz. Un long-métrage d’animation indispensable en somme, et une suite irréprochable à un monument du genre, le rendant dès lors tout aussi remarquable.

La suite de "Toy Story" est assez largement supérieure à l'originale,et ce sur tous les plans.En 4 ans,les progrès des images de synthèse ont été stupéfiants.Un graphisme plus fouillé,moins artificiel.Des couleurs éclatantes.Une animation revue à la hausse.Et cerise sur le gâteau,plein de nouveaux personnages:une cow-girl,un chercheur d'or,un cheval mutin,et même des Barbies!Les anciens reviennent,rassurez-vous,et pondent 3 gags à la seconde,cette fois teintés de références cinéphiliques."Toy Story 2" met en exergue le talent de John Lasseter a créer des histoires attendrissantes,alliant fous rires et morale intelligente.Ici,Woody hésite entre rester le jouet périssable de son cher Andy ou devenir une pièce de musée adulée par les enfants du monde entier.Bien sûr,il préfèrera vivre sa vie chez lui,avec son lot d'incertitudes sur l'avenir.Techniquement irréprochable,le film est une déferlante,aux trouvailles géniales,palpant l'âme enfantine et joueuse de nous autres.Très bonne idée aussi que ce bêtisier de fin animé.On se régale avec ces jouets des plus humains.

Après toy story, toy story 2, nous pouvions nous attendre à une suite banale sans grand intêret mais il faut avouer que l'équipe de PIXAR à réussi un véritable exploit. En effet, cette suite est totalement différente du premier épisode. Les personnages principaux sont toujours les mêmes évidemment et on a plaisir à vivre une nouvelle aventure en leur compagnie et leurs acolytes. Inutile d'aller plus loin dans les explications pour comprendre que ce film est indispensable dans une "DVDthèque" avec le premier (et le troisième) épisode de la série tout aussi géant. Donc, un seul conseil pour ceux qui ne l'ont pas vu :"jetez vous dessus" et pour les autres :" regardez le à nouveaux avec le même plaisir que la première fois...". Rien de tel pour retourner en enfance.

Quatre ans après le premier opus, Pixar a tourné dans l'urgence cette suite, histoire d'être sur qu'elle soit de qualité, et ne finisse pas comme un vulgaire DTD raté. Si thématiquement le film va beaucoup plus loin que le premier explore encore plus le destin et la psyché d'un jouet, les place face à leur peur de l'abandon, et si la mise en scène est encore plus poussée également, l'effet de surprise est moindre que pour le premier. "Toy Story 2" propose comme beaucoup de suites, plus de tout, et de ce point de vue là, Pixar est très très généreux. Plus de lieux, de personnages, plus d'intrigues, plus de clins d'oeil, plus spectaculaire, plus réussi techniquement, plus pensé dans sa mise en scène et caetera, la liste est franchement longue. Un pur bonheur cinématographique pensé pour son public et les amoureux du cinéma.

Toy Story 2, on se dit qu'il est difficile d'égaler la qualité du premier film et pourtant, cette suite, très différente, arrive largement à se hisser à la hauteur ! Ils ne font pas l'erreur du " on prend les mêmes et on recommence ", bien au contraire, les créateurs des studios Pixar 3D ont une fois de plus misés sur un scénario passionnant remplit encore une fois de références originales ( Jurassic Park, Star Wars ... ) et les moments où l'on rigole ne manquent absolument pas. Les personnages sont encore mieux que dans le premier. Et pour finir, l'animation en 3D est toujours aussi soignée ! Toy Story 2 a de quoi être supérieur au premier mais ça reste avant tout un film d'animation amusant et bluffant !